Pourquoi en politique le phénomène de la TRAÎTRISE est une valeur hautement appréciée contre les intérêts nationaux du Québec
30 octobre 2025
Les mots prononcés aujourd’hui par celui qui était premier ministre du Canada lors du 2ème référendum (volé)(1) pour l'indépendance du Québec, est, une fois de plus, la preuve qu’une élection-référendaire au prochain rendez-vous électoral en 2026, sera le moyen politique incontournable de réaliser la pleine souveraineté du Québec ayant une majorité de l’électorat appuyant cette option de démocratie directe contre le pouvoir usurpateur et colonialiste d’Ottawa. Une telle démarche de légitimité démocratique éviterait le piège de la Loi sur la clarté référendaire(2). C’est-à-dire, avec une majorité de députés élus ladite option l’indépendance nationale du Québec se proclamerait solennellement à l’Assemblée Nationale du Québec :
Trente ans plus tard, l’ex-premier ministre du Canada, Jean Chrétien, n’en démord pas. Il n’aurait jamais reconnu le résultat du référendum sur l’indépendance du Québec en cas de victoire du « oui » en 1995.
Si le « oui » l’avait emporté, Jean Chrétien aurait organisé son propre référendum
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2203224/referendum-1995-jean-chretien
***
JLPM
________________
1. Promotion de l'unité canadienne et référendum sur la séparation du Québec en 1995
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Chr%C3%A9tien
2. Loi sur la clarté référendaire
https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_sur_la_clart%C3%A9_r%C3%A9f%C3%A9rendaire
