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Nicolas Rodrigue

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    Nicolas Rodrigue2 articles

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Est-ce que la démocratie parlementaire est respectée?

  • Nicolas Rodrigue
  • 5 décembre 2008
  • Tribune libre 2008
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Pour l'indépendance d'une Nouvelle-France

  • Nicolas Rodrigue
  • 28 juillet 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 7 commentaires

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Commentaires de Nicolas Rodrigue

  • Non, ce n'est pas terminé: en vérité, tout commence

    5 mai 2011


    Je crois sincèrement qu'une montée de Québec Solidaire est désormais inévitable, elle n'aura pas la même ampleur que le NPD, mais ils vont monter dans les intentions de vote et tout cela au dépend du PQ. Le "si" est de trop dans votre analyse. Le PQ a tellement courtisé la gauche et la droite en même temps qu'il se sont désormais peinturé au centre de l'échiquier politique et tout cela par défaut. Il y a réellement une polarisation du vote de gauche et ce n'est pas le PQ qui va en bénéficier.

    Ensuite, Amir Khadir est beaucoup plus populaire que Pauline Marois et lors du prochain débat des chefs, je doute fort que Pauline Marois soit en mesure de contrer le verbe de Amir Khadir. Ensuite, lorsque le PQ va se sentir menacé, je doute fort qu'il va songer à faire une alliance avec QS, il vont plutôt chercher à sauver les meubles comme le Bloc. L'élection fédérale a simplement démontré que les souverainistes était à gauche et non au centre. D'ailleurs au niveau provinciale, il n'y a aucun parti politique fédéraliste qui est à gauche, ils sont tous à droite de l'échiquier. Il y a un vide politique à gauche et le PQ n'incarne pas suffisamment la gauche afin de remplir ce vide qu'ils ont eux-même créé. L'héritage de Lucien Bouchard pèse lourd à droite dans la balance et le PQ ne semble pas prédisposé à renier cet héritage ouvertement.

  • L’appui à la souveraineté du Québec serait-il rendu à 60%?

    18 janvier 2011


    Le problème avec ce sondage c'est qu'on ne met pas en balance notre sentiment d'appartenance et notre comfort matériel car pour plusieurs personnes, la famille et le Moi passe avant la nation. Ensuite, il y a la dimension Acadienne qu'on ne retrouve pas dans le sondage car il y a beaucoup de personnes qui vivent au Québec et qui vont faire passer l'Acadie avant le Québec et le Canada.

  • Indépendance et identité

    5 janvier 2011


    Pour le bureau du MNRQ...

    Si l’ethno-différentialisme affirme que chaque peuple ou ethnie sont unis par l’Histoire, le sol et le sang et bien c'est une erreur de le croire.

    Les immigrants italiens de Montréal ne cessent pas d'être Italien en vivant en dehors d'Italie même après plusieurs générations et leur histoire est bien différente de ceux qui vivent encore en Italie. Le peuple juif a vécu des siècles sans droit du sol et ils n'ont pas cessé de s'identifier à l'identité juive. Ensuite, que faites-vous de celui qui est venu au monde en chine et qui a été adopté par des Québécois alors qu'il n'était qu'un bébé. Croyez-vous que son sang va lui apprendre à parler le mandarin et à manger avec des baguettes ?

    Prenez un caillou sur le sol et demandez-lui à quelle identité appartient-il.

    La terre ne transmet aucune identité à l'humain, c'est l'humain qui lui donne un nom qu'elle n'avait pas au départ. Si les Anglais avaient choisi un autre nom que "Québec" pour définir le territoire du Québec et bien les Québécois n’existeraient pas aujourd'hui, ils porteraient un tout autre nom. Imaginé maintenant que le territoire qu'on appelle aujourd'hui le Québec avait gardé l'expression de la "nouvelle France" après la guerre de Conquête de 1760. Nous serions quoi ?

    Des Français. L'identité québécoise n'est que la nationalisation d'une identité régionale et l'identité canadienne est aussi la nationalisation d'une identité à caractère régional. On a fait la même chose avec le peuple Wallon. On a divisé la nation française en plusieurs petites nations en nationalisant l'identité de ses composantes régionales.

    Ensuite, l'identité française sous l'ancien régime n'était pas soumise au droit du sol. Le roi de France était avant tout le roi des Français peu importe où ils se trouvent. La nation était définie par les membres qui la composent et non par le lieu où ils se trouvent ce qui a permis à la nation française de s’étendre jusqu’en Amérique. Si le peuple est nomade et se déplace comme certaine tribus en Afrique, le peuple emmène son identité avec lui peu importe où il va comme l’immigrant qui déménage au Québec. Notre identité ne dépend pas du sol et l’identité qu’on donne au sol dépend que de nous. La terre par elle-même n’exprime aucune identité.

  • Indépendance et identité

    4 janvier 2011


    Le droit du sol, c’est aussi de nommer un cheval un « mouton » parce qu’il est né en dehors d’une écurie. L’écurie ne fait pas le cheval.

    Le sol ne défini pas la nation, car les frontières où résident une nation peuvent changer sans changer pour autant notre sentiment d’appartenance à cette nation et le droit du sang ne défini pas l’identité, car le sang pure n’existe pas. La nation est défini par sa culture, ses croyance et sa langue. C’est aussi un sentiment d’appartenance.

    Les immigrants ne viennent pas au Québec pour la culture ou la langue, mais principalement pour l’opportunité de faire de l’argent, point final et s’ils ne peuvent pas faire d’argent ici, ils s’en vont à Toronto ou ailleurs. Ils n’ont pas de sentiment d’appartenance national avec la société qui les reçoivent, mais avec la nation d’où ils proviennent, peu importe où elles se trouvent. Leur cœur est ailleurs.

    Lorsqu’on insère de l’huile dans un verre d’eau, vous pouvez brasser le verre d’eau autant que vous voulez, l’eau et l’huile ne se mélangeront pas. L’huile finira toujours par remonter à la surface en se séparant de l’eau. L’eau n’assimile pas l’huile, si l’huile ne change pas ce qui la distingue de l’eau et l’eau ne s’adapte pas à l’huile, si elle ne change pas ce qui la distingue de l’huile. Même si vous remplacer la sauce brune par une sauce mexicaine dans une poutine, ce n’est pas cela qui va inciter le mexicain à aimer la poutine et un Québécois ne sera pas nécessairement prédisposé à renoncer à sa sauce brune car pour lui une poutine sans sauce brune n’est plus une poutine.

    Une société d’accueil qui renonce à rien de ce qui la défini en tant que nation n’arrivera pas intégrer les immigrants, sauf si l’immigrant accepte de renoncer volontairement à son identité d’origine, à sa langue d’origine ou sa culture d’origine. Le seul moyen d’intégrer l’immigrant à une société qui lui est étrangère, c’est par le métissage identitaire de la société d’accueil ou par l’assimilation de l’immigrant. On ne peut pas être de l’huile et de l’eau en même temps, il faut faire un choix. Les Anglais et les Français n’ont pas réussi à vivre ensemble au Canada sous une même identité pendant plus de 2 siècles et on veut nous faire croire qu’on va réussir avec encore plus de diversité. C’est la multiplication des ghettos identitaires qui nous attendent et c’est déjà commencé.

  • Le Québécois est un étrange animal à trois pattes

    27 décembre 2010


    La véritable question n'est pas de savoir ce que nous sommmes, mais ce que nous voulons devenir. L'identité n'est pas figé dans le temps, elle évolue ou elle régresse et présentement, l'identité au Québec régresse. Ce que vous définissez comme étant une seule identité à trois pattes, est en réalité trois identités bien distincte. Votre identité a été influencé par l'identité de votre mère et celle de votre père, mais avez-vous adhéré au deux pleinement ? NON, car c'est impossible d'être pleinement deux choses distincte, alors vous vous êtes forgé une identité bien personnelle en fonction de votre vécu bien personnel. Trudeau a fait exactement la même chose. L'identité devient national lorsqu'on est plusieurs à partager la même identité et surtout la même définition ce cette même identité, ce qui n'est pas le cas de l'identité québécoise car il y a presqu'autant de définition différente de l'identité québécoise que d'individu qui se disent Québécois. Le multiculturalisme est simplement le résultat de l'absence d'identité national. L'identité canadienne et l'identité québécoise ne sont pas des identités nationales, car leur définition n'est pas national et lorsqu'on cherche à les définir, on constate très rapidement l'absence d'unité national. La Nation est UNE par définition ce qui est le contraire du multiculturalisme. L'unité national d'une identité doit avoir plusieurs dénominateurs commun et la langue ne suffit pas a maintenir cette unité. La dénition doit avoir un dénominateur commun idéologique ce qui au contraire au principe même de la laïcité.

  • Congrès mondial acadien

    22 août 2009


    MichelG, vous êtes en train de dire n'importe quoi. Ce qui relie l'acadie à notre histoire c'est la nouvelle France et non l'histoire du québec et de son identité québécoise qui pour EUX n'a que moins de 50 ans. Ensuite, les québécois les plus fédéraliste que j'ai connu était d'origine acadienne et pour eux l'acadie ne se limite pas qu'au Nouveau-Brunswick, mais aussi à une partie du Québec. Leur appartenance identitaire n'est pas limité par des frontières prédéterminé surtout chez les plus nationaliste.

    Ensuite, il ne faut pas croire qu'un Québec indépendent puisse devenir "un foyer national francophone" car votre sentiment d'appartenance n'est pas le même que le leur. L'affirmation national de la francophonie en amérique se fera par l'affirmation de l'identité française et non Québécoise.

  • Québec Solidaire : Une urgence sociale et nationale !

    12 août 2009


    Le problème de Québec Solidaire c'est qu'elle a une conception multiculturelle de la nation comme s'il n'y avait que les Québécois qui parle le Français. Ils sont trop en accord avec les résultats de la commission Bouchar-Taylor, ils n'ont pas compris que cette commission est un désastre.

    On ne défini pas la nation par le sol. Le nationalisme civique n'est pas du patriotisme. Ils vont répéter les même erreurs que Olivier Besancenot en France. On ne peut pas marier la gauche du travail avec les valeurs morales de la révolution tranquille. Le débât gauche droite est complètement déconnecté de la réalité et l'ADQ a fait la même erreur à l'envers, ils ont combiné la droite des valeurs au capitalisme libéral.

  • « Un jeune batard québécisé »

    10 août 2009


    M. Luc Archambault

    Vous dites que "Lévis n’avait pas les moyens de défendre Montréal."

    Vous êtes en train de dire que Lévis était moins en mesure que VOUS d'évaluer la possibilité d'une victoire, alors qu'il était sur place et au Front. N'importe quoi !?!

    Les renforts ne sont pas venus aussitôt que la capitulation fut déclaré, on envoie pas des renforts à des personnes qui ont capitulé. C'est la faute de la France pour la simple et bonne raison que nous faisions partie nous-même de cette France.

    Ensuite, toutes ces spéculations que vous faites sur une supposé défaite indiscutable n'est qu'un prétexte de plus pour camoufler la lâcheté de nos ancêtres. Il aurait été préférable pour nous de mourir au combat que de se laisser soummettre au chef de l'Église Anglicane, Jeanne d'Arc en aurait honte.

    Votre Vaudreuil était tellement Canadien qu'il considérait que cela ne valait pas la peine de vivre au Canada, c'est pour cela qu'il est parti en France pour terminé ses 15 dernières années de sa vie dans un chateau et cela après avoir abandonné ses compatriotes aux mains des anglais. Vaudreuil a fait de la prison pour cause de trahison, il n'avait pas l'autorité requise pour capituler, alors que la guerre n'était pas officiellement terminé. C'est pour cela que Lévis devait désobéir à Vaudreuil et le déposé pour trahison.

    Ensuite, Montcalm n'était pas l'envahisseur, mais dans une position défensive, il ne s'agisait pas pour lui de foncer, mais de défendre et il a accepté de mourir au combat contrairement à Vaudreuil le traître. Ensuite, cette capitulation n'est pas seulement la réddition d'une ville. Vaudreuil a signé un acte qui cède en entier la nouvelle France à l'angleterre. Un gouverneur est mandaté par le roi pour gouverner un territoire et Vaudreuil a remis son poste de gouverneur à Amherst en capitulant, tout simplement.
    Son geste fut un acte de haute trahison et Louis XV a été très indulgent à son égard. Lorsqu'on perd la guerre, on perd notre pouvoir de négocier et la négociation du traité de paris c'est conclu en fonction de cette capitulation.

    Au lendemain de la capitulation de Montréal le 9 septembre 1760, le général en chef Jeffrey Amherst reconnaît, dans les ordres généraux adressés à ses troupes, que les Français sont devenus, par le fait de leur soumission, des sujets britanniques et qu'en conséquence ils ont le droit à la protection du souverain anglais. Le général Amherst avait même procèdé à l'organisation d'un régime administratif provisoire sous forme de loi martiale. Le Traité de Paris n'est que la confirmation de ce transfert des propriétés du Roi de France au Roi d'Angleterre sur les terres d'Amérique. Le traité de Paris n'a fait que constater la réalité sur le terrain. Le roi de France ne pouvait rien faire, soit qu'il signait le traité ou qu'il continuait la guerre pour récupérer la nouvelle France. Si nous avions résisté jusqu'en 1763, là on aurait eu raison de reproché à la France de nous avoir abandonné. La France par notre capitulation a perdu la guerre en amérique en 1760. Le traité de paris n'était qu'un processus de négociation afin de récupérer la nouvelle France qui n'était plus française depuis 3 ans. L'angleterre voulait garder sa colonie et ne voulait surtout pas avoir un ennemi à coté de ses intérêts, alors il a préféré garder la nouvelle France. C'était lui qui était en position de force dans cette négociation et non la France.

    Que voulez-vous, c'est nous qui avons abandonné la France et qui avons choisi volontairement de devenir des sujets de la couronne anglaise et c'est ainsi qu'on a nationalisé l'identité canadienne au départ.

    Ensuite, vous dites que "La France n’avait pas fait ce qu’il faut déjà il y a longtemps en ne peuplant pas suffisamment sa colonie de Nouvelle-France, par manque de vision stratégique, et elle le regrette toujours aujourd’hui, faute d’un souverain clairvoyant d’une lignée déliquescente qui a été écourtée 30 ans plus tard."

    C'est vrai, mais il est facile pour vous d'être clairvoyant pour le passé, alors que vous n'étiez pas là à cette époque sans savoir le futur. Le roi surestimait la capacité défensive de la colonie et cela pendant longtemps, car nous gagnions et bien souvent dans des situations très minoritaire. Vous n'avez qu'à lire sur la bataille de la Monongahela en 1755. La majorité des tribus amérindienne en amérique était de notre coté. Même Pontiac lui-même a résisté au nom de la France à l'Angleterre après que nous avions capitulé.

    Ensuite, non, une vraie nation n'est pas métissé culturellement parlant. Cessez de définir la nation en fonction de la composition de nos globules rouge. Il y a autant de nation québécoise différente que de définition différente de l'identité québécoise. C'est uniquement l'absence d'unité national de la nation que nous sommes divisé sur la question national et l'identité québécoise sera toujours la cause de notre défaite tant aussi longtemps qu'on ne reconnaîtra pas en nous l'identité française. L'identité québécoise a divisé la race française en amérique et cela au détriment de l'ensemble de la nation française d'amérique. Le sol ne peut pas définir une nation c'est la nation qui doit définir les limites du territoire et non le contraire.

  • « Un jeune batard québécisé »

    9 août 2009


    M. Luc Archambault

    Tout d’abord, c’est Vaudreuil lui-même qui a demandé la capitulation de l’armée et non le ROI, même Montcalm a refusé de capitulé qui lui est mort au combat. Ensuite, si vous relisez l’histoire Lévis lui-même était contre cette capitulation de Vaudreuil alors qu’il venait de battre les Britanniques à Sainte-Foy. Ce dernier était celui qui était le mieux placé pour prendre les décisions, car étant celui qui était au front contrairement à Vaudreuil qui a bien mérité son séjour en prison pour avoir fait déserter son armée. On a capitulé par haute trahison à la couronne et on le renie aujourd’hui. Et le comble dans tout cela c’est que Vaudreuil le canadien a terminé ses jours dans un chateau en France.

    Louis XV n’a pas su avoir un peuple qui le méritait, sans courage et défaitiste au combat. Ensuite, cette capitulation a eu lieu avant que la guerre de sept ans soit terminé, ce n’est pas cette capitulation qui a mis fin à cette guerre. Ensuite, le traité de paris a été négocié en fonction de cette capitulation et non en fonction d’une défaite, nous étions déjà sous l’emprise de l’empire britannique avant même que la guerre soit fini. Les anglais ont tout simplement refusé de rendre la colonie à la France, ce n’est pas la France qui a donné la colonie mais nous-même qui se sont donné volontairement à l’empire britannique.

    Ensuite, ce que vous appelez du métissage était considéré à cette époque comme étant de l’adultère par la plupart des gens du pays, car à cette époque ultra catholique, l’Église interdisait aux catholiques de marier des non-catholiques. Il n’y avait pas de mariage sans baptème ou sinon on appellait la chose du concubinage et les amérindiens converti était peu nombreux. Les quelques amérindiennes qui se sont converti leur permettant de se marier avec des Français était pour la plupart que des orphelines sans éducation amérindienne qui ont soigneusement été cathéchisé en Français. Le réel métissage n’a eu lieu que dans l’ouest canadien et bien après la guerre de conquète. L’époque des véritable conversions amérindienne date plutôt du 19e siècle et très peu avant.C’est aussi pour cette raison que cette très dérisoire minorité de coureur des bois était considéré par la population en générale comme étant des personnes de mauvaises moeurs et infréquentable. Leur métier a été longtemps été interdit à la fois par l’église et les autorités coloniales. C’était aussi que de vulgaire contrebandier d’alcool pour les amérindiens, un commerce qui était interdit par l’église. Ensuite, vos coureurs des bois se sont rapidement laissé employer par la compagnie de la baie d’hudson car après la conquète, l’angleterre favorisait les marchands anglais pour la traite de la fourrure et la France n’était plus dans le paysage. Les coureus des bois sont les ancêtres du beaver club fédéraliste d’aujourd’hui, anglicisé et embourgeoisé par l’argent britannique.

    Ensuite, laissez tombé votre conception métissé d’une nation, la nation n’est composé que d’une culture et lié par un seul sentiment d’appartenance, ce qui n’est pas le cas au Québec ou sinon le référendum aurait passé depuis longtemps. Ensuite, je vous le répète encore une fois, la langue française n’est pas de culture Québécoise. Faudra-il une autre révolution tranquille pour vous redéfinir une quatrième fois ?

  • « Un jeune batard québécisé »

    8 août 2009


    M. Luc Archambault

    Vous dites que "Collectivement, nous ne sommes plus français, ni partie du peuple de France depuis l’abdication de fait de LOUIS XV."

    Relisez l'histoire et vous allez comprendre que c'est tout simplement FAUX.

    Tout d’abord, il faut comprendre que ce n’est pas la bataille des plaines d’Abraham du 13 septembre 1759, ni celle de Sainte-Foy du 28 avril 1760 et ni même le traité de Paris de 1763 qui ont décidé du sort de la Nouvelle-France et de ses habitants, mais bien la CAPITULATION du 8 septembre 1760 de Pierre de Rigaud de Vaudreuil qui était originaire de Québec et qui après sa capitulation a terminé ses jours en France.

    C'est nous avons qui avont capitulé et non Louis XV.

    Nous avons perdu par nous-mêmes, sans l'aide de personne. La France est responsable de notre échec tout simplement parcequ'on en faisait partie, car on n'envoie pas des renforts à des personnes qui ont tout simplement CAPITULÉ. Et c'est cette capitulation qui a donné naissance au peuple canadien qui est devenu Canadien-français pour ensuite devenir Québécois.

    Il est faux de croire que les Canadiens n'avaient plus de sentiment d'appartenance pour la nationalité Française en 1760. Il n'y avait pas de mouvement indépendantiste. Ils s'identifiait à la France. L'identité canadienne n'était qu'une distinction régional, comme on le fait aujourd'hui entre les Montréalais et les Gaspésiens. C'était pour eux la nouvelle FRANCE. Vous semblez l'oublier.

    Ensuite, les amérindiens ont très peu influencé nos moeurs, c'est plutôt l'inverse, c'est nous qui avons assimilé les amérindiens à nos coutumes et à nos croyances. Connaissez-vous beaucoup de Québecois avec des noms de Famille amérindien ? L'idée du métissage est un mythe, une légende, l'identité ne repose pas sur le sang, mais sur un sentiment d'appartenance à une croyance, à une culture. Ensuite, Vous êtes Québécois aujourd'hui, uniquement parceque les Anglais ont donné le nom de "Québec" à la province. La création de la province du Québec est une initiative britannique.

    Mais je suis d'accord avec vous lorsque que "Nous ne sommes pas partie du peuple de France, nous ne sommes pas une extension du peuple de France. Nous ne le sommes plus depuis la Conquête. Nous sommes le peuple souverain du Québec distinct du peuple de France et de tout autre."

    On a renié notre passé, tout simplement, nous ne sommes plus ce qu'était nos ancêtres et nous arrivons même plus à savoir ce qu'ils étaient réellement.

    Ensuite, lorsque vous affirmez que la nationalité Québécoise est majoritairement d’origine française, vous supposez et à votre insu qu'il y a une nationalité Québécoise qui n'est pas d'origine française.

    Ensuite, lorsque vous me sortez l'expression de « Franco-Québécois » vous ouvrez la porte à l'expression d'une identité québécoise qui n'est pas francophone. Le métissage n'existe pas dans votre tête car vous tombé inévitablement dans une catégorie distincte pour vous définir. La nation est UNE et HOMOGÈNE par définition, il n'y a pas de sous-catégorie identitaire. La diversité culturel est le pire ennemi de l'unité national d'une nation et les anglais l'ont mieux compris que vous.

  • « Un jeune batard québécisé »

    5 août 2009


    Nous étions Canadien-Français pour nous distinguer des canadiens non-Français car nous habitons tous le même territoire du Canada, maintenant on répète la même attitude sur le territoire du Québec en se disant Québécois-Français afin de nous distinguer des Québécois Non-Français. Cette attitude présuppose au départ qu'il y a deux identités québécoise différente, soit une qui se défini en fonction du sol et une qui est défini en fonction de la langue.

    Cependant, je le répète la langue Française n'est pas de culture canadienne, ni de culture Québécoise, mais bien de culture Française.

    Il faudra mettre fin un jour à ce dédoublement d'identité et se dire Français une fois pour toute. L'identité français est universelle et dépasse les Frontières de la France. À la l'époque de la nouvelle France, le roi de France était aussi le roi des Français peu importe où il se trouve. La notion de patrie n'est pas attaché à la terre, mais à une famille dont le chef de cette famille en est le père. Cette identité territoriale nous divise, car il n'y a pas de mariage possible entre le nationalisme civique et le patriotisme.

  • Le jour de l’indépendance

    27 juillet 2009


    L'idée qu'on aurait fait notre indépendance n'est que de la pure spéculation. Il n'y avait pas de mouvement d'indépendance et au contraire. Les premiers colons avaient en grande majorité les même descendant que les contre-révolutionnaires vendéen et Chouans. La nouvelle-France était plus catholique que la France et on a tendance à l'oublier.

    Après la conquête anglaise, ils étaient heureux de ne pas avoir subi la révolution française car ils étaient profondément contre-révolutionnaire et croire le contraire est une mauvaise interprétation des moeurs et de la mentalité de l'époque. Ils étaient royalistes.

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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