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Nicolas Rodrigue

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    Nicolas Rodrigue2 articles

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Est-ce que la démocratie parlementaire est respectée?

  • Nicolas Rodrigue
  • 5 décembre 2008
  • Tribune libre 2008
  • 1 commentaire

Pour l'indépendance d'une Nouvelle-France

  • Nicolas Rodrigue
  • 28 juillet 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 7 commentaires

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Commentaires de Nicolas Rodrigue

  • Le jour de l’indépendance

    26 juillet 2009


    Le Problème Monsieur Gégé Tremblay c'est que le Canada à l'époque de la nouvelle France n'était qu'une province Française créé par la monarchie Française. L'identité canadienne à cette époque était autant provinciale ou plutôt régional que celle du Québec. Nous avons nationalisé l'identité canadienne alors qu'elle n'était que régional depuis le début.

    Avez-vous renié votre identité Française ?

  • Québec solidaire obtient 8 % des intentions de vote

    27 mars 2009


    Ce sondage confirme ce que je croyais, c'est la mort annoncé du PQ et le PQ ne l'a pas encore compris.

    C'est uniquement l'élection de Amir qui a propulsé en hausse dans les sondages Québec Solidaire et je crois qu'on n'a pas fini de les voir monter.

    Tout d'abord, le virage à droite de la politique économique du PQ est la principale cause de cette montée de la gauche et cela depuis le sommet socio-économique de 1996. La politique a horreur du vide et le virage à droite du PQ a créé un vide politique à gauche et ce vide vient d'être comblé par l'élection de Amir Khadir, alors il risque d'aspirer tout le vote de gauche qui votait PQ par fatalisme ou qui ne votait plus depuis longtemps.

    On remarque déjà depuis l'élection de leur premier député que le parti est beaucoup plus médiatisé qu'avant l'élection et plus les sondages leur seront favorables, plus ils vont attirer l'attention des médias. Ensuite, l'attention médiatique attire beaucoup le vote, peu importe le contenu du programme.

    Le PQ est finalement le grand perdant de cette élection, malgré l'apparence d'une remonté.

  • Est-ce que la démocratie parlementaire est respectée?

    5 décembre 2008


    Il est intéressant de constater que la décision de Michaëlle Jean n'a pas subi d'opposition de la part de la coalition et de la population en générale.

    Dans une démocratie parlementaire, le véritable gouvernement est celui qui possède l'appui majoritaire des députés du parlement.

    Les membres de la coalition ont tous exprimé le désir que la gouverneure générale refuse de fermer le parlement. Elle avait la pleine liberté de refuser la suggestion de Stephen Harper, car la majorité des députés du parlement étaient contre cette suggestion. Stephen Harper n'a pas donné donné un ordre à Michaëlle Jean, mais bien une proposition. La demande de Stephen Harper était qu'une simple suggestion de fermer le parlement.

    Dans une monarchie, le roi est libre d'accepter (ou de refuser) la suggestion d'un conseiller, même si la majorité des conseillers du roi s'oppose à la suggestion de ce conseiller.

    Et bien c'est la même chose qui vient de se produire avec Michaëlle Jean, elle a accepté la suggestion de Harper malgré l'opposition de la majorité des députés du parlement.

    Voyant l'absence d'opposition de la part de la population, je déclare que nous sommes tous à l'aise avec une gouvernance royaliste.

    Vive la monarchie!!

  • Le premier Canada (3/5)

    27 septembre 2007


    Suite au texte précédant

    M. Gaston Boivin, votre perception est mauvaise, ils sont resté ici après la conquête pour la majorité, parce que cette très vaste majorité dont vous parlez avaient des terres ici. Ils n’avaient pas les moyens de recommencer leur vie en France avec leurs nombreuse familles. Ils sont resté ici par résignation, comme bon chrétien qu’ils étaient voyant toute chose selon la volonté de Dieu. Et ils ont pendant plus d’un siècle après cette évènement considérer cette conquête de l’Anglais, comme étant un désir de Dieu de préserver la colonie de l’influence néfaste de la Révolution Française. Mais si la France n’avait pas perdu l’Âme lors de cette révolution, Dieu n’aurait jamais permis que la colonie soit prise par l’Anglais. Et ces colons auraient tout fait pour rester Français, contrairement à vous.

    Le Canada n’était pas un pays, mais une région de France c’était aussi pour eux une Nouvelle France. Si advenant la souveraineté du Québec, il y avait une partition par la force de l’Abitibi, croyez-vous sincèrement que l’Abitibi se viderait de ses habitants sous prétexte que ceux-ci auraient une préférence pour le Québec plutôt que le Canada. Lorsque tu as une ferme et une douzaine d’enfant, tu ne peut pas te permettre n’importe quoi. C’est vrai, ils étaient attaché au Canada. Mes à l’intérieur d’eux, ils étaient encore Français, ce qui ne semble pas le cas de VOUS, mon ami.

  • Le premier Canada (2/5)

    25 septembre 2007


    Vous parlez comme si les colons Français de la Nouvelle France avait le désir d'être abandonné de la France. Comme si c'était leur désir de ne plus être Français. C'est peut-être le vôtre, mais ce n'était pas leur désir. Même après la guerre de conquète, il craignait de n'être plus Français et ils espéraient encore que la France revienne. Il n'est question d'aucun canadien dans le traité de Paris, on y parle que d'"habitant du Canada" et de "François".

    ARTICLE 4
    « Sa Majesté Britannique convient en outre, que les Habitans François ou autres, qui auroient été Sujets du Roy Très Chretien en Canada, pourront se retirer en toute Sûreté & Liberté, où bon leur semblera, et pourront vendre leurs Biens… »

    ARTICLE 7
    « Afin de retablir la Paix sur des Fondcmens solides & durables, & écarter pour jamais tout Sujet de Dispute par Rapport aux Limites des Territoires Britanniques et François sur le Continent de l'Amerique, il est convenû… »

    Vous pouvez trouvez le mot "canadien" en cherchant dans les archives, mais se sera toujours plus marginale que l'expression identitaire d'une nation Française. Leur attachement à la France était palpable, même après 1763. Même en 1826,soit plus de 50 ans après la guerre de conquête, le journal Minerve se défendait encore d'être un journal canadien voici un extrait:

    « Fait pour les Canadiens, notre papier aura pour bût morale leur union, leur instruction, leur attachement à la morale et à leur religion; pour bût politique, la libre jouissance de leurs justes droits et le respect pour l’empire florissant(Angleterre) dont nous dépendons, et pour son chef auguste. Nous ne croyons pas qu’on nous fasse un crime de dire après cela, que la Minerve sera un papier Canadien. Les intérêts du peuple de ce pays ne sont pas contraires aux droits de la mère-patrie (La France) , des bienfaits de laquelle il n’a qu’à se louer; et aussi son attachement pour elle ne le cède-t-il à aucun sentiment. Mais il est tout naturel que, dans un pays habité par deux peuples d’origine différente quoi qu’également sujet d’un même empire, protégés par les mêmes lois, et jouissant de droits égaux; … » Archives nationales du Québec.

  • Le premier Canada (2/5)

    24 septembre 2007


    Vous n'avez que des traductions écrite en 1963. Pendant près de deux siècles, les historiens ont remplacé l'expression "colon Français" par "Canadiens" afin d'attaché leur appartenance identitaire au passé. Le rejet de la France a été la cause de beaucoup de révisionnisme, lors de la traduction du vieux français. Et on a retrouvé des documents au Québec en "François" jusqu'en 1826. Le mot "Canadien" lui-même ne semble pas existé en vieux français, on parlait plûtot de "la colonie françoise du Canada". À partir de ces traductions, on a commencé à parler de l'histoire du Canada plutôt que de l'histoire de la nouvelle-France. Et on répète la même erreur aujourd'hui dans nos livres d'histoire avec le "Québécois" ou encore le "Québécois-Français". Les acadiens eux-mêmes ont oubliés que leur drapeau n'est qu'une réplique du tricolore Français de la révolution de 1789, soit après 1760.

    Il y a plusieurs document que je n'ai pas en ma possession qui exprime bien ce sentiment d'abandon de la France qu'on peut retrouver dans des chants et des poèmes populaire de l'époque. C'est de cette triste époque que vient l'expression connu de "Maudit Françâ". Car la France avait réellement abandonné sa colonie en faveur des antilles française et de ses épices. La nouvelle France n'était plus pour eux que quelques arpents de neige et le commerce de la fourrure n'était plus autant rentable.

    Alors, les colons n'ayant plus de sentiment d'appartenance avec la France, le Canada comme territoire fut alors devenu leur seul port d'attache identitaire. Une belle erreur selon moi qu'on répète aujourd'hui avec l'identité Québécoise. On se divise pour mieux se faire dominer.

  • Le premier Canada (2/5)

    22 septembre 2007


    M.Deshaies, vous n'avez qu'à relire les traductions fidèle des textes qui datent de l'époque de la Nouvelle-France et vous allez constatez qu'il n'est pas question de "Canadiens" dans leurs écrits. Il y a une constance dans les vieux documents historiques qui date d'avant 1760 et cette constance est l'affirmation d'une nation Française et non Canadienne. Le concept même d'une nouvelle France avait pour but de fonder ici une nouvelle France et non un nouveau Canada. C'est d'une nouvelle race Française qu'on parlait à cette époque. Et l'effort d'assimilation des indiens était justement dans le but de faire d'eux des "Français", ils étaient même considéré comme tel par décret du Roi. L'identité canadienne c'est fondé par un sentiment d'abandon et de rejet vis à vis la France et lorsque celle-ci se laïcisa lors de la révolution française, ce sentiment d'appartenance c'est rompu en encore plus affermissant ainsi leur nouvelle identité "Canadienne", car nous étions plus catholique qu'en France. Mais tout cela n'a pas été voulu d'eux, mais imposé par les évènements.

    Pourquoi pensez-vous qu'on retrouve en Guadeloupe ou à Saint Pierre et Miquelon, une culture beaucoup plus Française qu'ici? Et bien c'est parce qu'ils n'ont pas subit cette abandon de 1760. Et pourtant, ils ne sont pas moins éloigné géographiquement de la France que nous.

    Vous avez un conception civique du nationalisme "Canadien" lié au territoire du Canada. La race Française de l'époque n'avait pas ce concept de leur identité. Le roi de France était aussi le roi des Français. Le concept de l'identité "Francaise" était sans frontière, elle n'était pas liés au territoire de la France. C'est pour cela qu'on a retrouvé l'idée d'une Amérique française, d'une Afrique française ou encore l'indo-Chine Française. Est-ce que votre Canada est réellement Français, j'en doute. Francais de langue oui(sauf si on parle le canadianisme), mais non de coeur ou de culture française.

  • Le premier Canada (2/5)

    21 septembre 2007


    M. Deshaies, je crois que vous avez une fausse perception de l'identité des premiers colons. L’affirmation national de l’identité canadienne était très marginal avant 1760, le mot « canadien » lui-même est presque inexistant. Les colons se déclaraient plutôt comme étant des Français et non comme des Canadiens. Le Canada de la Nouvelle-France n’était pas un pays indépendant, mais une région de France au même titre que la Lorraine. Ce n'était que le nom d'un territoire, rien de plus. Il y avait autant de personne qui se disait "canadien" dans le Canada de la Nouvelle-France que de personnes qui se disait "Québécois" dans le Québec d’avant la révolution tranquille, soit presque personne. Ensuite, plusieurs se demande pourquoi notre histoire a-t-elle un passé qui ne dépasse guère 30, 40 ou 50 ans ? La raison est pourtant simple, la nation Québécoise n’a pas plus de 50 ans. Nous ne sommes plus ce que nos ancêtres étaient, ce n’est plus la même nation qu’autrefois. Un groupe ou une collectivité devient une nation lorsque les membres de ce même groupe exprime leurs sentiments d’appartenance au même groupe de LA MÊME MANIÈRE. La nation est lié à un sentiment, à une émotion et non au territoire. Chaque façon différente d’exprimer une identité véhicule automatiquement un esprit, une culture et une mentalité différente. L'identité des premiers colons n'était pas lié au "Canada", qui n'était pour eux que le nom du territoire. Et pour ce qui est du territoire, on mettait beaucoup plus l'accent sur le terme de "Nouvelle-France", car ils étaient attaché de coeur à la mère patrie.

    De plus, nous occultons notre passé parceque nous avons rejeté un passé qui se définissait comme étant Catholique. Et le passé lointain, soit à l’époque de la Nouvelle-France se définisait comme étant à la fois Catholique et Français. Nous avons tout simplement rejeté notre appartenance Française et Catholique. La nation Française avant la révolution Française était catholique par définition. Nous regardons ce passé comme dans un miroir qui ne reflète pas notre image, qui ne reflète pas l’identité "Québécoise" ou "Canadienne".

    Il ne faut pas regardez le passé avec les yeux d’aujourd’hui, mais il faut regarder le passé avec les yeux de ceux qui ont vécu à cette époque. La nation Québécoise est laïque par définition. Et la nation qui a vécu au temps de la Nouvelle-France était Catholique et Français par définition. Notre crise d’identité se trouve dans ce déracinement. Nous ressentons un peu aujourd’hui ce que les Français d’ici ont ressenti lorsqu’ils ont été déraciné de la France par la force, en 1760. Ce qui a provoqué l’émergence de la nation dites "Canadienne". Alors, M.Deshaies, vous seriez aimable de ne pas leur attribué une identité à laquelle, ils ne s'identifiaient pas. Vous répétez l'erreur des historiens du 19e siècle. Ils étaient Français et non Canadiens. Et encore moins Québécois.

  • Pour l'indépendance d'une Nouvelle-France

    31 juillet 2007


    M. Jodoin,

    Lorsque vous dites «que la re-découverte de la Nouvelle-France par les Franco-Américains, c’est eux qui doivent la faire, c’est n’est pas - selon moi - aux Québécois de les guider.» Je vous répond en disant que je ne cherche pas à guider personne, je crois seulement qu'un projet semblable doit se réaliser avec eux et non sans eux. Il ne faut pas limité son identité en fonction d'un territoire, il faut regarder cette francophonie comme un ensemble indivisible, cette identité française que je vous présente ici n'a pas de frontière. Je suis né au Québec, mais je ne me considère plus comme un Québécois, mais comme un Français. La Nouvelle-france que j'aime n'a pas de frontière, elle englobe toute cette francophonie et je veux qu'on travaille tous ensemble.

    Et ce parti politique que je propose doit aussi dépassé les frontières du Québec, elle doit pouvoir exister en dehors du Québec, tout en ayant le même nom. Une sorte de bloc Français où nous pourrions avoir des députés Français provinciaux en dehors du Québec, comme au Nouveaux-Brunswick par exemple. Nous pourrions même avoir des associations du même parti au États-Unis, il n'y a pas de limite à ce que nous pouvons faire. Vous voulez un souffle vraiment nouveaux et bien je vous en propose un ici, l'indépendance de la Nouvelle-France. Je crois sincérement qu'on fait du recyclage avec ce nouveau parti indépendantiste qu'on tente de fonder.

  • Pour l'indépendance d'une Nouvelle-France

    31 juillet 2007


    Parfois, il faut réparer les erreurs du passé pour construire quelque chose de nouveaux dans l'avenir. Il ne faut pas s'attardé à ce qui nous divise, mais à ce qui nous unis. Et M.Big Cat vos 20 millions de francophones sont aussi descendant de la France, leurs ancêtres était aussi des Francais et ils ne sont pas tous des descendants Canadien-Français. L'affirmation national de l'identité canadienne était très marginal avant 1760, le mot «canadien» lui-même est presque inexistant. Ils se déclaraient plutôt comme étant des Français et non comme des Canadiens. La Nouvelle-France n'était pas un pays indépendant, mais une région de France au même titre que la normandie. De plus, les descendants de ces 20 millions n'était pas tous des exilés, la vie dans le grand nord était pénible et il ne faut pas oublié la déportation des Acadiens de la Nouvelle-Écosse vers la nouvelle-angleterre en 1755. Il y avait aussi une migration de la Louisiane vers la Nouvelle-Angleterre.

  • Pour l'indépendance d'une Nouvelle-France

    30 juillet 2007


    M. Claude Jodoin

    Tout d'abord, vous vous déclarez comme Québecois-Hors-Frontières est ce que vous croyez que tout les Francopones d'amérique affirme leur identité de la même manière que vous, croyez-vous qu'ils peuvent tous s'identifié au Québec ou au pays futur du Québec. Je crois que Non, mais ils ont tous un point commun, ils sont tous d'origine française et c'est sur cela que doit se construire ce futur pays.

    Je peux comprendre qu'en pratique, il est difficile de construire un pays avec des personnes dispersé dans une mer anglophone. Mais un pays avant de se matérialiser est tout d'abord à l'intérieur de vous. C'est principalement un sentiment d'appartenance à une collectivité qu'elle soit dispersé ou non et c'est une émotion que je désire cultivé chez les autres.

    Le pays sur le plan matériel n'est que le lieu ou réside une nation peu importe sa taille, que se soit un village, une région ou même un quartier. Cela commence chez vous et rien n'empêche les anglophones à se convertir à cette nouvelle identité française. Si les anglophones sont près à se détacher de leurs origines anglaise, qu'ils aiment cette Nouvelle-France et veulent aprendre la langue française rien ne peux les empêcher.

    Lorsqu'on importe un immigrant et que celui-ci ne s'assimile pas à la nation qui l'accueil c'est un pays qu'on importe. Et parfois c'est la nation qui reçoit qui s'assimile avec l'immigrant c'est alors que cette nation se tranforme, elle n'est plus la même, elle change et devient une tout autre nation. Rien est impossible, mais cela va se concrétiser par étape. Il s'agit de ne pas se limité au Québec, il faut ouvrir nos horizons.

  • Pour un nouveau parti

    28 juillet 2007


    Je vous retourne l'argument M.Deshaies. Monsieur Verrier a tort de supposer qu’un Nouveau parti indépendantiste pourrait être contre-productif. Quand on sait que le combat DANS le PQ à vouloir l'améliorer nous bouffe tellement d’énergie que le temps à mettre pour éduquer à l’indépendance du Québec devient une tâche impossible.

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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