Que le PQ tienne bon, l'ère de la culpabilisation est finie
20 octobre 2007
D'accord, évidemment!
Raymond Poulin
La peur de l'indépendance, dites-vous? Non: la crainte de la louper, une fois de plus et une fois de trop.
Voulez-vous bien me dire, crisse! ce que nous avons fait à l'Histoire pour mériter le choix entre la mort par capotage ou par collision frontale?
Faudrait-il donc défendre les effets d'un programme scolaire qui a tourné au vinaigre par esprit partisan?
Aux amateurs de "vraie confédération canadienne"...
De toute manière, le Québec n'a rien à gagner d'une confédération avec un État qui aurait trois fois son poids
400e - une affaire canadian ?
On est où, là? Dans un bordel de troisième ordre?
On ne règlera pas un problème québécois actuel, si tant est qu'il en constitue vraiment un, en se laissant manipuler par une perception imposée par la stratégie démoniaque du complexe usaméricain mentionné ou par un désir subconscient de vengeance mal orienté.
Quand on veut produire des citoyens manipulables...
Identité québécoise