• Vigile en 24h 1 article Speech bubble 4 commentaires
  • 10 visiteurs connectés
  • Connexion
logo
  • Vigile
    • Rubriques
      • Histoire
      • Économie
      • Actualité internationale
      • Actualité québécoise
      • Géopolitique
      • Actualité canadienne
      • Médias
      • Société
      • Souverainisme
      • Vigile.Québec
    • Articles
    • Sources
    • Revues
    • Dossiers
    • Auteurs
  • Actualité
      • Dossiers du jour
      • Actualité québécoise
      • Actualité canadienne
      • Actualité internationale
      • Géopolitique — France - (2 articles)
      • Hydro-Québec — Grande Braderie - (2 articles)
      • Décoder le présent - (1 article)
      • Géopolitique — États-Unis d'Amérique - (1 article)
      • L’âme des peuples se trouve dans leur histoire - (1 article)
  • Articles récents
  • Revues de presse
  • Auteurs
  • Éditorial
  • Chroniques
  • Dossiers
  • Tribune Libre
    • Envoyer un texte
    • Politique éditoriale
    • Guide pratique
  • Radio / Vidéo
  • Dons
    • Vigile a besoin de votre appui!

      Joignez-vous aux Amis de Vigile

      Faire un don unique
      S'abonner
    • Pour joindre Vigile


      Envoyer un message
      Envoyer un texte

Serge Gingras

  • Squared

    Serge Gingras10 articles

    • 6 208







M. Tariq Ramadan

Une anguille?

  • Serge Gingras
  • 7 novembre 2009
  • Tariq Ramadan
  • 11 commentaires

Cochonnerie

  • Serge Gingras
  • 2 novembre 2008
  • Tribune libre 2008

L'attentat du 11 septembre 2001

Tout ça sent mauvais

Il y a deux choses qui me tarabustent dans cet attentat

  • Serge Gingras
  • 22 juin 2008
  • Tribune libre 2008
  • 1 commentaire

La petite mosquée dans la prairie

  • Serge Gingras
  • 20 juin 2008
  • Tribune libre 2008
  • 2 commentaires

L'affaire Mulroney

  • Serge Gingras
  • 13 novembre 2007
  • Tribune libre - 2007

Sans pouvoir économique, notre chien est mort

  • Serge Gingras
  • 5 septembre 2007
  • Tribune libre - 2007

La présence du Bloc à Ottawa : désirable, nécessaire

  • Serge Gingras
  • 8 août 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 1 commentaire

M. Ignatieff a vu la lumière, grand bien nous fasse

  • Serge Gingras
  • 6 août 2007
  • Tribune libre - 2007

Réponse à M. Laberge, du Devoir

La mondialisation a le dos large

  • Serge Gingras
  • 4 août 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 1 commentaire

L'article de M. Dufour dans le Devoir

  • Serge Gingras
  • 1 août 2007
  • Tribune libre - 2007

Financement

  • Maxime Boisvert - 2 juin 20245 $
  • André Lepage - 22 mai 20245 $
  • Gilbert Paquette - 20 mai 202410 $
  • Matthieu Rivet - 17 mai 20245 $
  • Hugo Lavoie - 10 mai 20245 $

Commentaires de Serge Gingras

  • Retour sur l'oppression à Toronto

    23 août 2010


    Faites ce que je dis. Pas ce que je fais. Dixit la majorité silencieuse du Canada anglais.

    Nous glissons, graduellement, vers le fascisme. Petit à petit, l'oiseau fait son nid, dit le proverbe. C'est exactement ce à quoi nous assistons ces dernières années, bien avant Harper. Souvenez-vous du Sommet des Amériques, le piège-à-cons par excellence. Corporate America nous attendait et nous fummes bien reçus : à coup de balles de caoutchou à la tête, grâcieuseté de la GRC, essentiellement.

    Le Canada est encore un beau et bon pays, me rappelait un Rouandais encore dernièrement, mais pour combien de temps? Là est la question. Qousque tandem? Jusques à quand? Nous sommes sur la pente savoneuse, et plus nous tardons à réagir, plus cela va aller en s'accélérant. Un jour, nous serons muselés et éventuellement enfermés pour délit d'opinions. Ça va être beau.

  • La folkorisation de la cause québécoise

    9 août 2010


    " Qui est enterré est, d’une certaine façon, guéri. À cet égard, ouais, les fédéralistes ont raison de croire qu’en donnant plus de temps au régime canadien, il finira par arranger le Québec. "

    Eh! oui. C'est là le secret. Tout vient à point à qui sait attendre. Le temps joue en faveur de nos ennemis. Appelons les choses par leur nom. Adversaire est un euphémisme de mauvais aloi. Appelons un chat un chat.

    Les carottes ne sont pas encore cuites, pour nous, mais elles sont sur le feu. Un café avec ça?

  • Le F-35, un gouffre inutile

    7 août 2010


    Tiens! tiens! On nous avait pas dit ça. Comme c'est intéressant, et surtout révélateur, lourd de menaces pour notre démocratie.

    Matière à penser...

  • Des questions dérangeantes qui demeurent sans réponse

    3 mai 2010


    Pourquoi M. Silverstein, le propriétaire du complexe du World Trade Center, a-t-il ordonné la démolition de l'édifice No 7, ou tour C, comme on l'appel aussi, malgré les rapports favorables des pompiers et des inspecteurs en bâtiments qui on conclu que la structure était saine.

    Comment peut-on placer en une heure et demie les charges nécessaires à assurer une parfaite implosion dans un édifice aussi imposant que la tour C. : 47 étages, des centaines de mètres de facade, une largeur de plus de 50 mètres. Les artificiers américains sont vraiment des as de la démolition.

    Les débris des trois tours ont été expédiés chez un ferrailleur en Indonésie, pas au USA. Pourquoi? Cela en quatrième vitesse.

    Les débris des deux tours fumaient encore des semaines après le 11 septembre. Est-ce normal?

    On a tout fait pour rendre impossible une enquête impartiale et fouillée sur ces évènements. Toutes les preuves matérielles ont été inaccessibles dès le début et détruites de façons systématiques depuis.

    Il y a anguille sous roche. Oui, il y a matière à enquête. Où sont les débris des avions sur le Pentagone et celui qui s'est écrasé en Virginie. On a jamais vu ces débris de façon satisfaisante ni crédible. Normallement, lorsqu'un avion s'écrase, les débris sont répartis sur une vaste surface et ils sont surtout identifiables. Dans les deux cas qui nous intéressent, l'absence de preuves matérielles est remarquable. Pourquoi?

    On veut savoir!

  • M. Tariq Ramadan

    9 novembre 2009


    Je ne suis pas opposé à Tariq Ramadan. Je déplore le fait que sur certaines questions, élémentaires pour nous, occidentaux, il patine, ne se mouille pas, tergiverse.

    Je n'ai pas lu Tariq Ramadan, je l'ai écouté, observé, entendu, à plusieurs reprises, aussi bien ici, au Canada qu'à la télé française, TV5. Mon opinion est basée sur mes connaissances personnelles, pas des ouie-dire. La plus grande part de son discours, celui que je connais, me sourie. Là où j'ai déchanté, c'est lorsqu'il a patiné, slalomé. Il faut s'interroger sur la crédibilité à apporter à un individu qui refuse de répondre franchement à une question simple.

    Vous dites qu'il est contre la mise à mort des homosexuels. Je m'en réjouie. Est-il pour leur droit à une vie normale d'homosexuel, comme on les voit ici, à Montréal ou ailleurs au Québec? Est-il de l'école de Jean-Paul deux, qui leur niait le droit de vivre leur homosexualité?

    Que fait-il des athées? Doit-on leur trancher la tête ou bien respecter le droit à la dissidence, sans les embêter? Quid des apostats? Et d'autres questions de cette nature.

    Il y a lieu de s'interroger sur qui est Tariq Ramadan. Qui se ressemble s'assemble, et les congénères de M. Ramadan me font peur. Il y a, j'en conviens, en Iran, un mouvement de réforme de l'Islam. En fait-il parti? Je le crois, mais...

    Il faut inviter M. Ramadan et l'interroger, poliment, mais fermement, sur nos questions fondamentales en notre société. Je crois au dialogue, pas à la poudre aux yeux.

    Cordialement.

  • Serge Truffaut, Le Devoir et la censure

    17 août 2009


    Excellents commentaires. Une joie de vous lire.

    Radio-Canada n'aiment pas toujours certains commentaires. J'en ai fait l'expérience. La critique n'est pas toujours appréciée et encore moins la bienvenue.

    Et on se bat pour la démocratie en Irak et en Afghanistant? Que ne se bat-on ici pour cela?

    Continuons le combat!

  • Voile ou viol

    8 août 2009


    Ces violeurs n'ont jamais entendu parler de l'Amazonie ou de l'Afrique équatoriale où les femmes vont nues, allaient nues avant l'arrivée des missionaires obsédés sexuels.

    Le respect des femmes, connaît pas.

    Ici, au Québec, on vient de rendre plus difficile encore l'accès à l'avortement. On peut s'attaquer aux femmes de plusieurs façons. Quand on méprise les femmes, seule l'imagination limite les formes d'attaques. Le viol est un comportement primaire, les grossesses forcées, ça c'est raffiné. On voit la paille dans l'oeil du voisin, mais la poutre dans le nôtre...

  • L'Histoire-fiction canadian - Un peuple objet

    7 août 2009


    Je ne crois pas que la conquête du Québec aurait été faite si tard. Je vois cette conquête se réaliser entre 1825 et 1875, sans la guerre civile qui a ruiné l'économie américaine, dette de 112 ou 122 % du PIB. Les USA avaient besoin d'espace, comme l'Allemagne nazie avec Hitler et pour les mêmes raisons : le mépris des autres et les richesses naturelles.

    Le Québec était peu peuplé, comparé aux USA, et la zone habitée se situait dans la vallée du St-Laurent, du gâteau pour une armée professionelle, bien équipée, bien entrainée et disciplinée. Les USA avaient aussi une marine de guerre, faible devant l'Angleterre, mais imposante face à la nôtre, en autant que l'on en aurait eut une. Nos intérêts étaient et auraient été strictement terrestres, pas maritimes.

    Mais on spécule toujours.

    Un dernier mot sur l'appétit vorace des USA. La ploutocratie américaine ne s'est pas contentée de s'emparer de Cuba, elle a fait main basse sur les Philipines, ancienne colonie que l'Espagne a dû abandonner en même temps que Cuba. Les philipins croyaient avoir retrouvé la liberté. Ils avaient changé de maîtres, tout simplement. M. Dole, des ananas Dole, a obtenu 500 000 acres pour y lancer son entreprise. Quand aux indigènes qui ont protesté contre ce vol de leurs terres, ils passèrent de vie à trépas, manu militari. Pax americana...

    Je crois avoir épuisé l'essentiel de mes munitions sur ce sujet. Je vous quitte en vous saluant bien bas et vous remercie d'avoir dialogué avec moi.

    Cordialement

  • L'Histoire-fiction canadian - Un peuple objet

    6 août 2009


    Bonjour M. Archanbault!

    A une certaine période de ma vie, j’ai lu beaucoup sur l’histoire américaine. Il me souvient encore des plans de conquêtes du continent Nord Américain. A l’époque, le Président Roosevelt, le gars de Cuba, pas le type en chaise roulante de la deuxième guerre mondiale, avait les yeux, avec ses amis ploutocrates, toujours eux, sur l’ensemble du continent. J’ai lu que l’on songeait à annexer le Canada. On n’insista pas à cause de l’Angleterre dont on craignait la puissance. Je ne l’ai pas écrit, je l’ai lu. D’ailleurs, on a acheté l’Alaska aux Russes en 1912, comme quoi on avait de la suite dans les idées.

    Ayant appris des romains, on ne s’est pas donné la peine d’envahir les pays convoités, non, on met en place des gouvernements à notre botte, comme on a fait avec l’Amérique du Sud jusqu'à tout dernièrement. L’histoire de la CIA est édifiante à ce sujet.

    Quand je dis les Américains, j’exclus les bonnes gens comme Noam Chomsky, Woody Allen et les frères Marx. On se comprend. Je parle des 200 familles qui tirent les ficelles avec la complicité de leurs semblables en Europe. Suivez l’argent dit l’adage. C’est toujours vrais.

    Un ami, historien amateur, m’a informé que les frères Kirk étaient Américains, pas anglais. Pourtant, à l’école, on nous enseignait que les méchants frères Kirk étaient anglais. De plus, la déportation des Acadiens a été réclamée par les Américains qui convoitaient les merveilleuses terres possédées par les Acadiens. Ce que le Roi d’Angleterre fini par accorder après avoir longtemps résisté. Il fallait jeter un os aux Américains, la révolte grondait.

    Si les Américains ont envahit Cuba, c’est parce qu’ils ne craignaient pas l’Espagne. Oui, ils craignaient l’Angleterre. La ploutocratie américaine a les dents longues et un appétit insatiable. Quand à ce qui restait du Mexique, je crois que les Américains, le peuple, pas la ploutocratie, en avaient assez de ces guerres interminables avec les voisins. Ce qui ne veut pas dire qu’après une trêve de quelques années, moins de dix ans, disons, on aurait pas pu remettre ça. Après tout, la guerre civile a coûté rudement cher, économiquement et en hommes.

    Chose certaine, ils auraient bien aimé mettre la main sur l’Ouest canadien, d’où notre hâte à construire un chemin de fer afin d’établir un obstacle psychologique à leurs ambitions de conquête. Là, je viens de marquer un point. :-)

    Il est tard, je vous quite.

    Cordialement

  • L'Histoire-fiction canadian - Un peuple objet

    6 août 2009


    Monsieur Archambault, votre argumentation et admirable, parfaitement structurée. Bravo!

    Cela dit, :-), vous ignorez la mentalité criminelle des Américains. Je parle de leur ploutocratie. Ces gens croient que le continent américain leur appartient, de droit divin, et personne n'a le droit de leur barrer le chemin. Cette mentalité était dominante au 19 sciècle et si nous avions résisté à leur marche de conquête vers l'Ouest et le Nord, comme l'ont fait les Indiens et les Mexicains, nous serions passés à la casserole, n'eut été la crainte qu'inspirait l'Empire anglais, sur terre et sur mer.

    Après la guerre de 1812-1815, les Américains ont compris l'utilité d'une armée de professionelles et les beaux rêves de Jefferson pour un pays sans armée, donc pas menaçant pour qui que ce soit, s'est évaporé. L'apparition de cette armée de professionels a permis à la ploutocratie américaine de se répandre, en premier sur le continent, et ensuite sur la planète pour protéger ses intérêts commerciaux.

    Je demeure convaincu, connaissant cette mentalité de prédateurs qui les caractérise, qu'ils n'auraient fait qu'une bouchée de notre pays, peu peuplé à l'époque, et même encore aujourd'hui. Nos voisins ne sont pas des gens fréquentables. Pensez à la guerre du bois d'oeuvre et à leur mauvaise foi dans ce dossier.

    Lorsqu'ils occupaient Montréal, ils ont tenté de nous séduire, de nous intégrer aux USA. Lorsque nous avons réclamé le respect du Français ils ont dit non merci. C'est l'anglais pour tout le monde. Leur prétendue reconnaissance envers la France ne s'étendait pas à la francophonie, fut-elle voisine.

    Les américains sont les plus grands criminels que la terre ait jamais portée.

    Cela dit, on peut toujours spéculer, mais je reste sur mes positions.

    Cordialement.

  • L'Histoire-fiction canadian - Un peuple objet

    5 août 2009


    Si nous étions retournés dans le giron français et si nous nous étions affranchis de la tutelle française, en cours de route, nous serions américains aujourd'hui. Les Américains nous auraient envahis à la première occasion, de la même façon qu'ils ont franchi le Mississippi malgré le traité de 1825 qui limitait, " pour toujours ", les frontières aux rives de ce fleuve. " Au diable la Cour suprème " a dit le président Jackson. Après cette phrase lapidaire, ce fut la ruée vers l'Ouest, 1852.

    Notre appartenance à l'Empire britannique nous a sauvé de la barbarie américaine. Les Américains nous auraient louisianisés sans vergogne. Le melting pot est leur religion. Pendant la première guerre mondiale, Washington a imposé l'anglais à tous les Américains. C'était une question de patriotisme. Ne pas parler anglais était mal vu. C'est à partir de ce moment que les québécois vivant aux USA se sont assimilés à la vitesse grand V. Les Américains aiment l'anglais, point final.

    La chanson de Steven Faulkner " Cajun de l'an 2000 " aurait tout son sens aujourd'hui, et ce, depuis longtemps. Oui, on baragouinerait une forme de français, comme en Louisianne, guère mieux. Les Américains n'ont pas l'esprit ouvert aux autres cultures. Ils sont ethnocentriques. Après tout, être Américains, n'est-ce pas le sommet de la réussite sociale? Tout ce qui n'est pas Américains est inférieur, indigne d'intérêt.

    Cela dit, le rêve d'un pays bien à nous demeure légitime.

  • Vaudeville ou tragédie?

    11 mai 2008


    Vous avez bien résumé la situation. Analyse pertinente et juste. Bravo!

    En passant, j'ai déjà mon brassard noir, depuis 1980, après l'échec du référendum de René Lévesque. Comment pouvait-on décemment voter non dans un tel contexte? J'ai compris, à ce moment, que les québécois n'étaient qu'un avorton de peuple, comme nous qualifiait André Dallemagne.

    C'était un beau rêve, mais le matérialisme et le confort ont été le plus fort. On ne fait pas de révolution le ventre plein, et les québécois sont gras-dur, dans l'ensemble.

    Ce qui se passe avec les fêtes du 400e est la suite logique des choses : en route vers la louisianisation du Québec. Le Canada anglais n'a qu'à être patient. Petit train va loin, et ce n'est pas le carburant qui manque.

    Pleutres et couards unissez-vous pour la grande fête de l'extinction éventuelle et assurée. Nous aurions pu être un grand peuple, avec un peu de courage. Nous avons choisi la quiétude et l'absence d'aventures, une petite vie pépère et sans histoires.

    De quoi va-t-on se souvenir, je vous le demande? Ah! misère.

  • «
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • »

Serge Gingras est suivi par:

  • Personne ne suit Serge Gingras. Soyez le premier!


À propos de Vigile

Vigile ouvre ses pages à tous ceux que le combat pour l’indépendance mobilise. Vigile respecte et encourage la liberté d’expression et accueille les différences qui ne compromettent pas l’avenir de la nation. Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs textes.

Médias sociaux

Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

Vidéo Vigile

CONTACT #46 | L'américanisation de l'espace mental - Mathieu Bock-Côté (par Stéphan Bureau)

  • 14 janvier 2024

© Vigile.Québec 2025

  • Politique éditoriale
  • Envoyer un message