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Sylvain Maréchal

  • Squared

    Sylvain Maréchal20 articles

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L'unité canadienne et la reconnaissance du Québec

  • Sylvain Maréchal
  • 28 octobre 2006
  • 862 visites

L'idiot inutile

Pour cet amuseur public, la réalité a l'épaisseur et la clarté d'une caricature.

  • Sylvain Maréchal
  • 6 septembre 2006
  • Manifestation pour la paix au Liban

Le désormais fameux ‘Quebecistan' et notre cher ami Pratte

  • Sylvain Maréchal
  • 18 août 2006
  • André Pratte et le Québécistan

Pratte le merveilleux

  • Sylvain Maréchal
  • 28 mars 2006
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Commentaires de Sylvain Maréchal

  • Il n’y a pas que les églises qui sont vides au Québec

    9 novembre 2009


    Sujet de réflexion intéressant et important. Bien que ces symptômes que vous décrivez, cette "ère du vide" en somme, soient présents dans de nombreux pays occidentaux, serait-il possible que le Québec soit plus avancé que d'autres sur ce chemin ? Une chose est certaine, compte tenu de la position précaire qui est la sienne, une telle situation pourrait s'y avérer encore plus tragique qu'ailleurs. Pour certains, le Québec serait déjà une société en voie de dissolution, en voie vers l'anomie.

    On retrouve de semblables réflexions dans un livre d'entretiens avec Bernard Émond qui vient tout juste d'être publié, "La perte et le lien". On y parle beaucoup des liens qu'il faudrait ici renouer : "Lien entre les générations, liens avec le territoire, liens avec le passé et l'avenir". Ces liens sont sans doute devenus très fragiles au Québec.

    A cet égard, je crois qu'il est fondamental et précieux d'avoir le point de vue d'un anthropologue sur le monde qui nous entoure, que ce soit celui d'Émond ou de Pierre Falardeau qui sont, en quelque sorte, complémentaires : dans les deux cas nous avons un regard véritablement incarné, pouvant seul donner sens au "nationalisme".

    Il est à noter en terminant qu'André d'Allemagne avait aussi écrit sur le sujet dans son livre "Le presque pays", dans un chapitre intitulé "vers la société anomique".

  • Le blues des « nationaleux »

    17 septembre 2009


    Il serait doux de vous entendre si vous disiez simplement qu'il nous faudrait agir davantage, en tant que nation, sans attendre notre nécessaire indépendance. Vos intentions ne sont malheureusement pas aussi claires. Vous êtes très certainement défavorable au Parti québécois et à sa stratégie, mais encore... A vous lire, on croirait avoir affaire ici à un indépendantiste désabusé, là à un provincialiste pragmatique. En réalité, vous avez tout du fédéraliste chagriné. Ah, le blues des « fédéraleux »...

    Je vous imagine certes empli de bonne volonté mais pressé et cynique; non, on ne « s'esquinte » pas « en vain » sur la question nationale. Un projet de société, social-démocrate ou non, n'est pas un projet national. On n'évacue pas aussi aisément la question nationale : pour reprendre votre expression, « il n'existe aucun raccourci possible ».

  • Les bons perdants

    17 août 2009


    Je suis seul de mon équipage

    Les gens d’ici sont peu violents.

    Parce qu’ils ont viande sous la dent

    Et ventre plein n’a pas de rage.

    F. Leclerc

    (extrait du "Chant d'un patriote")

  • Le sens de la Fête

    21 juin 2009


    à monsieur Jean-François-le-Québécois

    La question n'est également ni complexe ni abstraite pour ceux qui croient que les groupes anglophones avaient été exclus injustement. Parmi ceux-ci ne se trouvent pas que des fédéralistes bornés. J'avais d'ailleurs été très surpris de voir le texte de Josée Legault, pour qui la controverse était «incroyable». Elle disait précisément ceci :

    «Si cette histoire absurde est véridique - car on croirait un canular, tellement c’est farfelu et anachronique - on a hâte de savoir c’est qui, ce présumé commanditaire incapable de comprendre que la Fête nationale est pour TOUS les Québécois.»

    Je parierais que de nombreuses personnes au Québec pensent exactement la même chose.

    Il y a certainement cette emprise médiatique des élites fédéralistes que vous soulevez. Mais il me semble un peu facile de prétendre que tous ceux qui se prononcent de cette manière ont les idées embrouillées les médias fédéralistes. Les souverainistes, les Québécois en général, peuvent malheureusement très bien s'embrouiller sans l'aide de La Presse (qui est bien entendu, en ce domaine, dans une classe à part !).

  • La droite indépendantiste n'a pas à avoir honte

    30 mai 2009


    Monsieur Archambault, il ne s'agit pas de «nier à la droite sa qualité indépendantiste», pour reprendre les mots du texte. Il ne s'agit pas davantage d'assujettir ou de lier le projet indépendantiste à la gauche. Il s'agit encore moins de réduire le national au social.

    Il va de soi que le Québec indépendant se choisira à gauche ou à droite (la vie continue, n'est-ce pas?) et que les militants et les partis indépendantistes portent en eux leur sensibilité, qu'elle soit de gauche ou de droite. Cet argumentaire n'est nullement en cause dans mon commentaire et il n'y était pas question de stratégie (du moins le crois-je, mais je suis tellement distrait...).

    La question n'est pas là, dites-vous? Mais puisque le texte en cause est aussi, vous l'avez sans doute remarqué, une justification de la droite dite "néolibérale",
    la question n'est-elle pas - aussi - celle-là? Cela ne compte pas, dites-vous? Personnellement, je n'irais pas jusque là.

    (Une question intéressante, en lien avec cette discussion, serait de voir s'il faut définir l'indépendance comme une fin ou comme un moyen - y compris, je tiens à le souligner, dans une perspective nationale et non simplement sociale).

    Mais l'important est ceci: faudrait-il donc escamoter les réserves que l'on pourrait entretenir à l'égard de certaines idées, sous prétexte que celles-ci ne seraient pas incompatibles avec celle d'indépendance (peu d'idées sont incompatibles avec celle-ci, d'ailleurs)? Il va sans dire que non.

  • La droite indépendantiste n'a pas à avoir honte

    29 mai 2009


    On lit d'abord le sous-titre : «À droite et fier de l'être». On se demande : devrait-on réellement s'en émouvoir? Puis on trouve une citation de Ayn Rand à la suite. Et l'on se demande : mais pourquoi pas de Mickey Mouse?

    On lit encore, puis on voit ceci, désignant la droite : «comme si détenir ou faire de l’argent était le plus infâme des maux». S'agirait-il d'une blague? Eh bien non! Car les mots suivants - et qui oserait blaguer à ce sujet - se détachent alors en lettres de feu : «la droite est associée à la liberté». Voilà donc le grand mot lâché! La liberté à droite? Permettez-moi de rigoler un peu, juste un petit peu. Tant mieux si vous y croyez. Je crois quant à moi que la liberté - immense question s'il en est une - ne se laisse pas si facilement enfermer.

    Poursuivant tout de même notre lecture, nous apprenons que les taxes doivent être vues, par l'individu, «comme des outils brimant sa liberté». Ensuite que «l'humain est un être égoïste» et que la pauvreté est un «concept abstrait». C'est alors que l'on commence véritablement à avoir la nausée.

    Tant mieux s'il «est possible d'être de droite et d'être indépendantiste». Mais, caricature pour caricature, j'admets volontiers, pour ma part (vous pouvez en rire mais ne m'en voulez pas trop), avoir un petit faible pour la gauche.

  • Pas forts mais pas morts

    7 mai 2009


    Vous avez certainement raison de croire que notre disparition imminente et définitive est hautement improbable, sinon impossible. Mais devrions-nous vraiment en être ravis ou même rassurés ?

    N’y a-t-il pas diverses manières de "disparaître" ? S’éteindre en est une; perdre son âme, si l’on peut encore le dire, en est une autre.

    La normalisation (au sens de renoncement à sa singularité) du Québec est, il va sans dire, davantage à craindre que sa disparition pure et simple. Il ne s’agit pas de pessimisme; c’est d’abord une question de point de vue.

    « Réveiller la fibre nationalitaire endormie » dites-vous? Oui. Travailler à être soi-même m’apparait être un bon point de départ. Une évidence qui n’en est pas une : il nous faut être Québécois, et nul autre que nous ne pourrait l’être.

    L’enjeu devrait paraitre fondamental à ceux qui y perçoivent, en amont ou au-delà de la politique, une dimension non seulement "nationale" (ce qui est déjà beaucoup) mais aussi - pourquoi pas ? - "ethnologique" (ce qui ne va pas toujours de soi). C’est là, je l’espère sincèrement, un peu le sens de notre engagement.

  • La fièvre souverainiste...

    5 avril 2009


    On se demande dans un premier temps si l'on a affaire à un médecin raté se prenant pour un humoriste médiocre ou plutôt à un humoriste raté se prenant pour un médecin médiocre. Difficile de trancher.

    Non mais jusqu'où ira-t-on dans le recyclage des idées convenues ? Un chapelet de clichés -- révisionnisme, xénophobie, obsession linguistique (seul y manque le tribalisme) -- comme symptômes d'une pensée souverainiste perçue comme maladie mentale. Quelle profondeur ! C'est proprement consternant.

    Certes pas très originale, l'accusation de maladie mentale a tout de même le grand mérite, n'est-ce pas, de disqualifier sans appel l'opposant idéologique. C'est un procédé assez commode pour qui se croit investi d'une mission purificatrice. Devrions-nous donc à notre tour douter de votre santé mentale cher docteur ?

    Mais pour ne pas désespérer tout à fait des gens de votre espèce, retenons tout de même pour la postérité votre conseil extraordinaire, digne du panthéon des idées involontairement comiques, de faire des « voyages au Canada anglais » pour guérir de notre mal. Merci cher monsieur, merci ! Je vais de ce pas demander au chef de la tribu s'il serait prêt à approuver ce déplacement, certainement hautement bénéfique pour mon édification personnelle, sans parler de mon équilibre mental bien fragile.

    P.S. Ah oui, j'oubliais de vous dire que je ne manquerai surtout pas d'apprendre l'anglais, comme vous nous le suggérez aimablement. C'est là en effet -- mais vous le saviez déjà -- une langue proprement inconnue en ma contrée reculée. Quelle aventure !

    Merci encore.

  • Après la fatigue

    17 février 2009


    Merci monsieur Haché pour votre commentaire. Nous sommes pleinement d’accord. Mais peut-être sommes-nous trop pessimistes?

    Voici comment je vois les choses.

    Tout se passe comme s’il y avait conjonction de facteurs externes et internes favorisant non seulement le statu quo sur le plan du statut politique du Québec mais possiblement un affaiblissement, comme vous dites, de notre propre existence.

    Externes : une relative normalisation sociale, depuis la "révolution tranquille", malgré la subordination nationale. Ce qui a pour effet de fournir une apparence de normalité, si l’on s’en tient à la surface. Donc pas de toxicité, pour reprendre vos mots, du moins en apparence.

    Internes : autoreprésentation défaillante (honte, un certain mépris de soi, connaissance lacunaire de soi, ...) accompagnant une certaine "pudeur" nationale (il faut montrer "patte blanche", dérive civiliste, ...). Ce sont les deux faces d’une même médaille. Avec encore pour résultat une "normalisation" de notre identité.

    Il y a aussi le fédéralisme (= Canada) fantasmé (= vertueux) que vous soulignez avec raison dans votre commentaire; c’est bien là un phénomène avec lequel nous devons composer et qui va de pair avec la diabolisation du nationalisme (= intolérance).

    Les facteurs internes influençant notre appréciation des facteurs externes (et vice-versa), notre subordination passant pour négligeable quant à ses effets (d’ailleurs, que pourrions-nous faire de plus en y échappant, nos représentations nous indiquant que nous aurions rien de substantiel à y gagner), tout concourt à l’enlisement.

    L’effet global est donc une impression générale de "normalité" (tout va bien, n’est-ce pas). Ce qui est pour moi troublant est de penser aux effets à long terme de cette "normalisation" sur notre existence. C’était le sujet de ce texte. « Dérive soft », comme vous le dites, tout au moins pour ceux qui ont ces choses à coeur.

    Car malheureusement, non seulement ce risque peut-il être nié en tant que possibilité, mais il peut aussi - ce qui est pire - n’engendrer qu’un haussement d’épaules. Dérive? Insignifiance? Quelle drôle d’idée ! Mais voyons donc : le sens, le sens, qu’est-ce que cela veux dire? où voulez-vous donc en venir? Circulez y’a rien à voir...

    Et pourtant : quel SENS y a-t-il à se dire, à être, Québécois? Une question fondamentale, il me semble.

    Au fond, tout sauf le "bof" désabusé qu’on a souvent l'impression de vivre collectivement (du moins, c’est une impression personnelle, probablement biaisée – peut-être suis-je trop naïf, dans le genre "pelleteur de nuages", on ne fait pas mieux).

    Cela dit, il faut quand même reconnaitre qu’il y a des moments où l’on a de bonnes raisons de se réjouir...

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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