Un autre doublage regrettable
11 décembre 2024
Le faible de Mme Coallier pour les femmes
Est toujours aussi fort
L’immigration massive
résoudra le « problème » québécois
Il faut remercier l'Agence France-Presse
Toujours désireuse d'élargir les horizons
Les Ukrainiens se battent pour nous et la démocratie
M. Rousseau et M. Simon ont le français en aversion
Quel fin observateur des relations internationales que ce Trump
C'est Mary Simon la « boss »
L'État n'a pas à apposer sa sanction sur les tribunaux religieux
La politique d'immigration menace l'autonomie des femmes
Nos traducteurs n’ont pas la culture de leurs vis-à-vis européens
Et Kamala Harris doit devenir présidente
Une autre caricature ratée de Godin dans « Le Devoir »
Steven Guilbeault escaladant la tour du CN en 2001
Article refusé!
Votre texte doit comporter au moins 500 caractères!
11 décembre 2024
10 décembre 2024
J’ai produit un montage dans lequel je compare les doublages français et québécois, disponible sur YouTube : https://youtu.be/oRFylxE4Kyo
8 décembre 2024
Pour une raison que j'ignore, la dernière référence a été sectionnée. La voici au complet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tuerie_de_l%27%C3%89cole_polytechnique_de_Montr%C3%A9al#Tireur
L'auteur de l'article utilise le mot « balle ». Le mot « cartouche » aurait été plus juste :
30 novembre 2024
M. Labrie, vous êtes con ou quoi ? Le nom « Paul St-Pierre Plamondon » ne peut être modifié d'aucune manière.
25 novembre 2024
M. Labrie,
Il est heureux que vous appréciiez Paul St-Pierre Plamondon, mais il faudra apprendre maintenant à bien écrire son patronyme. Je compte sur vous.
Sylvio Le Blanc
18 novembre 2024
La chroniqueuse du Journal de Montréal, Yasmine Abdelfadel, ne se rend pas compte qu'elle reprend la rhétorique de Haroun Bouazzi.
Lundi, 18 novembre 2024 00:00
MISE À JOUR Lundi, 18 novembre 2024 00:00
Les propos du député de Québec solidaire, Haroun Bouazzi, ont choqué et ébranlé la classe politique. Les termes, le forum, les exemples et les explications alambiquées qu’il a choisis n’ont fait que rajouter de l’huile sur le feu.
Non, l’État québécois n’est pas en mission pour diaboliser l’Autre. Mais on ne peut nier la montée d’un discours politique qui fait de l’immigration le bouc émissaire idéal. Après tout, François Legault lui-même a qualifié l’immigration de menace à la cohésion nationale (septembre 2022).
Même Paul St-Pierre Plamondon avait alors dénoncé ces propos comme étant «divisifs», avant de rajouter que: «Lorsqu’on parle de menace, de peur, on va jouer dans un registre émotif pour tenter de faire oublier que la CAQ est complice et largement responsable du déclin du français. [...] Les politiciens doivent s’adresser à l’intelligence des gens, et laissons [de côté] les affirmations à l’emporte-pièce sur la peur».
Puis, il y a eu ce grand moment où Legault a réduit les immigrants francophones qui osent parler une autre langue à la maison à de simples «anecdotes». Oui, oui, parler espagnol avec ses enfants tout en travaillant en français, c’est apparemment une attaque frontale contre notre nation.
Quant à Legault, champion autoproclamé de la laïcité, il nous a offert un chef-d’œuvre de cohérence récemment. Subventionner les écoles catholiques qui enseignent le catéchisme? Pas de problème. Mais il s’inquiète des «tentatives d’un groupe d’enseignants d’introduire des concepts religieux islamistes». Là, on tire l’alarme nationale.
Alors oui, Bouazzi s’est royalement planté en parlant des ministres Carmant et Dubé et en faisant des généralisations indignes. Mais qu’on ne fasse pas semblant: le discours qui blâme l’immigration pour tous nos malheurs – de la santé au logement, en passant par la laïcité – fait couler bien moins d’encre et fait déchirer bien moins de chemises.
https://www.journaldemontreal.com/2024/11/18/plutot-que-de-deraper-voici-ce-que-bouazzi-aurait-du-affirmer
18 novembre 2024
Le Journal de Montréal. Samedi, 16 novembre 2024 13:17
La Québécoise d’origine marocaine Fatima Aboubakr estime qu’il faut se méfier du député solidaire Haroun Bouazzi, à la lueur des propos qu’il a tenus sur le racisme à l’Assemblée nationale.
En entrevue sur les ondes de QUB radio, au 99,5 Montréal FM, la directrice de garderie d’origine maghrébine a vivement dénoncé le discours du politicien.
«C’est monstrueux, ce qu’il dit, parce qu’il profite d’une tribune», a-t-elle affirmé.
«Il représente pour moi le radicalisme moderne qui est en train de s’infiltrer dans la société québécoise et qui est en train de s’infiltrer dans les gouvernements. Peut-être qu’un jour, il ne va pas seulement être un député, mais dans une position où il pourra prendre des décisions. Et là, je vous assure que le futur ne va pas être bon pour le Québec. C’est ce genre de personnes qui font peur», a ajouté Mme Aboubakr.
Selon cette dernière, M. Bouazzi incarne le nouveau type d’islamisme qui a pris naissance dans plusieurs pays musulmans.
«On n’est plus avec le barbu, mal présentable, avec la djellaba jusqu’aux genoux. Ça, ça ne fait pas peur parce que tu le vois. Maintenant, ils sont des gens bien entretenus, bien présentables, qui vont au gym. Ce sont eux qui séduisent le plus», clame Fatima Aboubakr.
Celle-ci estime que le député de Québec solidaire fait partie de ceux qui sont prêts à tout pour favoriser les valeurs islamistes, notamment en manipulant.
«Par exemple, ses propos d’hier, quand il parle d’Autochtones et de Noirs, c’est juste pour attirer un peu de sympathie. Lui, ça ne l’intéresse pas, ni les Autochtones, ni les Noirs. Ce qui l’intéresse, ce sont les islamistes, pas même les musulmans», soutient la Québécoise d’origine marocaine.
La présidente du Rassemblement pour la laïcité, Nadia El-Mabrouk, affirme que l’une des stratégies employées par Haroun Bouazzi est de faire un amalgame entre la religion et l’origine ethnique des individus.
«Amalgamer la race avec la religion, en fait, c’est enlever la liberté religieuse. C’est dire, on est nés comme ça, on ne peut pas changer. Et donc, c’est complètement contre la laïcité», clame-t-elle.
En comparant l’histoire de l’école Bedford et celle des jeunes de la DPJ abusés par des éducatrices à Rivière-des-Prairies, M. Bouazzi n’a pas commis une maladresse; il savait pertinemment ce qu’il faisait, estime Fatima Aboubakr.
«C’est ce qui se passait dans les réseaux arabes ou musulmans. On disait: “Pourquoi on ne parle pas des éducatrices, de leur religion, alors que ce sont deux sujets complètement différents.” Mais lui, il voulait faire plaisir à cette communauté qui l’écoute», soutient la directrice de garderie.
«Il n’a pas fait d’amalgame. Il l’a fait sciemment, selon moi. Il sait qu’il vise à manipuler une opinion. Et il a vraiment réussi à le faire. Ce n’est pas maladroit, c’est vraiment adroit. Il les a bien choisis et c’était droit pour manipuler une opinion», ajoute-t-elle.
«Chaque fois qu’il prend la parole, c’est pour démolir la laïcité, c’est pour la diaboliser», mentionne pour sa part Nadia El-Mabrouk.
16 novembre 2024
Si Bouazzi changeait de sexe, il se couperait la barbe, la bite et se voilerait. SLB
24 octobre 2024
L’auteur habite dans Lanaudière.
Les adversaires du Bloc québécois aiment le dépeindre comme un parti inutile parce que n’aspirant pas au pouvoir et ne pouvant pas, selon eux, provoquer de véritable changement dans la vie des Canadiens. Ils aiment aussi répéter qu’à l’origine, le Bloc a été fondé par Lucien Bouchard et cinq députés des Communes pour faciliter l’indépendance du Québec, et que, comme l’a déclaré à l’époque son fondateur, le succès du Bloc serait inversement proportionnel à sa durée de vie, mettant l’accent sur le côté volontairement éphémère de ce parti doté d’un dispositif d’autodestruction : la fin de nos liens avec le Parlement d’Ottawa.
Si l’on résumait la légitimité d’un parti à sa capacité de gouverner, il y a longtemps que le Nouveau Parti démocratique, Québec solidaire, les partis verts et les autres partis encore plus marginaux auraient cessé d’exister. Aucun de ces partis n’a eu dans son histoire une chance véritable d’atteindre le pouvoir.
Et si l’on s’en tient à l’autre facette du pouvoir politique qu’implique l’existence d’un parti, soit transformer l’environnement de façon significative et agir sur les politiques publiques de manière efficace, aucun autre parti aux Communes n’en propose davantage que ce que le Bloc préconise : créer un nouveau pays. Que dire de plus…
Il serait néanmoins injuste de réduire l’utilité du Bloc à son rôle de phare de l’indépendance à Ottawa puisqu’il tire parfaitement son épingle du jeu en Chambre.
Outre le projet de loi sur les pensions de vieillesse des 65 à 74 ans et celui sur la gestion de l’offre en agriculture, le Bloc a déposé, cette année seulement, un nouveau projet de loi sur l’aide médicale à mourir, en plus de contribuer à l’adoption d’une loi visant à protéger les fonctionnaires lanceurs d’alerte. En fait, ce sont des dizaines et des dizaines de projets de loi que le Bloc a permis de faire adopter depuis sa fondation, en 1991, pour améliorer la vie des citoyens du Québec et du Canada.
Mais la vraie tasse de thé du Bloc demeure la défense des intérêts du Québec, et il n’est pas inintéressant de faire ici un petit exercice de politique-fiction pour s’en convaincre. Imaginons qu’un Bloc québécois soit à l’oeuvre à Ottawa au début des années 1980, au moment où Pierre Elliott Trudeau s’apprête à rapatrier la Constitution canadienne contre la volonté du Québec et sans consulter la population. Plutôt que de s’appuyer sur ses 74 députés québécois (sur une possibilité de 75) pour s’inventer une fausse légitimité, Trudeau doit composer avec quelques dizaines de députés souverainistes farouchement opposés à son projet qui le talonnent en Chambre. Le « coup d’État légalisé » qu’il s’apprête à faire au détriment du Québec aura certainement du plomb dans l’aile…
C’est du moins ce que laisse croire la résistance exercée par le Bloc québécois, celle-là bien réelle, 20 ans plus tard lorsqu’il fit éclater l’un des pires scandales de corruption de l’histoire du pays, le scandale des commandites. La formation, alors menée par Gilles Duceppe, posa non moins de 400 questions en Chambre sur ce scandale et força ultimement la mise sur pied de la commission Gomery, dont les juteuses révélations causèrent la perte du gouvernement libéral. Inutile, le Bloc ?
Quant à la longévité du parti souverainiste, que n’avaient certes pas prévue (et désirée) ses fondateurs, elle l’oblige à adopter la proverbiale patience du jardinier et à « recommencer en se retroussant les manches », comme l’avait proclamé Jacques Parizeau le soir du 30 octobre 1995. Pourquoi l’idée d’indépendance devrait-elle être soluble dans le temps, alors que les projets de partis qui nous font tourner en rond depuis des décennies perdurent bien au-delà de la décence ?
En réalité, la seule échéance qui aura raison du Bloc et du projet souverainiste est d’ordre démographique — et met en péril non seulement leur existence, mais celle d’un Québec culturellement distinct du reste de l’Amérique du Nord. C’est pourquoi le rôle du parti souverainiste n’a jamais été aussi important que maintenant.
S’il advenait, comme le laissent entrevoir les derniers sondages, que le Bloc québécois forme après les prochaines élections l’opposition officielle aux Communes pour la deuxième fois de son histoire, il aurait comme jamais l’occasion de démontrer son utilité. En défendant les intérêts du Québec, mais surtout en mettant la table pour la prise du pouvoir par le Parti québécois en 2026 et la tenue d’un référendum. La pire erreur que le Bloc pourrait alors commettre serait de le faire à la manière des oppositions officielles traditionnelles, celles que j’appelle les « oppositions de Sa Majesté ». Autrement dit, de jouer le jeu parlementaire pour lui-même et de se faire avaler par la machine fédérale.
Le Bloc québécois ne doit jamais perdre de vue sa raison d’être. Autrement, il disparaîtra de la pire manière : en devenant insignifiant.
21 octobre 2024
M. Alain Zouvi,
J'ai voulu laisser ma réplique (lisible plus haut) sur votre blogue : https://alainzouvi.ca/2024/10/18/ca-suffit-m-leblanc/, mais vous l'avez effacée. Je constate que la liberté d'expression vous tient à cœur.
Portez-vous bien.
Sylvio Le Blanc
9 octobre 2024
Il faut regarder dans le dico M. Danton.
8 octobre 2024
Vigile.Quebec ne devrait pas publier de telles opinions réactionnaires.