C'est, notons-le bien, la langue des élites, des gens instruits, qui s'est dégradée, pas la langue des milieux ruraux et populaires.
Pauline Marois s'est aventurée sur un terrain bien délicat quand elle a fait la leçon à Saku Koivu, elle qui n'a jamais trouvé le moyen d'apprendre à s'exprimer couramment en anglais.
On se demande jusqu'où Jean Charest, que l'on croyait libéral au vrai sens du terme, est prêt à aller pour suivre le vent.
Madame Marois veut que son projet de loi soit débattu. Voici donc, dans un esprit de service public, les amendements que je suggère.
Pauline Marois est décidément difficile à suivre.
Les conservateurs sont les seuls vrais gagnants des élections partielles de lundi.