André Pratte

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    [une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8aQEqnh0QHuh4GyBg&ved=0CEEQ6AEwBQ#v=onepage&q=pratte%20Tout%20est%20pourri&f=false]

    [Semaine après semaine, ce petit monsieur nous convie à la petitesse->http://www.pierrefalardeau.com/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=2]. Notre statut de minoritaires braillards, il le célèbre, en fait la promotion, le porte comme un étendard avec des trémolos orwelliens : « La dépendance, c’est l’indépendance ». « La soumission, c’est la liberté ». « La provincialisation, c’est la vraie souveraineté ». « La petitesse, c’est la grandeur ». Pour lui, un demi-strapontin à l’Unesco est une immense victoire pour notre peuple. C’est la seule politique étrangère qu’il arrive à imaginer pour le peuple québécois. Mais cet intellectuel colonisé type n’est pas seul. Power Corp. et Radio-Cadenas en engagent à la poche.




Les grands imposteurs

On a beau être partisan, il y a des limites à la malhonnêteté intellectuelle.

Le courage du nom

Décider, agir, affirmer, critiquer, dénoncer: autant de choses bien plus faciles à faire sous le couvert de l'anonymat. Les démocrates engagés persistent et signent.

À part M. Coderre?

S'agit-il d'un phénomène durable, d'un «retour à la normale», comme le soutenait hier notre collègue Alain Dubuc?

Le limbo éthique

Jean Charest s'est engagé à créer un tel poste il y a sept ans, alors qu'il était chef de l'opposition. Le soir de son élection, en avril 2003, il promettait un gouvernement «de respect, d'intégrité et de transparence». Les choses traînent depuis ce temps.