André Pratte

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    [une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8aQEqnh0QHuh4GyBg&ved=0CEEQ6AEwBQ#v=onepage&q=pratte%20Tout%20est%20pourri&f=false]

    [Semaine après semaine, ce petit monsieur nous convie à la petitesse->http://www.pierrefalardeau.com/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=2]. Notre statut de minoritaires braillards, il le célèbre, en fait la promotion, le porte comme un étendard avec des trémolos orwelliens : « La dépendance, c’est l’indépendance ». « La soumission, c’est la liberté ». « La provincialisation, c’est la vraie souveraineté ». « La petitesse, c’est la grandeur ». Pour lui, un demi-strapontin à l’Unesco est une immense victoire pour notre peuple. C’est la seule politique étrangère qu’il arrive à imaginer pour le peuple québécois. Mais cet intellectuel colonisé type n’est pas seul. Power Corp. et Radio-Cadenas en engagent à la poche.




Pire que «has been»

Si le Parti québécois veut se rebrancher sur le Québec, ses militants et députés devront se résoudre à entendre ces messages plutôt que de tirer sur les messagers.

Le nouvel ennemi

Le Québec a déjà en main tous les outils nécessaires à l'intégration des immigrants. Il lui suffit d'y investir davantage de volonté et de ressources.

La vraie Pauline Marois

Cette affaire met tout de même en évidence un côté intriguant de la personnalité du chef du Parti québécois, élue hier députée de Charlevoix.

Bouillie pour chats

Ce qui compte, ce n'est pas que les dépenses du Québec équivalent au montant du transfert fédéral mais qu'elles correspondent aux besoins.

Une entente historique

Au sujet de l'accord conclu cette semaine entre Québec et la Fédération des médecins spécialistes, le ministre de la Santé, Philippe Couillard, a parlé d'une « entente historique ». L'expression n'est pas trop forte.

L'effritement

Bien que les libéraux de Stéphane Dion aient subi le revers le plus spectaculaire en perdant Outremont, c'est le Bloc qui a perdu le plus de plumes hier soir si on compare son vote dans ces trois circonscriptions au score obtenu l'an dernier.

Le voyant rouge

Si les Québécois sentent leur identité fragile à ce point, ce n'est pas à Jean Charest, quoi qu'il dise ou fasse, qu'ils confieront la tâche de la protéger.