Jocelyn Létourneau et la cécité volontaire
13 septembre 2014
Bruno Deshaies, 13 septembre 2014 16:20
@ Roger Turcotte
Sans l’ambition de réaliser l’indépendance nationale du Québec avec une détermination objective raisonnable, le sens de l’action dirigée vers la fin visée et avec une conscience aiguë de prendre les bons moyens pour y parvenir, alors ce qui doit être fait ne se fera jamais. Hélas, Monsieur Turcotte, vous n’avez aucunement l’ambition ni d’accepter cette fin et, encore moins, d’y travailler.
Pour tous les autres qui ne participent pas à votre point de vue, je vous signale ces deux hyperliens.
BILAN DU DÉCLIN PARTI QUÉBÉCOIS EN 2006Huit ans plus tard, le même déclin est visible
ET
Voir la conversation sur «LES CONTRADICTIONS DES SOUVERAINISTES» avec les fédéralistes. ICI :
L’INDÉPENDANCE ET L’INTERDÉPENDANCE DU QUÉBEC
La part de l’Histoire. La part de la Décision.
Le débat commence avec cette réponse à un commentaire.
• 5 fév. 2013 15:25
IND. Je ne vois pas très bien ce que vient faire le jeu du pendu avec une petite fille de 7 ans. Je vous dirais que l’ambition des Québécois est subjuguée ou, dit autrement, à la merci des ambitions du Canada-Anglais. Cette assimilation subjective à l’autre fait du Québec ce qu’il est collectivement en ce moment. Nos ambitions collectives sont limitées et les conséquences nous les vivons sous nos yeux. Des raisonnements de provinciaux pour des provinciaux. Des ambitions collectives de provinciaux pour satisfaire des nécessités provinciales. Pourquoi se refuser d’être « maître chez nous » et surtout d’être «présent pas soi collectivement» au monde.