INDÉPENDANCE nationale DU QUÉBEC 385

Lers souverainistes vétillent constamment

Même crise existentielle depuis dix ans et mécontentement sérieux de l’électorat

Chronique de Bruno Deshaies


Toujours le même contexte de crise péquiste qui provoque le même tintamarre et de nombreuses discussions oiseuses. Ne serait-il pas préférable de s’attaquer aux fondements de l’indépendance nationale du Québec et les faire partager par une majorité dans la population québécoise ? Ce n’est jamais ce qui se passe. Encore une fois, le même scénario de notre histoire se répète.
Depuis un certain temps, il me vient comme un leitmotiv cette phrase de Jules Michelet dans Le Peuple (1846) : « Celui qui veut s’en tenir au présent, à l’actuel, ne comprend pas l’actuel. » Il me semble que cette pensée peut vouloir dire bien simplement : toute l’histoire ne se trouve pas seulement dans l’agitation du présent.
Le temps passe et l’actuel d’aujourd’hui est aussi désolant qu’il y a dix ans. Toujours la même crise existentielle. On dirait qu’on n’apprend rien de notre passé de nation annexée. Mettre le cap sur l’indépendance, c’est accepter de cibler clairement l’objectif avec des mots et des idées précises. Or, tout ne veut pas dire la même chose. Il faut s’en convaincre, puis travailler à clarifier nos idées entre nous. L’éclatement du discours souverainiste et les incompréhensions tenaces parmi les indépendantistes en sont la preuve tangible. Faire l’indépendance nationale du Québec n’est pas seulement des questions de stratégies électorales ou de programmes politiques électoralistes. Les faits parlent d’eux-mêmes depuis les premières élections au Québec en 1792.
Bruno Deshaies, « Mettre le cap sur l’indépendance. Importance de bâtir sur le contenu de ce fondement politique. » Indépendance du Québec 217. Chronique du jeudi du jeudi 2 juin 2005.
Source : http://archives.vigile.net/ds-deshaies/docs5/217.html
Bruno Deshaies, « LES PARTIS POLITIQUES. Ce sont des instruments essentiels de la vie démocratique. » INDÉPENDANCE DU QUÉBEC 218. Chronique du jeudi 9 juin 2005
Source : http://archives.vigile.net/ds-deshaies/docs5/218.html
LE POINT . Débat sur le thème de "« la nation annexée » et le fédéralisme"
AGQ [Forum « Avant-garde Québec »] 5 février et ss. 2003. Source : http://www.archives.vigile.net/ds-deshaies/docs3/03-1-30.html
Et le commentaire de monsieur Jean-Luc Dion en 2003 (http://www.archives.vigile.net/ds-souv/docs5/03-2-6-agq-point.html) :
Je me permets d'inciter fortement tous les lecteurs à méditer profondément le texte lumineux de Bruno Deshaies au site VIGILE :
UN Québec ANNEXÉ. QUAND LES QUÉBÉCOIS METTRONT-IL FIN À LEUR ANNEXION ?
(...)

LES QUÉBÉCOIS COMPRENDRONT-ILS UN JOUR LEUR STATUT DE NATION ANNEXÉE ?
Vouloir répondre à cette question, c'est s'engager dans une recherche concernant leur évolution historique. Cette recherche doit dépasser le stade du récit historique et s'orienter dans une étude systématique de la nature profonde de l'annexion comme phénomène sociopolitique. En peu de mots, « L'ESSENCE DE L'ANNEXION, C'EST D'ÊTRE GOUVERNÉ PAR UNE AUTRE NATION » (voir Les Normes, 3.10.1.4-C). AUTREMENT DIT, L'ANNEXION SIGNIFIE LE CONTRAIRE DE L'INDÉPENDANCE. (...)
JL Dion (http://www.blogger.com/profile/17235815921249597098)
Ce commentaire remonte au 5 février et ss. 2003.

Je pense encore aujourd’hui ce que j’écrivais en 2003 : « La lutte pour l'indépendance n'a pas encore commencé. » Qu’avons-nous à ergoter sur des vétilles sans être capables d’expliquer la nature de ce que c’est qu’une nation indépendante ? Mettre le cap sur l’indépendance, c’est essentiellement faire que
LE QUÉBEC INDÉPENDANT DISPOSERA D’UN ÉTAT SOUVERAIN ET DE TOUS LES POUVOIRS COMME NATION INDÉPENDANTE CAPABLE :
– DE COMMANDER SA PROPRE VIE POLITIQUE TANT À L’INTÉRIEUR QU’À L’EXTÉRIEUR ;
– DE GÉRER SA PROPRE VIE ÉCONOMIQUE ;
– DE MAÎTRISER SA PROPRE VIE CULTURELLE.
L’ÉTAT DU QUÉBEC SERA DISTINCT DES AUTRES. IL VIVRA AVEC LES AUTRES MAIS PAR SOI. IL SERA LIBRE DE COLLABORER TOUT EN ÉTANT AUTONOME AINSI QU’EN PARTICIPANT PAR SOI À LA VIE INTERNATIONALE.
(http://blogscienceshumaines.blogspot.com/2010/10/mettre-le-cap-sur-lindependance.html)
Prenez chacun des points énumérés dans cet énoncé et parlez-en avec vos amis ailleurs que dans les cercles de partis politiques souverainistes ou les groupements sociaux dits souverainistes et vous m’en donnerez des nouvelles. État souverain, nation indépendante, pouvoirs de la nation indépendante, commander sa propre vie politique, gérer sa vie économique et maîtriser sa vie culturelle sont des notions essentielles à considérer dans l’optique indépendantiste.
Comparez ce que vous aurez trouvé au sujet des bases de l’indépendance réelle avec le fédéralisme, le partage des compétences, le principe des nationalités, l’idée nationale, l’impérialisme et l’optique fédéraliste qui concernent les dimensions politique, économique, culturelle et sur l’ouverture aux autres et sur le monde.
La thèse ou la « foi » fédéraliste est bien défendue à l’avantage de la majorité canadian.
La thèse ou la « foi » indépendantiste est mal défendue par l’ensemble des partis politiques au Québec ainsi que par la majorité des mouvements souverainistes. Si ce n’était pas le cas, assisterions-nous une énième fois aux crises internes du PQ que la population observe avec désolation, regret et, finalement, avec un fort mécontentement ?
Le travail d’éducation populaire est colossal. Nous savons déjà que la souveraineté populaire qui est le fondement de la démocratie n’exprimera jamais son accord au discours ambiguë des indépendantistes sur l’indépendance NATIONALE du Québec et encore moins à son INTERDÉPENDANCE par rapport aux autres nations dans le monde.
La crise existentielle permanente des Québécois n’est pas le produit d’une génération seulement. Elle est la résultante d’une situation historique qui a fait des Québécois une NATION ANNEXÉE dans un empire fédéral qui l’exploite, à sa guise et pour ses fins propres, comme il l’entend.
Comme le notait Paul Piché récemment, il serait grand temps de parler des « vraies choses » avec tous les mots appropriés qui conviennent. Il revient aux Québécois eux-mêmes d’être clairs dans leur pensée.

Featured b9f184bd28656f5bccb36b45abe296fb

Bruno Deshaies209 articles

  • 300 945

BRUNO DESHAIES est né à Montréal. Il est marié et père de trois enfants. Il a demeuré à Québec de nombreuses années, puis il est revenu à Montréal en 2002. Il continue à publier sa chronique sur le site Internet Vigile.net. Il est un spécialiste de la pensée de Maurice Séguin. Vous trouverez son cours sur Les Normes (1961-1962) à l’adresse Internet qui suit : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-1-20 (N. B. Exceptionnellement, la numéro 5 est à l’adresse suivante : http://www.vigile.net/Les-Normes-en-histoire, la16 à l’adresse qui suit : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-15-20,18580 ) et les quatre chroniques supplémentaires : 21 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique 22 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19364 23 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19509 24 et fin http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19636 ainsi que son Histoire des deux Canadas (1961-62) : Le PREMIER CANADA http://www.vigile.net/Le-premier-Canada-1-5 et le DEUXIÈME CANADA : http://www.vigile.net/Le-deuxieme-Canada-1-29 et un supplément http://www.vigile.net/Le-Canada-actuel-30

REM. : Pour toutes les chroniques numérotées mentionnées supra ainsi : 1-20, 1-5 et 1-29, il suffit de modifier le chiffre 1 par un autre chiffre, par ex. 2, 3, 4, pour qu’elles deviennent 2-20 ou 3-5 ou 4-29, etc. selon le nombre de chroniques jusqu’à la limite de chaque série. Il est obligatoire d’effectuer le changement directement sur l’adresse qui se trouve dans la fenêtre où l’hyperlien apparaît dans l’Internet. Par exemple : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-1-20 Vous devez vous rendre d’abord à la première adresse dans l’Internet (1-20). Ensuite, dans la fenêtre d’adresse Internet, vous modifier directement le chiffre pour accéder à une autre chronique, ainsi http://www.vigile.net/Le-deuxieme-Canada-10-29 La chronique devient (10-29).

Vous pouvez aussi consulter une série de chroniques consacrée à l’enseignement de l’histoire au Québec. Il suffit de se rendre à l’INDEX 1999 à 2004 : http://www.archives.vigile.net/ds-deshaies/index2.html Voir dans liste les chroniques numérotées 90, 128, 130, 155, 158, 160, 176 à 188, 191, 192 et « Le passé devient notre présent » sur la page d’appel de l’INDEX des chroniques de Bruno Deshaies (col. de gauche).

Finalement, il y a une série intitulée « POSITION ». Voir les chroniques numérotées 101, 104, 108 À 111, 119, 132 à 135, 152, 154, 159, 161, 163, 166 et 167.





Laissez un commentaire



7 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    27 janvier 2012

    Monsieur Deshaies
    Je crois qu'il faut que le peuple québécois retrouve le sens national perdu avant la Conquête de 1759 qui y a mis fin, avec cette annexion au Canada anglais qui a suivi cette cassure nationale. Nous souffrons depuis cet évènement tragique d'une dissolution, d'une désintégration de l'idée de nationalité ou, si l'on veut, du sens national. Ce ne sera pas facile puisque nous avons toujours tendance à référer au Canada comme étant notre vrai pays ce qui est faux si vous possédez un minimum de connaissance en histoire.
    Présentement, dans ma tête, le Canada c'est un pays voisin et étranger comme les États-Unis et le Mexique le sont. Je me sens, intérieurement, libre et indépendant mais je dois admettre que ce ne fut pas facile; de prise de conscience en prise de conscience, j'y suis arrivé. Il faut que commence, incessamment, cette pédagogie sur l'indépendance, le sens national et la conscience collective québécoise afin de hâter l'arrivée du pays québécois. Pour commencer, l'histoire nationale du Québec devrait être obligatoire dans toutes les écoles du Québec le plus vite possible.
    André Gignac 27/1/12

  • Bruno Deshaies Répondre

    27 janvier 2012

    À jbouthil,
    Je comprends vos résistances à mes chroniques que je rédige depuis 1999 sur le site de Vigile.
    Au sujet du verbe « emberlificoter », il signifierait, au sens figuré, « embarrasser (quelqu'un) ». Je crois que j’y suis parvenu en frappant sur le même clou afin d’en rendre le plus grand nombre hésitant ou incertain sur le souverainisme impénitent, entre autres, des péquistes et des bloquistes.
    Malgré tout, je constate que vous avez eu la gentillesse d’approuver ma 385ième chronique. Je vous en remercie.
    Toutefois, un quidam ne semble pas être du même avis. Il m’écrit personnellement :
    « Encore et encore du verbiage et du copier-coller. La madame est à 14% d'intention de vote parmi la population et des rêveurs de l'hypothétique république de banane y croyent encore. Réveillez-vous. »
    À cet internaute, je lui réponds ceci : l’Indépendance d’abord. L’atteinte de cet objectif national permettra aux Québécois-Français de mettre à profit, collectivement, leur savoir et leur savoir faire. Nous avons déjà des preuves tangibles dans tous les domaines de la dynamique des forces de la société québécoise. Partant, nous aurons nous-mêmes le bonheur de pouvoir commander, gérer, contrôler et maîtriser notre vie politique, économique et culturel.
    L'objectif prioritaire : FAIRE L'UNITÉ NATIONALE DES QUÉBÉCOIS SUR LES BASES DE L'OPTIQUE INDÉPENDANTISTE.

  • Bruno Deshaies Répondre

    27 janvier 2012

    M. André Gignac,
    Je comprends votre exaspération et je la partage avec vous d’une façon globale et non dans le détail.
    Les politiques représentent notre société et ils en sont aussi le reflet. La Conquête et l’Union ont mis fin au développement et à l’expansion du Canada français issu de la colonisation française. Le « premier Canada » avant 1760 a été défait et les Canadiens ont été confinés à l’état d’une nationalité annexée. Puis, de guerre lasse, les Canadiens-Français se sont convaincus de la politique de « bonne-entente » entre les deux « nations » dans le « deuxième Canada » où ils survivent minoritairement dans un Canada-Anglais fortement centralisé. Ainsi, la bonne-entente » s’inscrit dans l’idéal du fédéralisme.
    Les indépendantistes ont le devoir de faire comprendre l’idéal indépendantiste à la population en général. Et ce n’est pas beau à voir ce que l’on observe en ce moment : « Les souverainistes vétillent constamment. »
    L’indépendance nationale du Québec doit se faire sur la base de l’AGIR-PAR-SOI-COLLECTIF à l’interne et à l’externe, donc deux mots : indépendance et interdépendance. Voilà la vraie souveraineté et la vraie nation souveraine.

  • Bruno Deshaies Répondre

    27 janvier 2012

    M. Pierre Cloutier,
    La question des partis politiques n’est pas une mince affaire à comprendre. Il faut voir l’arbre à ses fruits. Le PQ a porté ses fruits et nous connaissons aujourd’hui la suite des événements. Ce n’est pas encore le dénouement final mais les partis politiques ne sont pas éternels.
    Toutefois, le commentaire de M. André Gignac en montre long sur l’imposture de l’option Lévesque et du souverainisme. Le « beau risque » vous rappelle-t-il quelque chose ? Personnellement, ce n’est ni le PQ ni l’ON qui m’intéressent mais le besoin de communiquer les fondements de l’optique indépendantiste.
    Vous me demandez : Quoi faire ? Dans son commentaire, jbouthil vous en donne la réponse.
    « Puisse ce document rejoindre le plus grand nombre de québécois. En commençant peut-être même par tous les participants à Vigile. »
    À mon avis, la réponse à la suite des choses réside dans la souveraineté des citoyens et des citoyennes du Québec à condition de travailler l’idéal indépendantiste dans l’esprit de la population. C'est toute la société québécoise qui doit être entraînée à changer de cap.
    Pour l’heure, les organismes nationalistes au Québec sont tous, consciemment ou inconsciemment, dans l’optique pseudo souverainiste et, surtout, sans l’indépendance. Les souverainistes ont réussi eux-mêmes a souillé le mot INDÉPENDANCE.
    Les partis politiques du Québec vont changer de cap quand la souveraineté démocratique exprimera sa position dans l’espace public pour mettre fin au marchandage de la prise du pouvoir par des promesses d’indépendance M. Pierre Cloutier,
    La question des partis politiques n’est pas une mince affaire à comprendre. Il faut voir l’arbre à ses fruits. Le PQ a porté ses fruits et nous connaissons aujourd’hui la suite des événements. Ce n’est pas encore le dénouement final mais les partis politiques ne sont pas éternels.
    Toutefois, le commentaire de M. André Gignac en montre long sur l’imposture de l’option Lévesque et du souverainisme. Le « beau risque » vous rappelle-t-il quelque chose ? Personnellement, ce n’est ni le PQ ni l’ON qui m’intéressent mais le besoin de communiquer les fondements de l’optique indépendantiste.
    Vous me demandez : Quoi faire ? Dans son commentaire, jbouthil vous en donne la réponse.
    « Puisse ce document rejoindre le plus grand nombre de québécois. En commençant peut-être même par tous les participants à Vigile. »
    À mon avis, la réponse à la suite des choses réside dans la souveraineté des citoyens et des citoyennes du Québec à condition de travailler l’idéal indépendantiste dans l’esprit de la population. C.est toute la société québécoise qui doit être entraînée à changer de cap.
    Pour l’heure, les organismes nationalistes au Québec sont tous, consciemment ou inconsciemment, dans l’optique pseudo souverainiste et, surtout, sans l’indépendance. Les souverainistes ont réussi eux-mêmes a souillé le mot INDÉPENDANCE.
    Les partis politiques du Québec vont changer de cap quand la souveraineté démocratique exprimera sa position dans l’espace public pour mettre fin au marchandage de la prise du pouvoir par des promesses d’indépendance ambiguës, de rafistolage pseudo constitutionnel et des stratégies infantiles que l’électorat québécois a spectaculairement débouté le 2 mai dernier. Le choc est considérable et on pense naïvement régler le problème par des astuces de plateformes électoralistes et de tactiques électoralistes à courte vue.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 janvier 2012

    @ Monsieur Deshaies,
    J'ai souvent trouvé vos textes longs et pour bien dire un peu emberlificotés mais là vraiment vous donnez dans le mille.
    Puisse ce document rejoindre le plus grand nombre de québécois. En commençant peut-être même par tous les participants à Vigile.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 janvier 2012

    Monsieur Deshaies
    C'est pas compliqué! Les dirigeants politiques québécois (PQ inclus) ne connaissent même pas la vraie signification du mot indépendance étant inféodés au régime colonialiste "canadian¨ depuis la conquête de 1759. De plus, habitués à se comporter en administrateurs provinciaux, en carriéristes, en profiteurs et en téteux de fonds publics; ils n'ont que des réflexes de colonisés, de dominés. Ils sont incapables de se projeter dans un pays libéré de ses chaînes, c'est bien trop leur en demander voyons! Comment voulez-vous qu'ils soient capables de faire la pédagogie de l'indépendance aux Québécois? Ils sont même incapables de prononcer le mot indépendance (la gouvernance souverainiste, c'est la plus belle preuve!). Il n'y a rien à faire avec ces politiciens colonisés et vendus de la sorte à leurs oppresseurs. Qu'on me prouve le contraire!
    André Gignac 26/1/12

  • Archives de Vigile Répondre

    26 janvier 2012

    C'est bien beau tout cela, mais ce n'est pas nous qui sommes les chefs du Parti Québécois et ces derniers sont beaucoup plus intéressés à défendre prétendument les intérêts du Québec que d'expliquer l'indépendance aux québécois.
    C'est ce que Bernard Landry a dit dans sa lettre et tous les fafans de Pauline Marois lui ont tombé dessus.
    Que voulez-vous qu'on vous dise de plus?
    Tant et aussi longtemps que ces gens-là contrôleront le Parti Québec, on n'a pas d'autres choses à faire que de les dénoncer.
    Il faut donc aller militer à ON et attendre les prochaines élections pour que le PQ mange ses bas. On verra pour la suite des choses.
    Pierre Cloutier