La légende urbaine d’un putsch au R.I.N.
9 avril 2012
À Michel Rolland
Si vous aviez lu l’article, vous auriez constaté que mon nom ne s’y trouve pas. Pour la simple et bonne raison que n’ayant jamais et d’aucune manière été impliquée dans son organisation, Monsieur Laurence ne peut s’y référer. C’est ce qu’il fait en toute honnêteté intellectuelle.
Et ce n’est le péquisme que vous me supposez, en fait inexistant depuis toujours, qui me fait m’abstenir de participer à ce mouvement.
C’est, ne vous en déplaise, pour la raison primordiale que, mécréante incorrigible, je ne crois pas à la résurrection des morts.
Je ne vous en souhaite pas moins un joyeux lundi de pâque.
Andrée Ferretti