Les sept péchés capitaux de Nathalie Normandeau
19 mars 2016
S’il fut un temps où la politique était un sacerdoce, cette époque là est bien révolue, car avec la notion de carrière politique, celle-ci a amené une autre dimension dans laquelle un paramètre souterrain entre en ligne de compte : « la Franc Maçonnerie ».
Toutes ces affaires en réseaux sont rendues possible par la franc-maçonnerie qui œuvre à la désintégration de nos sociétés, ce fléau est sous-estimé car l’écran de fumée qui recouvre les dehors d’humanisme de cette secte, cachent en réalité dans les hautes sphères toutes les miasmes qui amènent au résultat de corruption généralisée tant au sein de l’Etat que dans tous les organes de l’administration.
Nombreux sont ceux qui n’ont pas encore mesuré se que cache l’opacité de ce « gang » véritable préambule à la Mafia, il n’est donc pas étonnant si John-James Charest a été un fabriquant de casseroles tous azimuts, pour rester correct, mais il suffit de se souvenir des implications de la Mafia à de nombreux échelons de l’Etat.
Si autrefois l’on parlait de groupe de pression, désormais l’on est sur une autre échelle de la déchéance, et il n’y a donc pas lieu de s’étonner lorsque l’on voit des membres de la secte “maçonne“ comme François Hollande ou Philippe Couillard avoir tout promis et faire son contraire par allégeance à la franc-maçonnerie, tout est à craindre y compris le pire.
Christian Sébenne
Ancien propriétaire du magazine Africa International