Bloc canadien : englué dans le pétrole sale
17 octobre 2015
Le déficit d’indépendance est certainement le trouble compulsif hypothéquant le plus la capacité cognitive à prendre la décision la meilleure pour une nation. Ce déficit permet sans doute de vendre ses intérêts de petite entreprise individualistes, mais en projetant ces intérêts à une hauteur nationale « post-architecturale » plus élevée « géostratégiquement », le POUVOIR de décider par soi-même pour soi-même en tant que peuple souverain s'accomplirait réellement. Flottement et attentisme politiques stérilisants, voilà le drame de la bien-pensance QS/NPD de confusion fédéralo-islamo-zinzinclusive.
Ces intérêts individualistes à nez collé sur des buts sans moyens réels d’action, typique de l’idéalisme écologique utile de la bien-pensance scientificisée à outrance (et votant NPD ou QS selon le contrat en vue!), font de ce parti vert en particulier, que j’appelle « parti vers nulle part! », qu’il baigne dans le pétrole orange et orangiste croche surenglué par insouciance politique.
L’indépendance du Québec, seule, produira une conscience environnementale entre agir ou/et nuire dans le sens concret sur/à son milieu de vie. C’est d’abord chez soi qu’on peut faire le ménage ou pas, avant de prétendre le faire chez le voisin ou sur la planète entière parce que c’est payant en voyage d’affaires. Non seulement les cultures ne se changent pas par impérialisme violent, mais même les ONG sont instrumentalisées à des fins autres que leurs prétentions vertes de surface. C’est par des lois dé-mo-cra-ti-ques pour vrai que les entreprises qui produisent des piles électriques seront forcées de récupérer ce qui leur rapporte profit tout en polluant. Culpabiliser les populations est le leurre du siècle utilisé par les affairistes et les faiseurs écolos de manifs syndicalisées ou communautaristes. Vivement l’indépendance et la souveraineté pro-actives, sinon la déchetance passive par impuissance législative fédéralisée aboutira au déclin final de l'humain: Final Exit.
Les écolos fiers de leurs titres de noblesse diplômarisée les autorisant abusivement à se dire (et se croire comme foi en religion) plus dans le vrai parce que « scientifiques » passent pour de fameux imbéciles lorsque répète perroquettement en compulsivité débilitante leur représentante du Parti vert du Canada Élizabeth May, dans un français langue plus que secondaire, qu’il faut aller combattre l’État islamique sans savoir qu’à le combattre c’est précisément à polluer les territoires convoités pour en voler les richesses naturelles que le Canada et compagnies prédatoriales l’alimente en armements, LEUR État islamique aux Obama, Harper et Couillard les saoudiens.
Mme May, américaine d'origine et anglicane pratiquante, dont le parti a son siège social en Ontario devrait s’allumer sur la géostratégie et les guerres d’énergies associées, critiquer en premier lieu la vente d’armes à coups de milliards de dollars de profits que fait cette province très canadian sur le dos des autres non-consultées, armes vendues à l’État islamique utiles à tuer les soldats canadians, dans un juste et « scientifiquement mesurable » retour écologique, mais peu écologisant des choses.
Répétons-le sans cesse, haut et fort en arguments politico-économiques de leviers d’agir pris en mains, non pas superficiellement qu’écologiques de bonne conscience en programmes subventionnés Vert de surface pour petite entreprise de recyclage à la semaine, mais tout aussi noircis de fait et de fondS sans pouvoir législatif réel de contrainte sur les fabricants pollueurs : vivement l’indépendance! Et vive la souveraineté! OUI! OUI! VIVE LA SOUVERAINETÉ!
Ah... fais pas ça copain! Faut laisser faire les "Spécialistes"! : https://www.google.com/search?q=les+sp%C3%A9cialistes+de+ferr%C3%A9&ie=utf-8&oe=utf-8