Le travail de l'Homme. Réflexions sur notre éthique commerciale
6 novembre 2007
Je vous remercie, M. David Litvak, pour la suggestion de lecture. Je consulterai le lien proposé sous peu.
Bravo pour votre travail critique.
Dominic Desroches est docteur en philosophie de l’Université de Montréal. Il a obtenu des bourses de la Freie Universität Berlin et de l’Albert-Ludwigs Universität de Freiburg (Allemagne) en 1998-1999. Il a fait ses études post-doctorales au Center for Eti...
Dominic Desroches est docteur en philosophie de l’Université de Montréal. Il a obtenu des bourses de la Freie Universität Berlin et de l’Albert-Ludwigs Universität de Freiburg (Allemagne) en 1998-1999. Il a fait ses études post-doctorales au Center for Etik og Ret à Copenhague (Danemark) en 2004. En plus d’avoir collaboré à plusieurs revues, il est l’auteur d’articles consacrés à Hamann, Herder, Kierkegaard, Wittgenstein et Lévinas. Il enseigne présentement au Département de philosophie du Collège Ahuntsic à Montréal.
Les effets de l’insensibilité et de l’étourdissement volontaires sur la politique
Réflexions sur notre politique alimentaire
La position du repli peut conduire à la ruine si le peuple s’avère incapable de reconquérir sa liberté
Les hommes sont désormais confrontés à un destin commun
Le Québec et l’avenir des pays neufs
À n’en pas douter, le monde entend continuer à se donner des pays neufs
L’occasion, l’occasion du petit geste pour tout dire, c’est la chance même de commencer du nouveau
Savoir voyager et reconnaître l’existence des autres.
Les démocraties occidentales ne peuvent plus prétendre qu’elles sont au-dessus de tout soupçon.
Face à la menace qui pèse sur nous, notre destin prend la forme d’un défi lancé à chacun, mais qui nous concerne tous.
Ce que la réalité nous donne à voir cependant, c’est moins l’accomplissement de ces idéaux que notre incapacité à les incarner dans la vie publique
Ainsi, exactement comme au théâtre grec, notre pièce met en scène la crise du pouvoir et la question de la destinée.
C’est bien lorsque tout est devenu trop grand pour nous qu’il faut commencer par le petit geste, la finesse et le refus de la négligence