Amira Elghawaby: préjugés ou souvenirs?
3 février 2023
Pardonnez mon erreur: le nom du conseiller d'Hérouxville est André Drouin et non André Dion.
François Champoux
MÉDIA
Réflexion sur les dons
Article refusé!
Après avoir examiné votre cas, les membres de l’équipe Vigile ont conclu que vous faites preuve de cyberharcèlement ou de trollage. Vos textes ne seront donc plus affichés sur notre site.
Article refusé!
Texte impertinent considérant la mission de Vigile. Merci de votre compréhension.
Article refusé!
Doublon d'un texte refusé. Merci de votre compréhension.
3 février 2023
Pardonnez mon erreur: le nom du conseiller d'Hérouxville est André Drouin et non André Dion.
François Champoux
3 février 2023
Bonjour M. Marineau,
Oui, il y a des chances que le cul-de-sac que vous exprimez soit une réalité.
Il faut reconnaître cependant que pour lutter (pardonner ce mot un peu violent) contre l'islamophobie, qui de mieux qu'une personne de la religion de l'Islam pouvait faire la tentative de réconcilier les Québécois avec son changement de société? Je n'aurais pas vu une personne contre les religions prendre le poste.
La peur de l'autre nous habite toutes et tous, malheureusement; le niveau de cette peur est plus ou moins grand selon les personnes. Mais au Québec, les religions et leur adeptes remportent la palme de la peur: depuis plus de 50 ans, c'est la liberté qui a pris le dessus sur la foi, et c'est tant mieux; encore faut-il découvrir comment user de cette liberté sans brimer l'autre et son droit à sa liberté et son expression. C'est Confucius qui faut nous rappeler afin de vivre en paix et en liberté.
François Champoux
16 janvier 2023
Bonjour,
Il faut admirer les gens qui trouvent l’énergie pour défendre une cause; celle du Québec français ou du Canada français tient lieu d’une cause qui demande effectivement beaucoup d’énergie pour la maintenir en vie. Elle est importante, mais elle doit être justifiée jusqu’à une mesure raisonnable.
Il m’apparaît raisonnable de maintenir en vie notre langue, car la parole respectée est le centre névralgique d’une démocratie vivante. Au-delà des traditions et de tous les patrimoines, la langue permet de se comprendre et de vivre en paix. Il est élémentaire de se comprendre pour se respecter.
Il y a des passés qu’il n’est plus nécessaire de faire revivre; mais la langue, elle, doit traverser le temps; cela me semble prioritaire. Et la langue n’est pas un cumul de traditions à sauver de l’oubli, mais bel et bien un langage à bien utiliser (règles et prononciations) pour se faire comprendre et se comprendre entre nous.
L’évolution prend du temps; beaucoup de temps. Et l’évolution, malheureusement, tristement, utilise les forces de la nature, celles de la sélection pour faire son oeuvre. La vie est un combat; celui de notre langue française en vie demande l’énergie de la faire vivre. Et c’est au quotidien d’aujourd’hui qu’il faut y mettre notre énergie à bien la faire vivre.
Entouré d’une mer d’anglophones, il nous faut décupler l’énergie nécessaire pour bien faire vivre notre langue française utilisée par les citoyens d’un Québec qui crie sa souffrance et qui refuse de mourir. Nous sommes admirables. Et nous le serons encore davantage si, au quotidien de nos vies et de nos combats de tous les jours, nous savons être fiers de bien parler et d’écrire cette langue pour bien nous comprendre et nous aimer. Car, nous aimer, c’est justement l’essentiel de nos vies à ne pas rater.
François Champoux
4 janvier 2023
Bonjour M. Frédéric Charest,
Je crois comprendre que vous m'avez posé une question à la fin de votre exposé; mon nom est Champoux et non Champagne.
Si c'est bien le cas (lapsus calami), voici ma réponse; les gens ont peur des apparences. Nous jugeons beaucoup sur les simples apparences des gens et nous interprétons ces apparences comme des faits, des dangers; ce qui justifient rapidement des actes de violence au nom d'une défense non justifiée. Il y a alors une généralisation de méfaits qui se fait sur les gens différents de nous (ce nous "québécois, racisé blanc, francophone"), comme l'a élaboré M. Réjean Labrie dans son texte "À partir de quand y aura-t-il trop de Noirs au Québec?" Le texte de M. Labrie (et son titre même) est violent car il crée une discrimination injustifiée envers des gens aux apparences différentes d'une majorité et condamne la minorité du seul fait de son apparence et de sa minorité. Il n'y a pas que les noirs qui commettent des actes de violence contrairement à ce que le texte de M. Labrie veut nous faire croire; les gens de toutes les couleurs aux conditions de vie misérables ou non commettent des violences et ainsi crée la peur de l'autre. C'est bien connu: les animaux (même domestiqués) attaquent parce qu'ils ont peur.
Le machisme, la mysogénie se comprennent de la même manière: les hommes ont peur de perdre leur fausse suprématie vis-à-vis des femmes; la violence naît de cette simple apparence de cette perception.
Je peux me tromper, mais j'en doute. N'ayez crainte d'argumenter sur la violence, phénomène humain et animal difficile à cerner sinon par un manque de confiance en soi: il ne faut pas avoir peur de l'autre et surtout pas le juger que sur ses simples apparences.
Votre question était: Finalement Mr. Champagne, de quoi ont peur tous ceux qui commettent des actes de violence et des crimes dans notre pays?
2 janvier 2023
La peur de l'autre est, je pense, la principale cause de la violence;
l'humanité souffre beaucoup de la peur de l'autre;
l'humanité est violente parce qu'elle a peur de l'autre.
Évidemment, sans partage des richesses de l'humanité, la violence naît et crée à son tour la peur et les peureux. C'est ce qu'on connaît depuis des siècles et des siècles comme un cercle vicieux de l'humanité; il faudrait à son encontre faire vivre le cercle vertueux du partage des richesses au lieu de persister dans cette idée, vieille comme le monde, de ne pas partager et de tout garder pour soi au nom d'une fausse prospérité de conquérant du monde.
"Quand les hommes vivront d'amour,
il n'y aura plus de misère,
les soldats seront troubadours,
mais nous, nous serons morts mon frère." (Raymond Lévesque)
François Champoux, Trois-Rivières
1 janvier 2023
Bonjour M. Jean-Claude Pomerleau,
Merci de votre article; il nous rappelle que nous avons eu des prédécesseurs qui ont pensé adéquatement et précisément la destinée de notre coin de pays. Il y a effectivement urgence à l'édification de notre État.
Je partage avec vous cet impression que nous manquons triistement de ce vouloir nous prendre en main afin de mieux articuler notre destinée française et économique: nous sommes trop près des États-Unis lesquels nous façonnent davantage à des valeurs financières et capitalistes, plus qu'à des valeurs humanistes et coopératives d'un monde meilleur où il fait bon vivre et en toute simplicité.
La chance que nous avons de vivre dans un environnement où nos richesses naturelles sont plus vertes et bleues qu'ailleurs rend les profiteurs moins respectueux de cet environnement; et l'exploitation sans limite devient la règle. Une erreur planétaire.
La lecture de votre texte m'a rappelé qu'il y a eu beaucoup de gens avant nous qui savaient prendre soin de ces richesses et du labeur de ses citoyens, mais que malheureusement plus d'un ont voulu les exploiter à leur seul profit. L'histoire de Desjardins en est une qui nous démontre son déraillement en moins de 20 ans: du coopératisme à la Dorimène et d'Alphonse Desjardins au communo-capitalisme oligarchique à la Claude Béland et ses amis de Montréal, trop faibles vis-à-vis les ordres des agences de notation financière internationales européennes et américaines.
Théodore Monod, parlant de l'utopie, nous précisait qu'elle était l'irréalisée et non l'irréalisable; à chacun de nous d'aller au-delà des perceptions et d'être de la trempe de nos réalisateurs d'antan, urgemment.
Encore merci de nous avoir éveillé et réveillé à nouveau à ce destin qui nous accable de plus en plus.
François Champoux
16 décembre 2022
Bonjour à toutes et à tous,
Je pense que la meilleure façon de perpétuer l’injustice et ses guerres, c’est de favoriser la discrimination. La société parfaite n’existera jamais m’a enseigné Henri Laborit, et Nelson Mandela fut un exemple pour moi : ne pas poursuivre dans la vengeance si l’on souhaite vraiment vivre en paix. Le respect de soi est bien, mais le respect de soi avec l’autre est mieux: chacun doit s’en responsabiliser.
Non, la société parfaite n’existera jamais (si Laborit n’a pas raison, il n’a pas tort non plus), mais il faut y travailler sans relâche comme Nelson Mandela y a consacré sa vie et ses passions.
Peut-on bâtir un pays unilingue français dans ce Québec? C’est là notre défi quotidien en tout respect de tout un chacun des citoyens qui sont de plus en plus de cultures cosmopolites par la force des choses humaines… Quand nous nous accouplons, l’amour ne commence pas par demander quelle est notre allégeance politique!
Peut-être que Gilles Vigneault n’a pas tort lui non plus : " Et les humains sont de ma race."
François Champoux, Trois-Rivières
9 décembre 2022
Bonjour Maître Christian Néron,
Je viens de lire votre texte « La violence politique » : quel travail!
Je vous félicite et vous remercie d’avoir pris le temps de nous le partager, car il est essentiel à notre conscience et pour la compréhension de bien des situations encore très vivantes au Québec, seul État en Amérique du Nord qui a cru nécessaire de se doter d’une loi contre le harcèlement psychologique au travail.
Je n’ai pas vos connaissances légales et historiques, mais je suis très au fait de ma subordination et de sa violence. Je l’ai souvent vécu au sein même du Mouvement Desjardins où j’ai travaillé pendant plus de 25 ans, tout particulièrement pendant le pontificat de Claude Béland qui a transformé l’oeuvre de Dorimène et Alphonse Desjardins en une patente plus capitaliste que coopérative.
En vous lisant, je n’ai pu m’empêcher de faire quantité de parallèles avec l’usurpation qu’a effectuée Maître Béland durant sa présidence au Mouvement Desjardins (1986 à 2000) : avec ses amis de Montréal qui étaient les plus puissants au Mouvement, il a réalisé votre maxime : « La force prime le droit ». Avec Maître Béland, les membres sont devenus le troupeau au service du Mouvement Desjardins, exactement le contraire de l’oeuvre de Dorimène et Alphonse Desjardins où les Caisses devaient être au service des membres.
Je suis surpris que vous n’ayez aucunement mentionné notre soumission aux dogmes et au pouvoir de l’Église catholique et la culpabilité qu’elle nous imposa dès notre prime enfance.
« La force prime le droit »! Voilà une expression que Maître Claude Béland a dû caresser avec beaucoup d’amour pour réaliser l’usurpation qu’il a finalement complétée le 4 décembre 1999. Lors de cette réunion historique des délégués des Caisses Desjardins, le pouvoir des membres fut subtilement et illégalement transféré vers la haute direction du Mouvement Desjardins. C‘est l’excellent livre de M. René Croteau, ex-directeur général de la Fédération des Caisses populaires Desjardins de Lévis, qui nous expliqua les manoeuvres légalistes de Maître Béland pour faire des sociétaires des Caisses un Troupeau au service de l’élite dirigeante de Montréal. Aidé politiquement par Bernard Landry et Monique Jérome-Forget, les dés pipés de cet orateur Béland furent tirés dans la controverse, et s’en était fait de l’autonomie des Caisses et du pouvoir des sociétaires!
Alors que Dorimène et Alphonse Desjardins eurent le génie de proposer le coopératisme financier aux Canadiens français pour se sortir de leur géhenne, Maître Béland fut l’homme de service des capitalistes du Mouvement et des agences de notation financière européennes et américaines pour faire passer de plus de 1300 Caisses populaires à environ 200 « succursales » de la fausse coopérative d’aujourd’hui.
Aujourd’hui, les dirigeants reçoivent une rémunération dont il n’est plus possible de connaître le montant : elle était de 150. $ l’heure en 2015! Aujourd’hui, le président Cormier fait des dons avec les trop-perçus qui devraient revenir aux membres : il s’est octroyé un joli 100 M lors de sa nomination! Depuis 2010 et Monique F. Leroux, deux règlements de régie interne (4.6 : saine conduite d’un membre et 4.7 : réprimande, suspension, EXCLUSION) font taire la critique des membres et maquillent la démocratie de surface de cette institution financière et bancaire; 6 fois en 8 ans, je fus exclu des Caisses où j’étais membre depuis des décennies; j’ai osé poser des questions dérangeantes.
Que peut un membre seul contre une armada d’avocats?
Le 6 décembre 1900, Dorimène et Alphonse Desjardins ont proposé la coopération aux Canadiens français; le 4 décembre 1999, Maître Béland a imposé la solidarité aux membres et citoyens québécois, faisant d’eux un troupeau docile aux ordres de Montréal et de la finance internationale. C’est de la page 146 à 148 de son autobiographie (Claude Béland; une carrière au service du coopératisme », FIDES, 2015) que les belles paroles de Maître Béland nous confirment sa dictature et sa violence politique.
Enfin, à la suite d’un questionnement adressé par lettre recommandée auprès de l’Autorité des marchés financiers du Québec (AMF), celle-ci ajouta cela à la fin de sa réponse par courriel :
« Mise en garde : l’AMF est l’organisme de réglementation du secteur financier québécois. Elle a pour mission d’encadrer les personnes et les entreprises qui exercent des activités dans ce secteur et de prêter assistance aux consommateurs de produits et services financiers.
…Ce courriel vous a été fourni uniquement pour votre bénéfice. Toute transmission de cette information, totale ou partielle, à toute autre personne est interdite sans avoir obtenu au préalable le consentement explicite et écrit de l’Autorité. De plus, ce courriel ne représente en aucun cas un conseil personnalisé ou une opinion juridique. Pour en connaître les incidences légales, veuillez consulter un conseiller juridique. »
L’art de museler le peuple asservi par la force qui prime le droit.
Il n’y a pas que le fédéral qui soumet les Canadiens français à leur éternel complexe d’infériorité…
Encore un merci très sincère pour votre texte « La violence politique ».
Et merci de me répondre, car j’ai besoin d’aide pour que Desjardins cesse d’exploiter la crédulité des citoyens.
François Champoux, Trois-Rivières
frschampoux@gmail.com
16 novembre 2022
Rebonjour M. EricKatomik,
Je relisais votre secondo (les profits réalisés avec les non-membres ne peuvent pas être ristournés aux membres!) et je crois y percevoir là une information que le commun des membres ne sait pas.
C’est la première fois que je lis une telle information et jamais Desjardins n’en a fait mention nulle part.
Ai-je raison? Est-ce que je me trompe?
Êtes-vous, M. EricKatomik, un membre dirigeant de Desjardins pour affirmer une telle information?
S’il vous plaît, M. EricKatomik, aidez-moi, aidez-nous à y voir clair.
Si Desjardins est en mesure de comptabiliser des revenus obtenus de l’exploitation des membres et d’autres revenus obtenus de l’exploitation des non-membres, je ne vois pas pourquoi les membres ne pourraient pas recevoir ces trop-perçus (ce que vous appelez ces excédents) lesquels sont tous issus de la bonne gestion de la coopérative auquel les membres contribuent, eux, par leur apport en capital des réserves (part de capital, part sociale, BNR c’est-à-dire les réserves de capital pour soutenir les opérations de crédits aux membres). Je ne vois vraiment pas pourquoi les trop-perçus sur des opérations avec la Caisse Desjardins réalisés auprès des non-membres devraient faire l’objet d’un traitement à part.
Y a-t-il un article de la Loi sur les coopératives de services financiers (L.R.Q., c. C-67.3) qui l’interdit expressément?
Merci, M. EricKatomik, de m’informer ainsi que tous les lecteurs de Vigile-Québec.
Comme je vous disais dans mon article:
La nationalisation des richesses financières du Québec n’est certes pas la solution idéale, mais considérant l’opacité de plus en plus grande des affaires de la «coopérative» envers ses membres, il doit y avoir un sérieux craquement de la patente, car l’abus des autorités au pouvoir n’en finit plus de se diversifier et de prendre de l’expansion.
Relisez ce paragraphe et interrogez-vous humblement; depuis 30 ans, Desjardins s’enfonce dans des « vérités » très douteuses concernant la bonne utilisation de sa philosophie de gestion dite coopérative…
16 novembre 2022
Désolé M. EricKatomik; vous êtes parmi cette multitude qui s’est laissé endormir par la publicité de Desjardins.
Je vous invite à plus de discernement que le niveau 1 des discours officiels des autorités bien pensantes. Osez! Vous en êtes capable. Les ristournes fondent alors que les dons, commandites, subventions et autres fonds de bienfaisance augmentent partout. Ce débordement tue la coopération, tue le véritable coopératisme. C’est du communisme-capitalisme, mais ce n’est plus du coopératisme. L'altruisme n'est pas de la philanthropie à tout vent.
31 octobre 2022
Merci, M. Bélair, de votre commentaire. Par votre court texte, vous confirmez le mien et celui de millions d’autres Québécois dont le lien de confiance avec Desjardins a été rompu depuis longtemps et à jamais.
Mais Desjardins n’est pas une banque comme les autres : Desjardins est une coopérative qui appartient à ses sociétaires. Une banque appartient à ses actionnaires, mais une Caisse appartient à ses sociétaires.
Si nous laissons faire la direction de la coopérative, nous devenons complices de leurs manigances contre nous-mêmes : nous acceptons de nous faire rouler dans la farine, de nous faire exploiter pour que d’autres profiteurs en retirent à nos frais les bénéfices de notre propre exploitation.
Desjardins refuse d’être une banque parce qu’il sait très bien que ce vocable de "coop", de "coopérative", de "coopération" se vend encore très bien auprès de la population qui pense qu’ils ne se font pas avoir dans une coopérative. La réalité est souvent pire à la "Coop" Desjardins.
Claude Béland a voulu durant ses années à la présidence de Desjardins, convertir l’oeuvre de Dorimène et Alphonse Desjardins en une « banque coopérative » sous charte fédérale; c’est René Croteau, ancien directeur général de la Fédération de Lévis, qui relate très bien ce fait troublant et insensé dans son livre « Un patrimoine coopératif défiguré et dénaturé : le mouvement Desjardins 1997 - 2003 » Éditions MultiMonde.
N’oublions pas que Desjardins est sous une loi provinciale; souvenez-vous de quelle façon François Legault a géré la vente frauduleuse de tous les renseignements personnels des membres des Caisses : il n’a rien fait! Il a laissé Desjardins s’organiser sans rien imposer. Desjardins est un bon pourvoyeur de fonds dans les municipalités, dans le réseau de la Santé, celui de l’Éducation. Desjardins participe de près à la santé à 3 vitesses avec les Coops de Santé à travers le Québec; des dons, commandites, subventions prennent la direction de ces « coops » sans qu’il en soit transparent pour les Québécois membres de Desjardins et contribuables du Québec.
Je viens de lire pour une deuxième fois qu’à la Caisse d’économie solidaire Desjardins (CÉSD), des dons ont été octroyés à la Fédération des coopératives de santé du Québec. De plus, j’ai découvert aujourd’hui même (31 octobre 2022) que des dons ont aussi été faits par Desjardins à « Justice pro bono Québec! En 2020, c’est l’organisme « Ligue des droits et Libertés » (LDL) qui a bénéficié des largesses de Desjardins par une commandite de la CÉSD et de même pour cette année 2022 où la LDL souligne son 60e anniversaire de fondation.
Comment voulez-vous que le simple citoyen ne se fasse pas avoir quand il réclame auprès de ces instances une aide juridique, un accompagne honnête et intègre contre des abus de Desjardins par ses règlements internes 4.6 et 4.7?
Desjardins achète les consciences et des gens en autorité font comme François Legault : ils se taisent et détournent le regard ailleurs, laissant les sociétaires se dépêtrer des tentacules du financier devenu faussement « coopérateur ».
En terminant : Desjardins dit dans une publicité lue le samedi 29 octobre 2022 que 97 % des membres reçoivent une ristourne; à la CÉSD ce n’est que 1,4 % des membres qui reçoivent une part du 1,6 M des trop-perçus à partager (302 entreprises sur 21 000 membres)!!! Ce n’est qu’en 2020 que j’ai difficilement su auprès de Gérald Larose lui-même (ex-président de la CÉSD) que les membres individuels ne recevaient aucune ristourne : tout allait à des entreprises choisies par la direction pour leur projet considéré comme socialement responsable!
Les Banques en font-elles autant des répartitions de profits à leur entreprises clientes?
15 octobre 2022
Bonjour M. Réjean Labrie,
Connaissez-vous votre quotient intellectuel (QI)?
Si je vous disais que le mien se situe très au-dessus de 120, que penseriez-vous de mes convictions si elles étaient différentes des vôtres? Si votre QI est au-dessus du mien diriez-vous que je suis un idiot qui ne comprend rien et qui doit être malheureux dans la vie?
Devrait-on faire passer des tests de QI aux adolescents, leur révéler leur résultat afin de les avertir de leur chance d’être heureux dans leur vie future ou de les avertir de leur capacité ou non à étudier, comprendre et faire ce qu’ils souhaitent dans la vie?
Je me demande si l'humanité est vraiment en progrès? C'est là une question, pas une affirmation, une question!
François Champoux, Trois-Rivières