Finie la reconnaissance des diplômes étrangers douteux
29 avril 2025
Le journaliste sérieux Loïc Tassé écrit dans le même sens que ce que j'avance dans mon article.
Je le cite:
Le Canada pourrait recevoir cette année un nombre extrêmement élevé de réfugiés et d’immigrants qui, plutôt que de se diriger vers les États-Unis, pourraient tenter de s’établir ici.
Rappelons que nous ne sommes pas obligés de recevoir des réfugiés. Nos gouvernements pourraient dénoncer le traité par lequel ils acceptent de les accueillir.
Périodiquement, des voix s’élèvent pour réclamer une plus grande reconnaissance des diplômes étrangers.
À première vue, cette demande paraît juste.
Mais elle ne l’est pas, tout au moins dans le domaine des diplômes universitaires.
En d’autres termes, nos universités sont parmi les 2% meilleures au monde. Par-conséquent, il est très difficile pour la majorité des diplômés étrangers de compétitionner avec nos diplômés.
Pire, de nombreuses universités étrangères paient mal leurs professeurs. Il est donc souvent facile pour les étudiants de corrompre ces derniers et ainsi de décrocher ainsi des diplômes de complaisance.
Rien de simple
C’est que rien n’est simple au royaume des équivalences de diplômes.
Mais avec les années, les universités et les employeurs ont fini par mettre au point des pratiques d’équivalence qui le plus souvent reflètent bien la valeur des diplômes étrangers.
Cette situation peut être frustrante pour certains immigrants qui ne veulent pas accepter que leur diplôme universitaire étranger ne vaut finalement pas grand-chose.
Cependant, augmenter la reconnaissance de diplômes étrangers au-delà de ce qui existe déjà reviendrait à dévaloriser les diplômes québécois et à désavantager indûment ceux qui ont fait l’effort de se faire former ici.
(fin de la citation de l'article de Loïc Tassé)
Source : L’immigration et la foire des diplômes étrangers plus que douteux
Tout est corrompu dans le tiers-monde.
À lire: Priorité: écarter les immigrants issus des pays les plus corrompus