Qui devrait être autorisé à voter lors du référendum sur l'indépendance du Québec?
13 juillet 2024
Lorsqu'on entrevoit le prochain référendum, il sera important d'établir des règles qui vont déjouer les plans perfides des fédéralistes.
NOS PLANS D'AVENIR NE CONCERNENT QUE NOUS.
Le vote au prochain référendum devra exclure les non-Québécois.
Appliquons des critères restrictifs comme cela se fait dans d'autres pays.
En toute logique, le vote au prochain référendum sur l'indépendance du Québec devra exclure les minorités ethniques d'origine étrangère, ainsi que les anglo-montréalais, comme c'est pratique courante et admise dans d'autres pays.
Car il va de soi que l'avenir d'une nation ne concerne que ceux qui en sont natifs, que ceux qui en font partie intégrante. Ce sont ces gens qui forment le peuple qui a besoin d'un état à son image pour se sentir maître chez soi, s'épanouir et prospérer.
Un exemple tout récent d'une population native qui s'est questionnée sur sa volonté d'indépendance, La Nouvelle-Calédonie.
Des critères d'appartenance plus restrictifs que lors des élections ordinaires s'appliquaient par exemple au référendum sur l'indépendance qui s'est tenu en Nouvelle-Calédonie, rattachée à la France sous forme de département outremer. C'est une procédure reconnue et parfaitement justifiable. Il n'aurait pas convenu aux Français et autres non-natifs qui y résident de s'immiscer dans ce processus décisionnel démocratique reconnu internationalement. Ils ne sont pas chez eux après tout. C'est aux natifs qu'ils revenait de se prononcer.
Pour pouvoir voter, il fallait être inscrit notamment sur la liste électorale spéciale pour le référendum où les critères d'inscription étaient plus restrictifs que sur la liste électorale générale afin de limiter le droit de vote d'habitants installés récemment en Nouvelle-Calédonie.
Quelques-uns des critères utilisés:
• avoir eu le statut civil coutumier ou, né en Nouvelle-Calédonie, y avoir eu le centre de ses intérêts matériels et moraux ;
• pouvoir justifier d'une durée de vingt ans de domicile continu en Nouvelle-Calédonie à la date de la consultation et au plus tard au 31 décembre 2014 ;
• être né avant le 1er janvier 1989 et avoir eu son domicile en Nouvelle-Calédonie de 1988 à 1998 ;
• être né à compter du 1er janvier 1989 et avoir atteint l'âge de la majorité à la date de la consultation et avoir eu un de ses parents qui satisfaisait aux conditions pour participer à la consultation du 8 novembre 1998.
Ici-même chez nous, des règles claires pour déterminer qui est habilité à voter au référendum devront être établies.
On peut songer à exclure:
- les résidents nés hors du Québec (allophones et Canadiens-anglais)
- les Anglos-Montréalais même nés au Québec
- les citoyens reçus habitant ici depuis moins de 20 ans
- les non-natifs qui échouent à la passation d'un test de francisation et de valeurs
En contrepartie, on pourra inclure tous les immigrants occidentaux qui se sont rapidement francisés, intégrés et qui ne se différencient plus guère des nôtres. On n'a qu'à songer à tous ceux qui portent des patronymes à consonnance étrangère comme ceux des personnalités publiques suivantes: Carli (Martin), McLeod (Peter), Petrowsky (Minou et Nathalie), Trogi (Ricardo), Hyndman (James), Facal (Joseph), Fiori (Serge), Zanetti (Sol). Toutes ces personnes sont considérés comme étant tous aussi québécois -et parfois même aussi indépendantistes, que vous et moi.
En conclusion, gardons toujours à l'esprit que c'est le peuple fondateur qui se dote d'un pays à sa ressemblance.
Référence: Le vote au prochain référendum devra exclure les non-Québécois