Pratiquement tous les féminicides récents sont d'origine ethnique ou autochtone
9 avril 2024
2 autres féminicides pratiqués par des autochtones du Nord du Québec s'ajoutent à tous les autres. Comme à l'habitude, les médias se font discrets sur la chose, car il ne faut jamais laisser paraître les problèmes inhérents à leur condition. C'est le règne du politiquement correct. Pas touche aux autochtones!
Photo ci-dessus: Stephanie Kitchen, 33 ans, assassinée par son conjoint Alexander Weistche
« Ce que je trouve déplorable, c’est que le grand public ne soit pas au courant exactement de ce qui se passe au Nunavik et du haut niveau de violence qui se passe quotidiennement », résume le capitaine Patrice Abel, responsable des enquêtes criminelles à la police du Nunavik.
« On a dans le Nunavik au complet 6 à 7 meurtres par année. Il y a des féminicides là-dedans dont on n’entend parler nulle part », ajoute le policier d’expérience.
« Il faut savoir qu’il y avait un historique de violence conjugale entre les deux, ce qui est extrêmement commun ici au Nunavik », affirme le capitaine Abel.
(fin de la citation)
Ces déclarations sans détour confirment ce que j'avance dans mon article, c'est-à-dire que les médias font tout pour camoufler de genre de crimes, pour ne pas nuire à l'image artificielle des autochtones qu'on essaie de présenter afin de sauver les apparences. Cette dissimulation est une déformation délibérée et systématique de la réalité, uniquement pour obéir à l'idéologie bien-pensante pro-autochtone fédérale.
Le féminicideur Joanassie Weetaluktuk
La victime Raingi Tukai
Source: Deux féminicides passés sous le radar dans le Nord-du-Québec