Immigration massive

L'Afrique en mode invasion active de l'Occident

Des troupes dépassant le milliard de combattants

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Tribune libre

L'Afrique est entrée en mode invasion active de l'Occident, avec des troupes dépassant le milliard de combattants. C'est la conséquence directe du phénomène de la transhumance tous azimuts qui a pris une ampleur tsunamique détruisant tout sur son passage.



Et son armée est aussi indétectable que possible. Aucun uniforme en vue. Aucune arme requise. Aucun déploiement de chars d'assaut, avions de chasse, bombardiers ou destroyers. Pas la moindre déclaration de guerre officielle nécessaire. Mais une stratégie d'invisibilité et de pénétration du territoire à occuper supérieure à tout un escadron d'avions furtifs.



À la place de cela, et c'est tellement plus efficace, on assiste impuissant à l'assaut d'armadas de boat-people, de simulacres innombrables de pseudo-réfugiés, de faux demandeurs d'asile, de demandes d'immigration officielles avec documents falsifiés, de faux passeports, de la clandestinité souterraine, de sans-papiers dans le maquis, de la migrance à outrance cautionnée par certaines autorités honteusement inconscientes des conséquences, le tout étant présenté comme d'alléchantes journées portes ouvertes dans le genre "venez voir par vous-même et installez-vous à demeure si cela vous plaît". Il suffit simplement de faire suffisamment pitié pour que bingo, vous soyez accepté à bras ouverts et pris en charge à vie!



Cette stratégie d'assaut nouveau genre à tellement pris par surprise les populations occidentales ciblées par la mouvance envahissante que les gouvernements dépassés par les événements paraissent pris de court et ne savent plus trop comment réagir à la situation.



Tous se montrent paralysés et incapables de riposter. N'est-ce pas Machiavel qui affirmait que surprendre quand on s'y attend le moins demeure encore la meilleure tactique pour décimer et vaincre les populations non prévenues...



1- Psychologiquement parlant, l'invasion qui est en cours réussit son coup fumant en semant la confusion quant à la nature de ce qui se passe réellement.


Remarquez que les africains ne diront jamais: "Nous sommes de dangereux envahisseurs venus conquérir et occuper votre territoire".



Non, ce qu'ils affirment pour faire accepter leur geste, c'est: "Regardez, nous ne sommes que de pauvres délaissés, des défavorisés de la vie, des miséreux laissés pour compte qui faisons tellement pitié et que vous n'avez pas le droit de refuser d'aider au nom de la charité humaine". C'est un stratagème bien huilé qui ne rate jamais son effet...


Qui voudrait passer pour un grand sans coeur et refuser de répondre à un appel à l'aide si astucieusement formulé?



On mise adroitement sur la culpabilisation et la compassion forcée. On tirera même des larmes à certains premiers ministres plus sensibles que d'autres...



2- Psychologiquement parlant, on fait appel au: "qu'est-ce qu'on va penser de vous si vous refusez notre appel à l'aide?" comme moyen sournois de nous faire plier et céder à leurs demandes. On nous fait craindre le doigt accusateur pointé vers nous, le jugement condamnateur des bien-pensants de la communauté internationale.


Et tout ce grand guignol, tout ce lamentable théâtre de bas étage, passe comme du beurre dans la poêle, comme un Blanc dans la marmite du cannibale, et réussit à berner tout le monde!


Il ne leur a suffi que de reformuler autrement et habilement leur message pour marquer des points.



Et le marasme qui risque de s'ensuivre créera un chamboulement aux retombées incontrôlables.


En effet, le problème survient losqu'un premier africain admis au pays devient rapidement 1000 africains, puis 100 000 africains, puis 1 million d'africains.


Un premier africain, c'est déjà le début du premier million d'africains.



De 1 à 1 million, il n'y a qu'un pas, qu'un pas de Calais, vite franchi.



Ou en faisant un simple petit détour par le si pittoresque chemin Roxham...



Car l'Afrique s'avère être un puit sans fond d'un milliard de transhumains potentiels. L'exode hémorragique hors du continent ne s'arrêtera jamais à moins de le contenir.


Ils sont 1000 millions en nombre. Pouvons-nous imaginer 1000 de nos villes occidentales recevant chacune 1 million d'africains du jour au lendemain?



Le Québec doit-il devenir peu à peu l'équivalent en contenu d'une république africaine sous-développée, un nouveau Sénégal, un nouveau Congo, un nouveau Bénin?



Le Québec doit-il devenir une excroissance africaine, l'un de ses appendices, une extension de la diaspora africaine, l'une de ses métastases?



Qui sera assez inconscient pour affirmer que le Québec gagnerait  à s'africaniser à tous les niveaux de sa société avancée?



Est-ce à nous de faire les frais de tous ces pays coupables de surpopulation désordonnée, en leur permettant de poursuivre ce processus condamnable en Occident? Ce serait les récompenser de continuer à commettre une faute grave qui nuit à la survie de la Terre entière.



Car le problème numéro 1 de la planète n'est pas l'environnement comme le prétendent certains lobbys alarmistes bien financés, organisés et habiles à manipuler les médias, mais la surpopulation dont se rendent coupables les pays sous-développés (l'ensemble des pays africains et arabes, l'Inde, les pays asiatiques et latinos).


C'est cette surpopulation qui finira éventuellement par venir à bout de toutes les ressources de la planète, sans parler du retour à la barbarie qu'elle entraîne et de la perte des phares de la culture universelle et de l'évolution humaine que l'Occident représente.



La transhumance des pays de misère doit être contenue et repoussée avec force. Elle doit être reconnue pour ce qu'elle est: une forme d'envahissement, d'ensauvagement, de programme de destruction de la civilisation, un retour à la barbarie primitive, une infiltration des populations établies à des fins de remplacement par voie de substitution.


Tous les migrants, pseudo-réfugiés, individus illicites entrés clandestinement doivent être automatiquement retournés dans leur pays sans autre forme de procès.



Au Québec, nous luttons depuis 1760 pour reconquérir ce qui nous appartient. Ne serait-t-il pas ironique que nous réussissions à se débarrasser enfin du million d'anglo-montréalais (à relocaliser dans le ROC) pour qu'ils se voient immédiatement remplacés par 1 million d'africains, 1 million de maghrébins musulmans arabes, 1 million d'hindous et de sikhs, 1 million d'asiatiques, 1 million de latinos?



Mais que doit-on faire une fois qu'une tentative d'invasion est reconnue comme tel, que le péril en la demeure a été identifié? On résiste et on reconquiert sa terre natale. On circonscrit le feu. Puis on l'éteint avec l'eau de nos 3 millions de lacs.


Exigeons de nos gouvernements une protection accrue contre ce nouveau type d'envahissement continu en renforçant nos irrésistibles frontières poreuses si invitantes, et en modifiant en conséquence les conditions d'admission à l'immigration.



Une nation attaquée a le droit de protéger son territoire de tous ceux qui le convoitent.


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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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