Au tour des Canadiens d'être convaincus du Grand Remplacement amorcé
26 juillet 2022
D'un côté, l'état post-national multiculturaliste et métissé à la Justin Trudeau destructeur de l'identité collective; de l'autre, une nation homogène et solidement soudée qui tient à préserver son identité historique, qui demeure ce qu'elle a toujours été.
Le premier ministre de la Hongrie Viktor Orban réélu 4 fois, est le champion de son peuple. Il refuse de le voir s'atténuer, s'affadir, se dépersonnaliser, s'aliéner à lui-même. Voilà la voie à suivre pour le Québec qui doit résister à la basse propagande diversitaire du fédéral s'il veut survivre sur la terre des ses ancêtres et traverser le temps.
M. Orban déclare avec lucidité et àpropos : “Nous les Hongrois, nous ne sommes pas un peuple métissé et nous ne voulons pas le devenir. Les pays occidentaux où les populations se mélangent ne sont plus des nations”.
Auparavant, il avait critiqué les pays et les hommes politiques d’Europe de l’Ouest pour avoir encouragé l’immigration et mélangé leur population avec d’autres peuples. Il a déclaré que les villes d’Europe occidentale étaient perdues au profit des populations non-européennes.