Il y a une folle idée qui circule; elle est même valorisée, imposée avec la pression sociale de la pensée unique.
Cette idée folle consiste à prétendre que: ce n'est pas grave toute cette surimmigration effrénée. On nous dit que c'est tout à fait normal. C'est même une bonne chose. Que cela ne comporte que des avantages. Vous allez voir, vous allez finir par vous y habituer. On nous assure que c'est le Québec de demain; autant qu'il le devienne alors le plus tôt possible. Un Québec multi-ethnicisé, multi-racial, multi-confessionnel, multi-communautaires, multi-langues, multiculturel, multi-tout. Même que vous devez le désirer ardemment, et laisser ce gros paquet d'étrangers disparates s'installer pour prendre la place le plus vite possible du peuple fondateur, nous les Québécois de souche. Accueillez-les donc tous à bras ouverts pour leur faciliter les choses, c'est-à-dire le remplacement des premiers par tous les autres.
Et ce n’est vraiment pas plus grave que ça si on s'éteint à petit feu et disparaissons sans laisser de traces. Il y a des millions de nouveaux remplaçants impatients d'occuper toute la place maison après maison, rue après rue, quartier après quartier, ville après ville. À tel point qu'ils sont pas mal tous prêts à toutes les arnaques illégales pour y arriver. Et comme c'est vers là qu'on s'en va de toute façon, ça ne servira à rien de résister, alors autant vous y résigner avec enthousiasme et trépidation.
Voilà en gros la folle idée qui est véhiculée par plus de bien-pensants endoctrinés qu'on ne croit. Nommons-les: les fédéralistes, les mondialistes, les diversitaires, les multi-ethniques eux-mêmes, les Anglos-Canadiens, les partis politiques canadiens, le PLQ et QS, toutes les sortes d'immigrants imaginables (immigrés résidents, travailleurs temporaires, étudiants étrangers, pseudos demandeurs d'asile, faux-réfugiés, migrants illégaux), les wokes, sans oublier la majorité des médias vendus à l’idéologie mortifère.
C'est la folle idée qui est dans l'air du temps et qu'on fait apparaître comme raisonnable et sensée. On laisse entendre que si vous êtes une bonne personne, que vous êtes intelligent et vertueux comme eux, vous n’avez pas le choix d'adhérer à 100% à cette ligne de pensée obligatoire.
Mais si vous osez afficher le moindre signe de doute ou de désaccord, vous devenez automatiquement un gros bêta, un méchant xénophobe, un réactionnaire qu'il faut faire taire. Même que vous devenez à leur yeux un réel danger social, parce que vous pourriez arriver à convaincre la vile populace si bonasse, qu'on cherchera plutôt à contrôler et rééduquer en appliquant les règles de la réingénierie sociale digne des pays totalitaires.
Ces bien-pensants laisseront entendre que: "vous n'avez tout simplement pas le droit de penser comme vous le faites. Vous devriez avoir honte. Ressaisissez-vous. Admettez votre erreur. Redevenez quelqu'un de respectable et d'honorable comme nous". On n'est pas loin du roman 1984 de George Orwell.
À lire: que répondre aux accusations de xénophobie, de racisme, d'islamophobie
Et c'est cette pression de la seule pensée unique autorisée qui fait qu'on ne peut lever la main et dire: "non, ça n'a pas de sacré bon sens!".
Eh bien, levons quand même la main en s'exclamant haut et fort: "non, ça n'a pas de sacré bon sens!".
Ce n'est pas parce qu'une locomotive idéologique dissolvante fonce dans le tas à fond de train à 200 km/h qu'il faut la laisser faire et se laisser écrabouiller.
Ci-dessus: école islamique inégalitaire de Montréal
Mais par bonheur, on s'aperçoit qu'à travers tout l'Occident, la voix sensée de la majorité de la population citoyenne s'élève pour protester contre cette fâcheuse tendance dégénérative, contre cette propagande maléfique injustifiable et condamnable.
On fait de plus en plus élire des gouvernements anti-immigration aléatoire et débridée. Les bonnes gens s'aperçoivent qu'elles étaient en train de perdre leur identité collective historique, ce trésor irremplaçable qui a fait de nous ce qu'on est, qui est à la base du sentiment d'appartenance à sa patrie.
Ci-dessus et ci-dessous: une autre école islamique
Montréal n'est plus que l'ombre d'elle-même, hélas. La métropole dont on était jadis si fier se déquébécise à vue d'oeil et fait peine à voir. Elle se dénature à vitesse grand I pour immigration effrénée. C'est la tiers-mondisation accélérée qui nivelle tout vers le bas, à commencer par la sécurité publique.
À lire: Qui cherche à déblanchir le Québec?
Il faut mettre tout en oeuvre pour que le reste du Québec ne subisse pas le même effet de dépérissement, la même altérisation multifactorielle délétère due à des flux migratoires submersifs, incontrôlés et destructeurs.
Alors, c'est un non catégorique à tout un Québec désincarné comme Montréal, et un non encore plus catégorique pour un Québec comme le Canada.
Nous avons le droit de désirer que le Québec demeure à l'image de son peuple fondateur, autant dans sa composition démographique, sa culture, que dans son mode de vie.
Pour un Québec rempli de Québécois à notre ressemblance.
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1 commentaire
François Champoux Répondre
29 septembre 2024Bonjour M. Labrie,
Selon Théodore Monod, l'utopie serait l'irréalisée et non l'irréalisable; mais ne faut-il pas aussi considérer l'immensité de l'ouvrage à réaliser dans cette optique utopique?
Il faut apprendre à voir m'a enseigné Léonard de Vinci:
"Principe pour le développement d'un esprit complet: étudiez la science de l'art, étudiez l'art de la science. Développez vos sens, en particulier, apprenez à voir."
"Apprendre à voir; le point de vue du vivant" par Estelle Zhong Mengual, Actes Sud, 2021, en exergue du chapitre : Apprendre à voir l'invisible"
François Champoux, Trois-Rivières