Les immigrés criminels doivent être expulsés
25 septembre 2021
Un africain togolais de race noire du nom d'Essodom Kpatcha habitant à Gatineau tue ses 2 fillettes et se suicide. En instance de divorce, sa femme africaine qui n'était pas sur place et dont il était séparé devait être également dans la mire. Elle l'a échappé belle.
La DPJ Direction de la protection de la jeunesse avait reçu un signalement au mois d’août, a confirmé une source gouvernementale, qui n'avait pas été retenu en raison de l'existence d'un jugement de la Cour supérieure interdisant aux deux parents de se voir, a-t-on appris.
C'est à ce moment précis que l'africain togolais de race noire du nom d'Essodom Kpatcha aurait dû être expulsé du pays. C'est ainsi que l'horrible drame dû la folie furieuse aurait pu être évité.
C'est une erreur de laisser courir le risque que des étrangers à l'aggressivité facilement déclenchable, issus de pays sous-civilisés, commettent des crimes prévisibles comme cela se fait couramment chez eux. Cela leur en prend bien peu pour céder aux pulsions homicidaires qui leur font commettre des gestes détraqués irréparables.
Fait curieux mais devenu habituel, tous les médias québécois cachent la race, l'ethnie, l'origine, et même le nom du meurtrier pour qu'on ne voit pas que ce n'est pas un vrai Québécois, et laisser croire que le crime est dû à l'un des nôtres pour nous culpabiliser collectivement.
Les médias africains sont plus explicites.
C'est une erreur monumentale de faire entrer au pays des races et des ethnies issus des pays les plus sous-civilisés de la planète, avec une plus grande propension à la violence sous toutes ses formes, et surtout à l'impulsivité qui fait perdre la tête et commettre des actes irréparables. Comme on le voit ici encore, ce sont des êtres pouvant devenir brutaux et voir rouge à la moindre occasion, perdant le contrôle de leurs gestes.
Le Togo est au 159ième rang sur 187 des pays les plus sous-développés sous tous les plans, et c'est de ça qu'on voudrait remplir le Canada!
Les faits tels que rapportés dans les journaux:
Une dispute était survenue entre les parents et avait ébranlé le quartier. Lorsque la mère était venue chercher ses filles un peu plus tôt que prévu, son ex-conjoint africain togolais de race noire du nom d'Essodom Kpatcha avait été pris de colère et aurait frappé la femme au visage. Les policiers avaient dû intervenir. Patrick, un voisin immédiat, avait d’ailleurs accueilli les enfants cette nuit-là. «C’était de la violence physique, se souvient-il.
Selon des voisins, les policiers et les ambulanciers se sont rendus sur les lieux il y a environ un mois à la suite d’une chicane de couple.
«Le monsieur a blessé la femme au visage, à l’œil. La femme est partie à l’urgence et l'africain togolais de race noire du nom d'Essodom Kpatcha est parti avec la police. J’ai gardé les enfants une nuit», a expliqué la voisine immédiate.
Audrée Vachon, a neighbour who lives close to the home, said police had been to the home recently to respond to a domestic violence call.
In that incident, a woman ran out of the home, calling for help. She was ostensibly the children’s mother and Essodom’s spouse.
“I was outside and I heard a woman screaming for help,” Vachon recalled. “She was screaming, ‘My kids, my kids.’ I think she was worried for them.”
Vachon remembered how Essodom tried to downplay the incident to the neighbours. “He was saying stuff like, ‘Oh, well, she’s exaggerating,’ and that kind of stuff,” Vachon said. “She had a busted lip and bruises on her cheek. There were clear signs of domestic abuse.”
Imaginez, l'être brutal africain togolais de race noire du nom d'Essodom Kpatcha qui ose minimiser et justifier ses actes de violence conjugale, présentant la chose comme normale et sans conséquences! Ces crimes étaient prévisibles.
Les immigrés issus de pays sous-civilisés comme l'africain togolais de race noire du nom d'Essodom Kpatcha colportent avec eux la mentalité arriérée qui est la leur et l'appliquent intégralement une fois installés ici.
Cet étranger n'a jamais été québécois. L'africain togolais de race noire du nom d'Essodom Kpatcha n'aurait jamais dû être admis au pays en raison de son potentiel dangereux. Un test de violence et d'impulsivité devrait être imposé aux immigrants africains et arabes.
Laissez entrer au pays des individus à peine sortis de leurs tribus reculées primitives, et vous provoquerez l'ensauvagement de la société. Au Togo, le tiers de la population croit encore en l'animisme superstitieux tribal, à la sorcellerie et au vaudou. animisme (religions traditionnelles africaines) – 32,9 %. Le reste refuse de l'admettre mais y croit tout autant.
Quelques sorciers possédés en action: