"Le Devoir" tolère les fautes et les erreurs
21 mars 2025
https://www.ledevoir.com/societe/857968/projet-montreal-gnd-cio-defi-info-21-mars
Réponse 9 :
Gabriel Nadeau-Dubois
et non
Gabriel-Nadeau Dubois
Sylvio Le Blanc
Encore le titre en anglais
«C'était “cute”, votre petit projet de référendum. C'est là que nous, le vote ethnique, on a su qu'on était passé à ça de l'esclavage.»
21 mars 2025
https://www.ledevoir.com/societe/857968/projet-montreal-gnd-cio-defi-info-21-mars
Réponse 9 :
Gabriel Nadeau-Dubois
et non
Gabriel-Nadeau Dubois
Sylvio Le Blanc
10 mars 2025
https://www.ledevoir.com/opinion/lettres/853246/est-ce-on-attend :
Nous pouvons lire ce qui suit dans le haut de la lettre : « Commentaire sélectionné parmi les réponses au texte « Les dilemmes des Québécois qui veulent boycotter les États-Unis » sur le site Web du Devoir, le 7 mars 2025 ».
Les commentaires laissés par les lecteurs du Devoir ne sont pas des « réponses » à un texte. Ce sont des commentaires, point. Je suggère la formulation suivante : « Commentaire écrit à la suite du texte « Les dilemmes des Québécois qui veulent boycotter les États-Unis » paru sur le site Web du Devoir, le 7 mars 2025 ».
Que le commentaire ait été sélectionné, cela va sans dire.
Sylvio Le Blanc, un abonné
10 mars 2025
https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/853300/chronique-horreur-syrie :
Lattaquié
et non
Lattakié
9 mars 2025
https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/852979/chronique-traces-americaines :
« Si j’avais été d’un autre temps, j’aurais lancé des chiens à leurs trousses et serait allé les achever à l’arme blanche. »
20 février 2025
Extrait lu dans les archives du journal français « Le Monde » :
Publié le 25 janvier 1945.
11 décembre 2024
10 décembre 2024
J’ai produit un montage dans lequel je compare les doublages français et québécois, disponible sur YouTube : https://youtu.be/oRFylxE4Kyo
8 décembre 2024
Pour une raison que j'ignore, la dernière référence a été sectionnée. La voici au complet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tuerie_de_l%27%C3%89cole_polytechnique_de_Montr%C3%A9al#Tireur
L'auteur de l'article utilise le mot « balle ». Le mot « cartouche » aurait été plus juste :
30 novembre 2024
M. Labrie, vous êtes con ou quoi ? Le nom « Paul St-Pierre Plamondon » ne peut être modifié d'aucune manière.
25 novembre 2024
M. Labrie,
Il est heureux que vous appréciiez Paul St-Pierre Plamondon, mais il faudra apprendre maintenant à bien écrire son patronyme. Je compte sur vous.
Sylvio Le Blanc
18 novembre 2024
La chroniqueuse du Journal de Montréal, Yasmine Abdelfadel, ne se rend pas compte qu'elle reprend la rhétorique de Haroun Bouazzi.
Lundi, 18 novembre 2024 00:00
MISE À JOUR Lundi, 18 novembre 2024 00:00
Les propos du député de Québec solidaire, Haroun Bouazzi, ont choqué et ébranlé la classe politique. Les termes, le forum, les exemples et les explications alambiquées qu’il a choisis n’ont fait que rajouter de l’huile sur le feu.
Non, l’État québécois n’est pas en mission pour diaboliser l’Autre. Mais on ne peut nier la montée d’un discours politique qui fait de l’immigration le bouc émissaire idéal. Après tout, François Legault lui-même a qualifié l’immigration de menace à la cohésion nationale (septembre 2022).
Même Paul St-Pierre Plamondon avait alors dénoncé ces propos comme étant «divisifs», avant de rajouter que: «Lorsqu’on parle de menace, de peur, on va jouer dans un registre émotif pour tenter de faire oublier que la CAQ est complice et largement responsable du déclin du français. [...] Les politiciens doivent s’adresser à l’intelligence des gens, et laissons [de côté] les affirmations à l’emporte-pièce sur la peur».
Puis, il y a eu ce grand moment où Legault a réduit les immigrants francophones qui osent parler une autre langue à la maison à de simples «anecdotes». Oui, oui, parler espagnol avec ses enfants tout en travaillant en français, c’est apparemment une attaque frontale contre notre nation.
Quant à Legault, champion autoproclamé de la laïcité, il nous a offert un chef-d’œuvre de cohérence récemment. Subventionner les écoles catholiques qui enseignent le catéchisme? Pas de problème. Mais il s’inquiète des «tentatives d’un groupe d’enseignants d’introduire des concepts religieux islamistes». Là, on tire l’alarme nationale.
Alors oui, Bouazzi s’est royalement planté en parlant des ministres Carmant et Dubé et en faisant des généralisations indignes. Mais qu’on ne fasse pas semblant: le discours qui blâme l’immigration pour tous nos malheurs – de la santé au logement, en passant par la laïcité – fait couler bien moins d’encre et fait déchirer bien moins de chemises.
https://www.journaldemontreal.com/2024/11/18/plutot-que-de-deraper-voici-ce-que-bouazzi-aurait-du-affirmer
18 novembre 2024
Le Journal de Montréal. Samedi, 16 novembre 2024 13:17
La Québécoise d’origine marocaine Fatima Aboubakr estime qu’il faut se méfier du député solidaire Haroun Bouazzi, à la lueur des propos qu’il a tenus sur le racisme à l’Assemblée nationale.
En entrevue sur les ondes de QUB radio, au 99,5 Montréal FM, la directrice de garderie d’origine maghrébine a vivement dénoncé le discours du politicien.
«C’est monstrueux, ce qu’il dit, parce qu’il profite d’une tribune», a-t-elle affirmé.
«Il représente pour moi le radicalisme moderne qui est en train de s’infiltrer dans la société québécoise et qui est en train de s’infiltrer dans les gouvernements. Peut-être qu’un jour, il ne va pas seulement être un député, mais dans une position où il pourra prendre des décisions. Et là, je vous assure que le futur ne va pas être bon pour le Québec. C’est ce genre de personnes qui font peur», a ajouté Mme Aboubakr.
Selon cette dernière, M. Bouazzi incarne le nouveau type d’islamisme qui a pris naissance dans plusieurs pays musulmans.
«On n’est plus avec le barbu, mal présentable, avec la djellaba jusqu’aux genoux. Ça, ça ne fait pas peur parce que tu le vois. Maintenant, ils sont des gens bien entretenus, bien présentables, qui vont au gym. Ce sont eux qui séduisent le plus», clame Fatima Aboubakr.
Celle-ci estime que le député de Québec solidaire fait partie de ceux qui sont prêts à tout pour favoriser les valeurs islamistes, notamment en manipulant.
«Par exemple, ses propos d’hier, quand il parle d’Autochtones et de Noirs, c’est juste pour attirer un peu de sympathie. Lui, ça ne l’intéresse pas, ni les Autochtones, ni les Noirs. Ce qui l’intéresse, ce sont les islamistes, pas même les musulmans», soutient la Québécoise d’origine marocaine.
La présidente du Rassemblement pour la laïcité, Nadia El-Mabrouk, affirme que l’une des stratégies employées par Haroun Bouazzi est de faire un amalgame entre la religion et l’origine ethnique des individus.
«Amalgamer la race avec la religion, en fait, c’est enlever la liberté religieuse. C’est dire, on est nés comme ça, on ne peut pas changer. Et donc, c’est complètement contre la laïcité», clame-t-elle.
En comparant l’histoire de l’école Bedford et celle des jeunes de la DPJ abusés par des éducatrices à Rivière-des-Prairies, M. Bouazzi n’a pas commis une maladresse; il savait pertinemment ce qu’il faisait, estime Fatima Aboubakr.
«C’est ce qui se passait dans les réseaux arabes ou musulmans. On disait: “Pourquoi on ne parle pas des éducatrices, de leur religion, alors que ce sont deux sujets complètement différents.” Mais lui, il voulait faire plaisir à cette communauté qui l’écoute», soutient la directrice de garderie.
«Il n’a pas fait d’amalgame. Il l’a fait sciemment, selon moi. Il sait qu’il vise à manipuler une opinion. Et il a vraiment réussi à le faire. Ce n’est pas maladroit, c’est vraiment adroit. Il les a bien choisis et c’était droit pour manipuler une opinion», ajoute-t-elle.
«Chaque fois qu’il prend la parole, c’est pour démolir la laïcité, c’est pour la diaboliser», mentionne pour sa part Nadia El-Mabrouk.