Bref, il ne sera pas possible d'insuffler chez les Québécois un sentiment de fierté face au gaz naturel, qui est perçu comme un cadeau empoisonné, au mieux un mal nécessaire.
(...) comme vient de nous le rappeler un peu grossièrement le Conference Board
il y a de l'espace pour un conservatisme fiscal plus affirmé
Le Québec exige des redevances de 10 cents l'hectare, 50 cents au bout de six ans. En Colombie-Britannique, avec un système d'enchères, c'est 1000$ l'hectare ou même plus.
Le vaste débat qui s'amorce sur le gaz de schiste au Québec comporte un élément troublant et fascinant tout à la fois. C'est l'idée, reprise par de nombreux groupes, que si l'on exploitait un jour des gaz de schiste, il faudrait les nationaliser.