Pour manifester votre indignation à la Légion canadienne
6 novembre 2012
Cela prouve qu'on a essayé d'intimider et de museler la première ministre du Québec. Ils vont nous trouver sur leur chemin avec l'Opération Coquelicot Bleu 2012, croyez-moi!
Traduire ou trahir
Louis Côté
MOUVEMENT LAÏQUE QUÉBÉCOIS
George Brown, «Le premier des Pères de la confédération»
Un artisan de la politique d'assimilation du régime fédéral
Bernard SMITH
Le côté sombre de la création de la fédération
Où se situe le nouveau prix Nobel en économie
Jean GADREY*
Signer la Constitution de 1982?
Robert Barberis-Gervais et Louis Champagne
6 novembre 2012
Cela prouve qu'on a essayé d'intimider et de museler la première ministre du Québec. Ils vont nous trouver sur leur chemin avec l'Opération Coquelicot Bleu 2012, croyez-moi!
6 novembre 2012
Ce matin, dans mon gesca quotidien dit Le Nouvelliste, l’opinion d’un vétéran, Monsieur Gaston Bouffard, ayant été militaire plus de 32 ans et intitulé "Rien là d’offusquant".
Comme ce texte n’a pas été posté sur le web (on en verra la cause probable dans le dernier segment cité), je vous transcrit donc quelques passages.
"Je n’en reviens pas qu’on ait réussi à trouver quelque chose à dire parce que Pauline Marois a osé mettre sa petite fleur de lys sur son coquelicot. Tout de suite, on a parlé de geste politique, de provocation. Comment la première ministre pouvait-elle savoir qu’elle violait, par ce geste, une règle de la Légion Royale canadienne"?
Puis, M. Bouffard, que ce geste n’a pas du tout offusqué, rappelle qu’il y a eu des Québécois qui se sont battus : "volontairement ou forcés par la conscription pour ce pays, ou devrais-je dire plutôt pour l’Angleterre… " et que certains sont morts.
Toujours M. Bouffard : "Pour terminer, une anecdote. J’ai rencontré mon ami Jean-Pierre Jolivet et il m’a montré un coquelicot qu’on lui avait vendu à la Légion il y a quelques années. Savez-vous quoi? On y avait placé une belle petite feuille d’érable dorée".
André Lemay
6 novembre 2012
"Le système n’est pas nécessairement mauvais,mais ce sont ceux qu’ils l’utilisent frauduleusement qu’il faut punir."
@ M L
Ce n'est pas l'avis du journaliste de renom Philippe Grasset pour qui le système, c'est le mal.
"Nos travaux courants dans le cadre du site dedefensa.org montrent sans le moindre doute combien notre appréhension de cette époque se fait et se feront de plus en plus autour de la problématique du “Mal”, dont la représentation structurée est, pour nous, ce que nous nommons, d’une manière effectivement opérationnelle et structurée, mais aussi d’une manière symbolique et métaphysique, le Système. http://www.dedefensa.org/article-notes_sur_l_op_rationnalit_du_mal_et_la_russie_ddecrisis_10_09_2012.html
Et c'est bien possible quand on pense que dans les vingt-cinq dernières années au Québec, c'est dans les couches socio-économiques les plus défavorisées qu'il y a eu le plus de solitude et le moins d'enfants. Il n'y a pas de qualificatif pour cette horreur.
Mais évidemment, pour les gens qui ont de quoi à perdre, leur jugement sur le système peut être biaisé.
6 novembre 2012
Déjà, Barack et Hillary, lors de la course de 2008, avaient été suspectés, après qu’ils aient disparu de la circulation toute une journée pour une "rencontre privée", d’avoir participé à la réunion du sélect Biderberg Group qui avait lieu, cette année-là à l’hôtel Westfields Marriott à Chantilly. On peut en savoir davantage ici.
Ah! Barack Hussein va-t-en-guerre Nobel de la PAIX!!!.
À tel point que Radio-Gescadna, tout comme les papiers de Mon’onc, en sont rendus à nous "révéler" comment l’utilisation de drones sous l’administration Obama s’est accrue depuis l’arrivée de M. Nobel en remplacement de George W.
Peut-être veulent-ils, tout intégrés qu’ils sont, nous faire voir comment les récalcitrants risquent d’être traités par les férus du Nouvel Ordre qui se bâti. On sait jamais.
Même le très à gauche Le Monde :
"Quand il arrive à la Maison Blanche, en janvier 2009, le démocrate Obama dénonce le concept bushien de "guerre contre le terrorisme". Il est sceptique sur la réponse apportée aux attentats perpétrés par Al-Qaida aux Etats-Unis en septembre 2001. Il ne croit pas que les deux guerres d'occupation menées en Afghanistan et en Irak soient de nature à porter un coup fatal au terrorisme islamiste. Il s'emploie à retirer ses troupes d’Irak, puis d'Afghanistan. Mais il garde un programme hérité de son prédécesseur, George W. Bush : l'utilisation de drones pour assassiner tel ou tel responsable d'Al-Qaida repéré à l'étranger, au Pakistan notamment".
Mais tout ça, est très normal.
Déjà en 2010 dans Voltaire :
"Les responsables de la Défense nommés par Barack Obama sont ceux là mêmes qui ont commis les pires crimes et les pires malversations sous les administrations précédentes".
Ou encore :
"Pendant ses dix premiers jours de sa présidence, Barack Obama a nommé onze hauts fonctionnaires issus de la Commission trilatérale à des postes clés de son administration, introduisant ainsi une puissante force extérieure dans le leadership de son gouvernement, mais avec un agenda de base qui porte plutôt préjudice aux citoyens des États-Unis".
Et n’oublions pas que ce président de tous les américains s’est octroyé, en pleine contravention de la Constitution, le pouvoir de tuer ou emprisonner sans procès quiconque est "susceptible" d’être soupçonné d’avoir des velléités terroristes. Et ce, partout dans le monde où se trouve le "dividu" en question.
À cet effet, il est bon de relire cet article publié la semaine dernière, ici-même sur Vigile.
Afin de mieux connaître d’où vient Obama, on peut référer à une tentative d’explication en deux volets. Le premier ici, pour l’autre, là
.
De toute façon, aujourd’hui 6 novembre, en ce jour d’élection US, on peut être certain que le vainqueur sera un Républicrate.
André Lemay
6 novembre 2012
En fait ! La corruption on ne peut la combattre, lutter contre, la juger, sans la nourrir, la renforcer ! La corruption elle concerne chaque homme, et non pas l’homme extérieur, pendant que nous, on se lave les mains, en croyant que la corruption c’est l’autre, et qu’elle ne fait pas partie de nous ! La corruption que nous percevons à l’extérieur de soi, nous pouvons la percevoir parce qu’elle fait partie de notre âme, et la corruption véritable elle est là ! À partir du moment où vous croyez à un système de valeur, à un système de croyance, qu’il soit psychologique, scientifique, politique, économique, philosophique, religieux, le produit de tout ça devient la conscience de l’égo, de la personnalité, du soi, et cette conscience artificielle alimenter par la peur de disparaître, par une recherche incessante à l’extérieur de soi, par un jeu dualitaire quelconque, tout ça devient un voile qui masque l’âme et l’enferme, le limite à l’intérieur d’un cercle vicieux, c’est l’emprisonnement, c’est l’enfermement, c’est le piège, c’est le mensonge de ce monde, c’est la matrice, nous sommes notre propre matrice, et la matrice extérieur ne devient effective que par la sommation de toutes les matrices individuelles, c’est ça la corruption, et elle concerne chaque âme. Si on ne peut lutter contre cette conscience, contre cette corruption de l’âme, que faire alors ? La seule façon, c’est de changer de regard, changer de point de vue, cesser de nous identifier à cette personnalité, à cet ego, à ce connu, à cette conscience, à cette vie, à cette histoire, à cette identité frauduleuse qui est la nôtre dans ce monde illusoire, à cette loi d’action et de réaction, de karma, de bien et de mal, d’évolution, d’amélioration, de progression, prendre nos distance en conscience de tout ce cirque, car nous ne sommes rien de tout ça, ce jeu appartient à la personnalité, à cet ego, mais nous ne sommes pas cet ego, nous ne sommes pas cette personnalité, nous sommes déjà de toute éternité au-delà de cette mascarade. Là se trouve la libération et la liberté ! Or, la mode aujourd’hui, veut qu’en combattant la corruption extérieure on règlera le problème, erreur, nullement, on ne fera que l’alimenter, la nourrir, la faire perdurer, le dévoilement de la corruption en l’âme ne peut que se réaliser qu’en laissant l’intelligence de la lumière de notre propre esprit la transmuter sans y mettre de bâtons dans les roues à travers des interventions inopportunes de notre propre ego, de notre propre personnalité, de notre propre soi ! C’est seulement de cette façon que nous retrouverons ce que nous avons toujours été avant l’incarnation, et qui n’a rien à voir avec cette vie, avec cette histoire, avec cette conscience, que nous avons nourri depuis notre naissance, et jusqu’à notre mort ! Donc restons tranquille, il n’y a rien à faire que de laisser notre lumière s’occuper de cette corruption, et elle disparaîtra naturellement, progressivement, sans notre intervention d’ego !
6 novembre 2012
Merci monsieur Marineau pour cet intelligent article, sur lequel nos journalistes dits professionnels devraient prendre exemple. Avant d’enseigner, étiez-vous journaliste? on dirait que vous avez été à l’école de René Lévesque.
Je retiens : « En réalité, que Gabriel Nadeau-Dubois ait été ou non informé du contenu de l’ordonnance m’apparaît n’être qu’un « paravent judiciaire » qui dessert les effets pervers de la loi bâillon du gouvernement Charest qui est venue brimer le droit de parole primordial incarné, dans le cas présent, par le droit de grève, reconnu dans les chartes des droits et libertés de la personne. »
1- « paravent judiciaire » : je me demande encore qui et quoi se trouve derrière tout ce pot de m… venu d’en Haut, d’un enfer d’hommerie, pas d’un paradis, sinon fiscal. Le peu de cohérence et de responsabilité sociale dans l’agir frénétique de Jean-François Morasse (genre nuire et aider des étudiants grévistes financièrement) me fait penser à un Oswald qui cherche son Jack Ruby. De quel démon est-il le pion?
2- Si, comme Morasse le souhaite avec le sourire ébahi devant les caméras, la cause va jusqu’en Cour suprême, nous nous retrouverons devant le tribunal politique de Harper, avec un jugement typique de l’extrême droitisme opposé à tout ce qui vient du Québec. Le passé est garant de l’avenir là-dessus : plus on monte dans l’échelle du droit canadien, plus on se rapproche des vieux juges fédéralistes et du Royaume de Saint-Pierre de Rome ou de Britannicus.
Et je vous donne en mille ce que sera ce jugement suprême, si jamais il avait lieu : « les étudiants ne peuvent s’appuyer sur les chartes des droits et libertés de la personne, car ils n’ont pas le droit de grève, à peine celui de voter et de gérer des associations avec les fonds gouvernementaux. Je vous épargne le bla bla juridique qui appuiera tout bellement ce verdique.
3- Au lieu de cette dramatisation infantile et individualiste qui s’éternise en frais monétaires, pertes de temps et qui relève déjà d’un passé morbide pour tous les québécois ; tout en obstruant le système judiciaire, les institutions d’enseignement, sans compter l’argent pris aux contribuables québécois par quêtes publiques médiatisées; citoyens encore opposés à eux-mêmes en deux camps post-électorals : n’est-il pas temps effectivement que l’État intervienne et impose un non-lieu de judiciarisation et promulgue une amnistie généralisée visant tous les étudiants poursuivis durant cette crise, incluant le cas Morasse/GND. À la limite, le gouvernement devrait faire appel, comme en état de guerre (ce qui fut à peu près le cas), à un motif indiscutable et suprême : PRIORITÉS D’ÉTAT.
CONCLUSION :
« On ne gagne jamais à diviser le Québec. Quand t’es chef d’État, tu te bats pas contre ta jeunesse, crisse. » Pauline Marois
À plus forte raison, gagne-t-on à laisser la jeunesse et la population du Québec se diviser et s’entredéchirer via un système juridique pris en otage par un seul étudiant contre un autre? Morasse ne représente quand même pas le peuple, le sens « démocratique » de cette cause se perd totalement. Et l’errance du juge Denis Jacques est flagrante : le peuple est indirectement culpabilisé d’une situation sociale hors de contrôle et subie, planifiée par la gouvernance autoritariste de Jean Charest.
Madame Marois ayant mis en valeur en entrevue son esprit de famille rassembleur et apaisant devrait d’abord s’en inspirer et agir, elle, à la différence de Charest, en bonne mère de famille en proclamant de pied ferme : aie! là, les jeunes, ça suffit ! on joue pas avec le juridique et le peuple! on a pas les moyens de niaiser et on va pas encore renvoyer la décision de la sanction finale à pépère Harper à Ottawa, lui qui veut pu rien sawère de nous-autres depuis belle lurette. C’est-tu clair ?!!!
Et la population divisée, reprenant ses sous, et le juge libéral Denis Jacques pouvant prendre une grasse retraite de l’État, Morasse retournant s’éduquer et GND se libérant des démonisations à n’en plus finir qu’il subit de partout sur la place publique, tout le monde sera content… sauf le PLQ et la CAQ évidemment.
5 novembre 2012
La corruption n’est pas un mal à abattre à l’extérieur de soi ! La corruption est simplement un reflet de ce que l’homme est sur ce monde. Chaque homme doit avant tout s’il veut régler le problème de la corruption, se regarder le nombril avant tout. La corruption est la conséquence d’un vide intérieur que chacun cherche à remplir à l’extérieur de soi ! Le véritable péché originel est que l’homme fut coupé de sa source ! De ce qu’il est au-delà de cette dimension de vie. Étant coupé de sa source, il devient ignorant de sa réelle identité, alors il va rechercher un palliatif à l’extérieur de soi, en se créant une personnalité, un personnage fictif, une identité artificielle, et il se prend bientôt pour elle. La corruption c’est celle de l’âme tournée vers la matière, et lorsque l’âme se détourne de cette matière, pas en la niant, ou en la déniant, mais en la réfutant, comme étant seulement qu’une histoire, qu’un théâtre, qu’un scénario, qu’une suite de projections illusoires, qu’un lieu de vie temporaire, et temporelle, alors sa réelle essence, son esprit véritable se fait jour, lui n’avait jamais bougé, il avait toujours été là, au-delà de cette vie, or, c’était la personnalité, l’ego, la personne, le personnage, l’acteur, le spectateur, le théâtre, qui s’en était éloigné. Que l’homme en incarnation soit un curé, un pape, un bandit, un voleur, ils sont tous corrompus, pourquoi le sont-ils tous, parce qu’ils sont tous prisonniers de l’illusion de la matière, ils se prennent tous pour des acteurs dans cette société qui n’est qu’un théâtre tragi-comique qui n’a ni queue ni tête, pure projection d’âmes qui ont perdus la connexion avec leur être véritable. Ils croient tous qu’ils se doivent d’évoluer pour devenir des êtres parfaits, qu’ils doivent faire le bien pour aller au ciel, or cette façon d’aborder les choses, les placeront toujours en confrontation avec le mal, et le bien comme le mal n’existe pas, ceci appartient au jeu de la dualité qui entretient le théâtre et le fait perdurer, alors sortir du théâtre, et de ce jeu illusoire qui n’a pas de fin, se placer au-delà, en changeant de point de vue, le fera retrouver son essence, sa véritable identité, qui est déjà parfaite, qui n’a pas besoin d’évoluer, ou de faire un bien quelconque. L’évolution sur ce plan est une farce, un mensonge, entretenu par ceux qui tirent les ficelles de ce monde, et qui nous ont tenu esclaves depuis des générations et des générations, mais aujourd’hui, l’heure de la libération a sonné, et tous les hommes de la terre retrouveront ce qu’ils ont toujours été au-delà de la matière de ce plan de réalité.
5 novembre 2012
@ Léon,
Si les Québécois sont assez stupides pour rester à la merci du marché pour leur survie, grand bien leur en soit fait.
Le revenu de citoyenneté par contre ferait de nous de véritables citoyens libres et contribuerait du même coup à l'harmonie sociale.
5 novembre 2012
@ M. Marineau et Bélisle
Je suis en total désaccord avec ceux qui présentent GND comme un martyr.
Nous vivons dans un état de droit. Ce cadre légal règle la conduite des individus, des groupes et des gouvernements.
La question est la suivante: GND a-t-il transgressé la loi?
Point à la ligne!
À mon point de vie, oui! Auquel cas, il doit assumer les conséquences de ses actes.
Les autres leaders étudiants n'ont pas suivi GND là-dessus. Ce faisant, ils se sont comportés comme des gens responsables.
5 novembre 2012
Le pauvre Nadeau-Dubois. C'est triste mais c'est ce qui arrive quand on s'en prend au système.
Il y a beaucoup trop de gens au Québec à qui le système profite pour pouvoir le confronter comme l'a fait monsieur Nadeau-Dubois.
De plus, tous les grands médias défendent le système 24 heures sur 24 et 7 jours par semaine. Les radios font de même et on voit tout l'appui que les radios qui défendent le système ont dans la population; c'est très frappant dans la région de Québec en particulier.
Le Québec et les Québécois sont parmi les nations les plus intégrées au système d'où l'extrême résilience du système ici au Québec.
Quand tu fait la belle vie, tu veux que ça continue, point à la ligne. Et monsieur Nadeau-Dubois a inspiré la crainte chez ceux qui font la belle vie. Et les tribunaux sont là pour défendre ceux qui font la belle vie, n'est-ce pas?
5 novembre 2012
M. Marineau écrit:" le gouvernement Marois (....) se doit maintenant d’intervenir, en vertu des pouvoirs législatifs qui lui sont conférés".
Mon commentaire:
Le gouvernement Marois n'a pas à intervenir dans des causes devant la Cour. Ce serait inadmissible...ce serait condamné par tout l'appareil des avocats et des juges...et avec raison.
Ce n'est pas au gouvernement à décider de laver la réputation de GND.
L'indépendance de la justice par rapport au politique est un principe fondamental.
Gilles Jean
5 novembre 2012
Gauche. Droite. Il n'y rien de significatif.
Les candidats sont acceptés de l'Establishment pour leur critère de corruptibilité. Mitt Romney est né Mormon, mais n'est pas forcément religieux. Son grand-père était missionnaire. Son père a brigué la présidentielle malgré sa naissance au Mexique. Lui, il s'est orienté sur les affaires et la politique. La religion ? Parlons plutôt de traditions.
Je doute qu'il ne goûte pas de temps à autre à une bière ou un café. Il n'a pas refusé les millions de Sheldon Adelson pour sa campagne.
Par contre, Ron Paul est celui que les média principaux voulaient occulter. Il a perdu les primaires républicaines et retourne dans le sérail du parti libertarien en appuyant Gary Johnson.
http://en.wikipedia.org/wiki/Ron_Paul_presidential_campaign,_2012
Un Président du Système restera toujours une marionnette qui fait croire au Peuple que celui-ci est maître du Système et endosse les responsabilités.
Le véritable pouvoir reste dans une oligarchie dominée par les intérêts financiers.
Et malheur aux Présidents qui en font à leur propre tête.
JFK était de la trempe à défier le Pouvoir. Populiste au sens que Jarislowski donnait, le Système n'a pu le supporter, comme son frère Bobby qui suivit le même chemin.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!