Minorités linguistiques et indépendance
4 janvier 2016
Il ne sai que ça faire des rethorique fallacieuse !!7
According to linguists, Quebec might be better suited to statehood, writes Tony Atherton.
youtube.com
"Le Canada, il marche assez bien, oui, il y de petites affaires à régler, mais pas besoin de tout réouvrir et de tout donner juste pour apaiser les gens."
Roméo Dallaire
Jean-Philippe Pineault - opinons@canoe.com
4 janvier 2016
Il ne sai que ça faire des rethorique fallacieuse !!7
4 janvier 2016
Fournier il ne sais que ça fait faire des rhétoriques fallacieux vendus klanada monarchies islamiques! !
4 janvier 2016
Un nouveau parti politique et un nouveau chef à deux ans des élections! Misère!
Il y en a pour qui la haine du PQ est plus forte que l'amour du Pays, on dirait.
Et qui serait-il ce "Bourgault réincarné"? Vous peut-être, monsieur Gignac?!
Continuez d'entretenir ce sentiment d’impuissance collective et de rêver des morts! Ça fait avancer les choses.
4 janvier 2016
@Jacques Lafond
"La journée que la très vaste majorité des employeurs, des propriétaires d’immeubles, des propriétaires d’entreprises et d’industries au Québec et à Montréal seront des québécois francophones, tous les immigrés voudront parler français et s’intégrer à notre société québécoise.."
C'est facile de tout posséder quand tes ancêtres se sont approprié les richesses par la force des armes pour ensuite verrouiller le tout dans un système politique qui a maintenu systématiquement les francophones dans un état de survie ignoble pendant deux siècles.
4 janvier 2016
Le plus important n'est pas l'argent mais la manière dont on le dépense. • Moses Isegawa
On devrait s'intéroger combien ce poste coute (avec résidence de prestige) dans les autres provinces, car si il y a débordement, nous y contribuons via la fédération. Le calcul devrait aussi être effectué par habitant pour tout mettre en perspective.
Voir photo de Goverment House à Halifax. (Population de la N-E, 921,727 Habitants.)
4 janvier 2016
@ Normande Imbeault
Votre texte devrait être affiché et retenu plus longtemps par Vigile. Je suis d'accord avec vous sur toute la ligne! Ça n'a aucun sens d'être aussi désorganisé de la sorte au PQ surtout face au grave problème d'assimilation qui gruge de plus en plus notre majorité québécoise et qui menace notre survie en tant que peuple avec cette immigration massive très bien planifiée par le gouvernement fédéral et par sa succursale québécoise fédéraliste de Couillard Inc pour nous empêcher de devenir un pays indépendant.
Comme je l'écrivais, l'autre jour, à M. Cloutier, je suis persuadé que le PQ n'est plus le parti ou le véhicule politique apte à réaliser l'indépendance; sa descente aux enfers a commencé le lendemain de la défaite du référendum de 1995 dont il ne s'est jamais remis. Comme vous le dites si bien dans votre texte, il faut que le message de l'indépendance soit martelé constamment avec vigueur, constance et fermeté, pas juste sur le bout des lèvres en période électorale pour être élu ou réélu.
Regardez et écoutez Pierre Bourgault dans le vidéo suggéré par François Ricard (merci M. Ricard!) dans son commentaire suite à votre texte et comme moi vous trouverez que Péladeau a des croûtes à manger. Tu l'as ou tu ne l'as pas cette persuasion qui va te chercher aux tripes! Avec Bourgault comme chef du PQ, nous l'aurions depuis longtemps notre pays. En plus, un chef doit être rassembleur et capable de transmettre cette flamme de gagnant qui te stimule et qui te propulse vers le but à atteindre. Présentement, c'est LE VIDE TOTAL AU QUÉBEC! C'EST LE NÉANT! Vite un nouveau parti politique et un nouveau chef pour nous sortir de cette morosité, de ce sentiment d'impuissance collective qui perdure depuis trop longtemps. Excellent texte!
André Gignac 4/1/16
3 janvier 2016
Merci M. Nantel,
Les informations que vous nous rendez disponibles nous permettre de reprendre contact avec nos origines et surtout avec ce qui a été le fondement de notre différenciation.
Aujourd’hui, nous (les Québécois) sommes des citoyens du monde, ce qui ne nous empêche pas d’avoir une culture bien à nous comme (exemple) les Allemands, les Italiens les Japonais, etc.
Cette culture, comporte des caractéristiques physiologiques, sociologiques, psychologiques, linguistiques, spirituelles, même économiques, géographiques et historiques.
C’est cette distinction qui fait notre richesse, sans rien enlever aux gens qui ont d’autres distinctions.
Nous bâtirons un Québec plus fort, plus sein à vivre, plus créatif, plus écologique, plus juste, plus progressif, plus ambitieux en s’appuyant sur les forces de notre distinction.
Nous devons faire exactement comme les Allemands ou les Italiens font; faire consensus sur nos forces et les développer au maximum par opposition à tenter de toujours vouloir s’identifier à l’autre.
Les discours qui tentent de nous faire croire que nous ne sommes pas différents des autres (fondement du multiculturalisme) ne sont que propagande ou ignorance.
Nous sommes différents des autres autant que les autres sont différents de nous. L’important, c’est de découvrir et reconnaître en quoi sommes-nous différents, quels sont nos talents les plus naturels, pour ensuite les développer au maximum.
Ce qui ne nous empêchera d’aucune manière d’être respectueux des talents des autres.
Merci de nous rappeler notre histoire, cela nous aide à comprendre que c’est grâce à elle que nous sommes devenus ce que nous sommes.
Des citoyens du monde avec une personnalité propre à nous.
3 janvier 2016
De plus en plus rare les indépendantistes qualifiés de "radicaux" qui acceptent le principe fondamental de la Démocratie: "La souveraineté du Peuple".
Le "vouloir faire vite" et la peur sont deux très mauvais guides.
De ma conviction profonde que ce contrat social issu d'une première Constitution d'État vraiment démocratique comme l'exprime bien monsieur Pomerleau, serait une avancée spectaculaire qui obligerait une totale remise en question d'un système désuet duquel nous sommes dépendants et dans lequel nous nous enlisons collectivement depuis l'Acte d'union.
Tant et aussi longtemps que l'opportunisme politicien où le syndrome du SAUVEUR seront priorisés, vous ne verrez jamais naître cet État souverain que nous espérons.
Sans la souveraineté du peuple, nous n'engendrerons que des conflits par la division.
Pourquoi ne considérez-vous pas dans vos analyses ce que l'oligarchie a fait de la France depuis la révolution. Nous nous souvenons bien de ce que nous voulons nous souvenir...
Si je DONNE temps et argents pour ma patrie, c'est que je veux léguer à mes enfants un monde LIBRE bien sûr, mais avant tout, un monde plus responsable!
Merci monsieur Jean-Claude Pomerleau.
2 janvier 2016
2016-01-02
États-Unis. Californie : une catastrophique fuite de gaz identifiée
Et même sans produits chimiques ajoutées,les fuites de gaz peuvent devenir incontrôlables:
''Depuis deux mois, une colossale fuite de méthane rend malades de nombreux habitants de Californie. Elle vient d'être identifiée. Plus de 4 600 foyers doivent être relogés.''
''L'organisation américaine Environmental Defense Fund (EDF), qui estime la quantité déversée en temps réel, évalue l'impact climatique de la fuite à « la conduite de 7 millions de voitures par jour pendant un an ».La vidéo,réalisée grâce à une caméra thermique (voir ci-dessous),a permis de filmer les émanations de méthane, invisibles à l'œil nu. Elle confirme que cette colossale fuite de gaz représente l’une des plus grandes catastrophes écologiques depuis la fuite de pétrole de la plateforme Deepwater Horizon de la compagnie BP dans le golfe du Mexique, en 2010. ''
http://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/etats-unis-californie-une-catastrophique-fuite-de-gaz-identifiee-3949425
1 janvier 2016
Francois Legault n'arrive pas a faire décoller son parti et divise le vote nationaliste. Je pense qu'il va quitter la politique avant la prochaine élection et le prochain chef de la CAQ fera alliance avec le PQ sur la question nationale. La CAQ devait etre un parti indépendantiste de droite lors des discussions entre Facal et Legault et Facal a lacher quand il a vu que le Parti mettrait de coté la souveraineté du Québec.
31 décembre 2015
@ JC Pomerleau qui écrit : «La mission de l’Institut de recherche sur l’indépendance sera de dégager des stratégies ayant pour objectif le changement de statut de l’État du Québec, de province à État souverain.»
Je partage cet avis qui prend l'État pour instrument décisif du passage d'un statut à un autre, utilisant tous les moyens permis qui sont à sa disposition. Et ces moyens sont nombreux. Or, si l'argument est sans équivoque du point de vue de la raison, ce qui rejoint Bruno Deshaies, il est difficile de trouver dans l'histoire récente des exemples qui permettraient de justifier une telle position. Ce qui donne beau jeu à ceux que vous appelez les «référendistes-datistes», qui sont aussi ceux qui manquent de confiance dans la capacité d'un gouvernement du Parti québécois de faire autre chose que du provincialisme routinier, d'où leur exigence d'un engagement référendaire contraignant. Comment leur donner tort ? Il faut en effet pratiquement remonter à Jean Lesage et René Lévesque pour trouver une tranche d'histoire où l'État s'affirme stratège, organisateur et quelque peu visionnaire. Que l'Institut se penche sur la façon de renouveler la centralité de l'État du Québec, je n'ai rien à redire et je le souhaite. Or rien ne l'annonce à ce stade et tout avance au ralenti. Le Parti québécois traîne avec lui un lourd boulet en raison de son incapacité de régler ses problèmes, qu'il pousse en avant, et de démêler quelque peu l'écheveau de contradictions qui le traverse. Je pense à l'affaire Michaud, devenue emblématique des divisions qui le drainent, mais il y en a d'autres sur à peu près tous les enjeux fondamentaux.
Cordialement et bonne année 2016
31 décembre 2015
Pour répondre à la question: avons-nous peur (au PQ) de revenir à la base et au militantisme qui a fait l'originalité du PQ?
La réponse est OUi. C'est normal, ça arrive dans toutes les organisations politiques, dans tous les grands partis, surtout dans les vieux partis. C'est pour cela qu'il faut plus qu'un congrès national du PQ, il faut un congrès comme celui de Lévesque avec le RN et le MSA (et d'autres) pour refonder le Parti québécois.
Pour ça, il va falloir prendre des risques et prendre la chance d'aller dans des directions où le contrôle ne sera pas absolu, loin de là. J. Binette, Montréal
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