L'entente Canada - États-Unis sur le commerce du bois d'oeuvre

L'entente sur le bois d'oeuvre : un accord satisfaisant



Libre-Opinion - Je remercie le quotidien Le Devoir de me donner l'occasion d'expliquer l'entente sur le bois d'oeuvre conclue le 27 avril dernier et paraphée ce 1er juillet par mon collègue le ministre du Commerce international David Emerson et son homologue américaine, la représentante au Commerce Susan Schwab. Le bois d'oeuvre constitue certes l'un des principaux secteurs d'exportation pour le Canada. L'an dern...

L'abandon



Le conflit sur le bois d'oeuvre était, croyait-on, une affaire réglée. Sans être totalement satisfait, tout le monde acceptait l'entente conclue le 27 avril, que les partisans du premier ministre conservateur présentaient comme un effet concret du style Harper. Avec ce premier ministre, il est vrai que les dossiers n'ont guère le temps de s'empoussiérer. Les promesses faites en campagne électorale se réalisent à u...

Bois d'oeuvre

Ottawa «négocie pour les Américains», accuse Chevrette

Le représentant de l'industrie prévient qu'à moins d'être rouverte, l'entente est condamnée à mourir


L'industrie québécoise du bois d'oeuvre ne digère tout simplement pas l'inflexibilité du gouvernement fédéral, qui refuse de retourner négocier des amendements à l'entente sur le bois d'oeuvre conclue le 1er juillet avec Washington. Le président-directeur général du Conseil de l'industrie forestière du Québec (CIFQ), Guy Chevrette, accuse Ottawa de «négocier pour les Américains» et de laisser tomber les indust...

Laissé à lui-même



Perspectives - Le 27 avril, lors de l'annonce d'une entente dite à l'arraché dans le conflit canado-américain sur le bois d'oeuvre, Stephen Harper faisait l'unanimité contre lui. Opposition, gens de l'industrie et gouvernements des provinces criaient au vol et dénonçaient la capitulation d'Ottawa face à Washington. En fait, cette belle unanimité comptait une grande absente, soit l'industrie québécoise, qui y voyait un ...

Une entente bâclée



L'entente Canada-États-Unis sur le commerce du bois d'oeuvre prend l'eau. Le 1er juillet dernier, après cinq années de conflit, le gouvernement Harper a accepté des modifications de dernière minute jugées inacceptables par l'industrie. Il y a des limites à faire semblant de gagner une bataille quand on est sur le point de perdre la guerre. Il y a aussi des limites à céder sur toute la ligne pour faire bonne figure devant l'ami Bush.

L'accord sur le bois d'oeuvre menace la survie du gouvernement



Des élections fédérales cet automne? La survie du gouvernement Harper risque à tout le moins d'être menacée à la reprise des travaux parlementaires puisqu'un vote de confiance portant sur l'accord mettant fin au conflit du bois d'oeuvre sera tenu, une entente à laquelle pourraient s'opposer libéraux et néo-démocrates.

Better than nothing: That's the real dirt on the softwood deal



Nothing leaves you feeling grimier than spending time around the softwood-lumber file.

Bois d'oeuvre: Chevrette qualifie l'entente de "cow-boy"



Dans une entrevue téléphonique à NTR hier, il a douté du sérieux de l'accord signé le jour de la fête du Canada et a déploré l'empressement du gouvernement fédéral, qui a demandé des avis de l'industrie dans un délai de 24 heures.