L'espoir malgré le désespoir
9 septembre 2015
J'aime la conclusion!
parce que en effet il y a de quoi être desespere!
Traduire ou trahir
Louis Côté
MOUVEMENT LAÏQUE QUÉBÉCOIS
George Brown, «Le premier des Pères de la confédération»
Un artisan de la politique d'assimilation du régime fédéral
Bernard SMITH
Le côté sombre de la création de la fédération
Où se situe le nouveau prix Nobel en économie
Jean GADREY*
Signer la Constitution de 1982?
Robert Barberis-Gervais et Louis Champagne
9 septembre 2015
J'aime la conclusion!
parce que en effet il y a de quoi être desespere!
9 septembre 2015
Monsieur Le Hir,
Katherine Pancol, dans son opus Les écureils de Central Park sont tristes le lundi, nous rappellent que les gens brutaux, les gens pressés ignorent les détails. Ils veulent du lourd, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue…
Et la vie n’est jamais plus triste.
Ni le samedi, ni le dimance, ni le lundi…
Tout cela pour vous dire que monsieur Chiara, madame Awada et madame Goldwater savent très bien où est leur intérêt bien compris, où rédide leur tranquilité d’esprit : ils ne s’entêteront pas à intenter des procès-baillon pour le plaisir d’avoir raison alors qu’il et elles ont tort.
Me Khuong, comme bâtonnière, saura conseiller Me Goldwater pour qu’elle ne se mette plus les pieds dans les plats.
Ma sœur Claire, qui s’est convertie à la religion juive, qui est mère d’une nombreuse progéniture, dont le mari est rabbin et qui vit actuellement dans une yeshiva à Tel Aviv ne dirait pas autrement : on ne mêle pas religion et politique.
9 septembre 2015
@ Christian et tous ces indépendantistes du NON
Si vous croyez que la solution pour pousser Le Bloc à rendre des comptes est de l'affaiblir. Vous ne comprenez rien à la politique. Et vous avez le devoir de revoir à qui vos votes profitent. Qui sont nos véritables adversaires? Vous êtes, comme beaucoup de souverainistes, à genoux devant le dieu '' caprice '' . Et vous considérez l'acte d'élire, démocratiquement, un représentant à Ottawa comme semblable à toutes vos autres activités de consommations. Vous votez en consommateur. Le produit ne vous intéresse pas? Vous le rejetez. Aucune vision d'ensemble. Aucun recul sur l'histoire. Aucune conscience des conséquences que ce rejet de ce qui n'est pas parfait, pure et noble a sur l'avancement de la cause indépendantiste. Aucune compréhension de l'importance du nombre de sièges au parlement. Rester chez soi et observer la politique comme un sport est la somme de ce que vous apportez à la démarche indépendantiste. Mais à force de continuer à voter de cette manière, vous n'aurez plus ce luxe. Vous allez vous faire imposer la démocratie, à vous diviser de cette manière. Si la tendance se maintient, ceci est une prédiction 100% exacte de ce qui va se passer pour notre avenir. Si vous ne pouvez comprendre l'évidence, subissez votre sort et cessez de vous intéresser à l'indépendance du Québec. Si l'indépendance du Québec a quelques importances que ce soi, pour vous. Ne vous en mêlez tout simplement plus. Il faudra bien faire le ménage, une bonne fois pour toute. Depuis que je m'y intéresse, je ne fais que constater que les obstacles à l'indépendance proviennent de ces souverainistes, sympatisants et militants, capricieux qui ne s'avouent pas, tout simplement, mort de peur, à l'idée de faire face aux véritables obstacles. Continuez votre boudage luxueux au fédéral, comme au provincial. Vous allez tout perdre pour attendre. Et nous sommes témoins, depuis longtemps, des conséquences de ce boudage luxueux. Et nos adversaires sont mort de rire.
9 septembre 2015
Excellent texte Monsieur Lachapelle! Votre référence pour mieux connaître George - Étienne Cartier est pertinente. Ceux qui veulent en apprendre davantage sur John A Macdonald n'ont qu'à cliquer son nom sur le site de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB). La perle de la désinformation appartient, selon moi, à Gil Rémillard qui affirmait le plus sérieusement du monde vers 1990 que le Québec et l'Ontario s'étaient toujours bien entendus, la preuve en était l'Union du Bas et du Haut-Canada. De la part d'un constitutionnaliste, on ne saurait mieux mentir...
8 septembre 2015
Christian:Si vous voulez régler le problème, faut d’abord l’identifier.
Et si çà se passait sur une grande échelle?
L'effort pour rendre l'autre fou
Harold Searles
Rarement on a vu un psychanalyste aussi présent, aussi engagé dans ses cures. Jamais l'idée qu'il n'y a pas de psychose sans interaction de processus inconscients n'a été pareillement mise en évidence.
" Rendre l'autre fou est dans le pouvoir de chacun. L'enjeu en est le meurtre psychique de l'autre : qu'il ne puisse pas exister pour son compte. penser, sentir, désirer en se souvenant de lui-même et de ce qui lui revient en propre ", écrit Pierre Fédida dans sa préface.
http://www.decitre.fr/livres/l-effort-pour-rendre-l-autre-fou-9782070295456.html
7 septembre 2015
En 1993, plus de 1.8 millions d'électeurs ont voté pour le Bloc. En 2011, seulement 800 000 ont voté pour le Bloc. C'est 55% de souverainistes qui n'ont pas voté pour le Bloc. Si vous voulez régler le problème, faut d'abord l'identifier. Dire que ce million d'électeurs se tirent dans le pied, c'est de dire que vous avez raison et qu'ils ont tort. L'élection de 2011 a démontrer l'écoeurement des gens. Les anglais ont foutu les libéraux dehors et les québécois, le Bloc. Ce ne sont pas les souverainistes qui vont voter non qui doivent se réveiller, ce sont les politiciens souverainistes qui doivent le faire. Ce sont eux qui ont perdu la confiance des troupes.
P.S. Jamais je ne vais voter NPD.
7 septembre 2015
Belle analyse même si on ne peut refaire l'histoire, François. Effectivement, les indépendantistes ont sûrement manqué leur coup en n'occupant pas la scène fédérale comme le fera le Bloc plus tard.
7 septembre 2015
M.Paquette
Jamais deux sans trois!
Une bonne raison de sortir le Québec du Canada
mais que personne ne mentionne et il y a urgence
c`est d`éviter de subir une troisième CONSCRIPTION
du au fait que le Canada fait parti de l`empire Anglo-Saxon!
Les décisions se prennent par Ottawa et le Canada
anglais! Face à ça le Québec seras toujours perdant!
Rester dans le Canada c`est accepter le risque d`une 3iè CONSCRIPTION si conflit potentiel d`une 3iè guerre mondial!
http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-1er-avril-1918-Emeute-a-Quebec.html
http://bilan.usherbrooke.ca/bilan/pages/collaborations/8674.html
7 septembre 2015
Nous avons devant nous quatre bouteilles, trois contiennent du poison, la quatrième un remède. Première bouttelille, le poison bleu. S'attaque à la science et à la culture, non seulement au Québec, mais à travers tous le Canada. Deuxième bouteille, le poison rouge. Combat, efficaçement, toute vélléité du Québec de quitter le Canada, de manière démocratique et cela en y consacrant tous l'argent nécessaire. Troisième bouteille, le poison orange (NPD), s'attaque résoluement et de manière très concentrée à tous ce qui fait la spécificité du Québec. Par exemple, les discours de Mulcair, donne nettement l'impression, qu'il faut tout centraliser au Canada et que les champs de compétences provinciaux, peuvent être investis. En quoi, son programme de garderie subventionné risque-t-il de perturber le nôtre? Quatrième bouteille, le remède bleu pâle, plus ou moins efficace, pas toujours très bon au goût, dont l'action est plutôt lente, mais tout de même, du moins pour un indépendantiste, plus bénéfique pour l'organisme que n'importe quel poison de n'importe quelle couleur. Maintenant regardons les choses d'une manière un peu plus concrète. Si tant de québecois sont convaincue que le seul moyen de battre les conservateurs consiste à voter NPD, c'est qu'ils sont convaincus que sans le vote du Québec, il est impossible au NPD d'atteindre la majorité. Si les québecois n'étaient pas convaincues de ce fait, l'argument de Gilles Duceppe, qui dit que, c'est au reste du Canada de battre les conservateurs, serait suffisant. Convaincus, que le reste du Canada est tout aussi écoeuré de Harper que nous le sommes, les québecois indépendantistes pourraient voter Bloc, satisfaisant ainsi à la logique la plus élémentaire. Si les québecois indépendantistes disent en ce moment qu'il faut absolument voter NPD pour battre Harper, c'est qu'ils sont certains que le Canada ne peut le faire sans le Québec. Donc, le Canada est en majorité conservateur.
Le choix qui s'offre donc aux indépendantistes du Québec, qui décident de voter en fédéralistes consiste à décider de privilégier le poison orange ( qui s'attaque aux spécificité du Québec ) plutôt que le poison bleu ( qui s'attaque à la science et à la culture ). Évidemment, le québecois indépendantiste s'imagine, en toute bonne foi, qu'un NPD devenue le gouvernement, grâce au Québec, serait indulgent face à ses demandes. Il s'imagine, tout aussi innocemment, que le fait d'avoir une majorité de ses députés au gouvernement, protégerait ses intérêts. À preuve, en 1982, lors du rapatriement unilatéral de la constitution, 74 des 75 députés du Québec faisaient parti du gouvernement d'Ottawa. On voit donc ce que veut dire être au pouvoir dans la cadre fédéral actuel. J'ai la faiblesse de penser que le seul parti qui veut véritablement accorder le pouvoir au Québec- LE VRAI POUVOIR!- est le Bloc québecois. Voter pour un parti résolument fédéraliste n'est, pour un indépendantiste, qu'un autre moyen de différer l'indépendance, d'éviter à tout prix la liberté, d'utiliser tous les chemins de traverses possibles pour ne surtout pas s'affranchir. ON VEUT L'INDÉPENDANCE OU ON NE LA VEUT PAS. Si on la veut, on fait flèche de tout bois et on frappe sur le même mur, encore et encore, jusqu'à ce qu'il s'effondre. Toute entreprise humaine utilise ces deux techniques simples pour réussir. Tout rejet de ces deux techniques, toutes tergiversations n'est qu'une excuse pour ne pas s'avouer que, dans le fond, la liberté, on en veut surtout pas, et surtout on ne veut pas des responsabilités qui vont de pair avec elles. Le rôle de victime est, il est vrai, beaucoup plus confortable.
7 septembre 2015
Un peuple sans mémoire est un peuple sans vision de l'avenir.
Comment des prétendus souverainistes vont s'y prendre pour soulager leur conscience après avoir voter pour un parti centralisateur fédéraliste garni de poteaux à Ottawa, malgré la présence du bloc québécois avec Gilles Duceppe à sa tête?
Mon député s'appelle Jacques Gourde, le plus *%?/! des cinq députés conservateur élus au Québec, il inonde ma boîte postale de propagande de l'Ouest canadien de la vision de Stephen Harper; la sécurité de nos rues, les emprisonnements prolongés des détenus et toute la poubelle au grand complet.
S'il n'y avait pas du Bloc, j'annulerais mon vote.
Bonne chance le soir de l'élection M.Paquette
6 septembre 2015
IL N’Y A PAS HAUTEUR SOUS BARROT
Le C.A. du Barreau suspend sa bâtonnière
En confondant la cause, le style et la manière.
Ces grosses légumes font grand cas
Des tout petits larcins d’avocats,
Mais leurs propres forfaits restent dans les ornières.
6 septembre 2015
Bonjour Jean Claude,
Je pense que si cette réflexion se rend dans les cerveaux Québécois pour l'indépendance, on peut espérer qu'ils auront vus la lumière sinon à la vitesse du chantier de Couillard, le Québec sera si faible lorsqu'il en aura terminé que la seule chose qui nous restera c'est d'attendre pour celui qui nous coupera la tête et la faire rouler dans une fausse.
D'ici ce roulement de tambour, j'ai vraiment hâte de vous entendre M. LeHir et toi sur radio infocité!
Donc MERCI pour ce papier qui je crois peut faire la différence!
À très bientôt!
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!