Nous sommes en l'an 2000, le PQ est au pouvoir et le Bloc a 54 sièges à Ottawa. Bouchard-Landry s'entendent avec Gauthier-Duceppe pour faire l'indépendance ensemble. La loi 99 avancée par Facal reconnait le Québec comme état indépendant du Canada et souverain. Deux ou trois députés de l'opposition se rallient avec le PQ et appuient la loi ou déclaration sollenelle. Le Bloc fait les gestes et les votes d'appui au gouvernement de Québec souverain amenant avec lui deux ou trois députés des autres partis fédéraux. Les 125 députés de tous partis et tous niveaux de gouvernements représentent environ 60% du vote. Québec invite Ottawa à négocier la passation des pouvoirs d'ici un an comme le voulait Parizeau et va a l'Onu faire valoir son droit à l'autodetermination. Les pays de la francophonies commencent à reconnaître le Québec suivis des USA et des autres pays pendant que les électeurs indécis se jettent du coté du pays portant ainsi la majorité d'appui à 70%. Chrétien qui n'a que 20 députés québécois est envoyé en vacance comme au temps du dernier référendum par le Roc qui prends le contrôle et commence à négocier. Un an plus tard le Québec accède à l'indépendance . Vos commentaires sur ce scénario sans référendum, scénario que Levesque n'aurait pas pu faire car il y avait 75 députés fédéraux libéraux du Québec à Ottawa pour s'opposer au pays québécois alors.

Il y a 2 manières d'aborder la politique: Rationnelle et Relationnelle.

La position qui consiste à dire que l'on ne participera pas à l'élection au fédéral car on ne reconnais pas ce niveau gouvernement (logique et rationnelle). Ce refus d'assumer TOUS les rapports de forces avec l'état qui nous a annexé c'est consentir dans les faits au statu quo.

La politique est relationnelle (rapport de force). Et il faut assumer tous ces rapports de forces (politique, économique,médiatique). Et sur tout les fronts. à Ottawa, dans le ROC. à l'étranger. Partout en tout temps, jusqu'à la rupture. Le grand soir n'arrivera pas par génération spontanées.La rupture se produira suite à une longue lutte ou on additionnera les avantages jusqu à la rupture finale.

Cette approche du gain positionnel est le fondement de la théorie moderne des échecs, et celui qui l'a mis au point a dominer la compétition toutes sa vie. Il avait appliqué les grand principes de la géopolitique à son jeux. Un grand joueur Russe avait dit: 'Les échecs c'est comme la vie"; auquel Bobby Fischer avait répondu:" les échecs c'est la vie!"

La première victoire incontestable du Bloc est celle d'avoir marginaliser le Libéraux et leur avoir fait avaler leur mépris. Ils savent maintenant que sans le NOUS du Québec le pouvoir majoritaire est hors de leur porté. Cela s'appelle rétablir notre dignité. Et cela n'est pas un petit gain.

Il y en a bien d'autres gains à réaliser alors, tous au barricade !

JCPomerleau

Ils ne vous ont pas encore remis le prix Olivar Asselin !

Nous sommes heureux d'entendre vos mots, Bernard !!

C'était pas le temps de partir, le meilleur s'en vient ! Regardez, Vigil est sur le Blocgue du Bloc et une coordination synergique se forme dans le mouvement, enfin !

Prennez un p'tit rouge pour regarder çà et laisser un peu les autres travailler.

Votre renaissance est un signe !!

J'entend les pas de notre liberté !

Entendez-vous ?

Parce que vous croyez que nous sommes déjà indépendants ?

Que le fédéral est juste l'autre côté de la clôture, et qu'il est pas chez-nous ?

Nous votons pour des comptés du Québec ! Pour des postes clés chez-nous!

Vous voulez les laisser aux voisins ?! Parce que vous ne voulez pas voter chez le voisin ?

Lui, parcontre, se gênera pas de venir chez nous ! Grâce à vous !

Allez-hop, on se lève les manches et on fonce avec le Bloc !

Tous ensembles! C'est le temps !

Vous croyez vraiment que la souveraineté va se faire en prononçant une phrase ?

Comme "Sesame ouvres-toi" ?

Pour l'instant, j'aime bien ce qu'il fait. Il a entendu le message. Il fait du Bloc le point central d'un réseau de communication du mouvement nationaliste québécois.
Vigile vient d'être ajouté.

Le corps et la tête seront enfin reconnecter.

Çà c'est un sacré progrès !

- Parce que l'abstention vous fait l'allier objectif des pouvoirs que vous voulez par ailleurs supplanter ;
- Parce que ces pouvoirs instrumentalisent le dénigrement du politique. Pourquoi sinon décourager l'expression démocratique citoyenne qui leur serait défavorable, encourageant celle qui leur est favorable ;
- Parce que « les absents ont toujours tort » ;
- Parce ne pas voter pour le Bloc québécois ne vous fera pas pour autant voter pour votre, notre, cause, qui se trouve ainsi hors jeux... et c'est ce qui est souhaité par les canadianisateurs.

Pourquoi voter pour le Bloc québécois ?

- Parce que les canadianisateurs fêteront cette absence le soir des élections qui ne manquera pas par votre abstention d'afficher le recul des « séparatistes » ;
- Parce qu'ils iront danser sur les tombes de nos ancêtres, sur celles de nos pionniers de l'affranchissement, celles des patriotes morts au champs d'honneur, proclamant que le CANADA a vaincu les « séparatistes » ;
- Parce que ce pouvoir canadianisateur que vous voulez remplacer a déjà invoqué le fait que le Bloc n'existant pas, nos député(e)s de Québec et Ottawa réuni(e)s dans une même Chambre virtuelle auraient voté en faveur du rapatriement unilatéral de 1982 ;
- Parce que Pierre Elliott Trudeau a fait de ce vide québécois, un plein Bloc canadian ;
- Parce que « les absents ont toujours tort », Trudeau a eu dans les faits, raison. Cette raison qui fait force de Loi... fussent-elles de mesure de guerre ;
- Parce que ce seul argument a permis à Trudeau de se valider lui-même, omettant de faire plutôt la translation au fédéral du vote souverainiste québécois ;
- Parce que le Bloc affaibli, ou pire, absent, est le meilleur moyen de permettre que telle ignominie soit à nouveau invoquée un jour pour nous enfoncer à nouveau ;
- Parce que le Bloc québécois est tenu par les canadianisateur que vous voulez bannir, pour « séparatiste », cela suffit pour nous de les prendre au mot... de le tenir pour tel ! ;
- Parce que le Bloc québécois rassemble des « séparatistes » ;
- Parce que les canadianisateurs disent que ce que vous reprochez au Bloc, ( la défense du Québec, ses demandes à l'égard du fédéral, ) prouverait son « inutilité » ;
- Si le Bloc est « inutile » pour les canadianisateurs, c'est donc qu'il est très utile pour les « séparatistes » ;
- Votre abstention vous ferait l'allier objectifs des canadianisateurs ;

Vous aurez peut-être semblé aidé la cause de l'indépendance puisque que ce que vous dites par ailleurs n'est pas dénué de sens, mais en fin de compte... les canadianisateurs auront obtenu ce qu'ils voulaient, affaiblir les « séparatistes ».

Oui, le fait de passer complètement sous silence le bien fondé de la cause du peuple souverain du Québec ne participe pas vraiment à son avancement. Mais ce n'est pas vraiment le cas... Il ne passe pas complètement et toujours son obédience souverainiste...

De plus... Tout le monde sait que voter pour le Bloc québécois, c'est tout autre chose que de voter Conservateur ou Libéral, voire NPD ou Vert. Pourquoi ? Parce que ce parti est ouvertement souverainiste. Tout le monde sait que les Conservateurs sont conservateurs, ils n'ont pas besoin de dire qu'ils veulent revenir aux valeurs d'un passé révolu, réactiver les valeurs de droite, famille, sécurité, patrie, pour qu'on sache qu'ils se distinguent des Libéraux...

Réciproquement, pour le Bloc québécois.

Voter pour le Bloc québécois est crucialement utile pour les souverainistes, pour les indépendantistes, ne serait-ce que parce qu'on le tient pour inutile partout dans les pages opinions de nos médias canadianisateurs.

Voir dans Vigile
Le Bloc québécois sous Presse canadianisatrice
La Presse partisane, s’entend... Luc Archambault 7 septembre 2008 42 visites

Personnellement, je vais me faire utile et voter pour le Bloc québécois, convaincu que cela est plus qu'utile... mon vote est crucial, le vôtre pareillement. Ne vous restera qu'à travailler comme moi à ce qui vous anime et vous porte. Des fois que cela pourrait donner des idées à d'autres... on ne manque pas de travail, comme par exemple ne pas laisser le champ libre aux canadianisateurs qui inondent les Forum internet et papier des médias de masse... Leur écrire en masse ne nuirait pas et serait très utile...

C'est le temps de le faire... nous sommes en campagnes électorales... on rêve de nous briser les reins... voire de nous achever... c'est à ça que va contribuer votre abstention... Faut pas rêver !

Luc A.

Robert Barberis-Gervais

Son slogan ?

"Les Conservateurs sont de "droite" et les PLC, NPD, VERT, et BLOC sont de "gauche" "

Le PLC et NPD de gauche ? On va voir çà !

Camarade Dubuc (Alain) commence le bal avec sa chronique: Le Feedback Américain

Il nous dit:
"La satanisation des conservateurs, depuis que les réformistes ont pris le contrôle du parti, a déjà donné certains résultats lors de la campagne de Paul Martin, où ce dernier insistait, à tort d'ailleurs, sur les menaces qu'un gouvernement conservateur ferait peser sur le système de santé canadien." (Alain Dubuc)

Paul Matin le "gaugauche" qui accuse "à tort" les Conservateurs de vouloir démolir notre sytème de santé public. Est-ce que Dubuc tente de nous faire croire que ces deux-là sont innocents ?

Pourtant, c'est bien le médecin personnel de Paul Martin , le Doc Sheldon Elman (Mcgill), qui a eu tous les appuis politiques nécessaires pour débutter une entreprise de santé privé au Québec et ensuite le Doc Chaoulli de l'IEDM où siège le chef de campagne de Harper, Bernard Lord (ancien NPD) et dont la Directrice est H. Desmarais (Gesca-SRC-Bush) qui par la Cour Suprême du Canada a permis au clan Elman de démolir notre système public avec le concours du Libéral Phillipe Couillard qui maintenant y récolte sa récompense ! De plus, cet ancien NPD , Bernard Lord est au service du CHUM anglais à Montréal avec les Elman ! Sans compter cet autre NPD, "gaugauche" Bob Rae, parti rejoindre son frère chez Desmarais Gesca-SRC-Bush !

Et le nouveau couple de la convergeance du Ministère de la propagande Gesca-SRC, Marissal-Pratte, qui y vont de leur crû:

"Si l’on en croit MM. Dion, Duceppe et Layton, Stephen Harper est rien moins qu’un clone de W."(Camarade Marissal)

"Faut voir Stéphane Dion, Gilles Duceppe et Jack Layton essayer de s’identifier au candidat démocrate depuis quelques jours." (Camarade Pratte)

C'est clair. La nation québécoise ne doit plus laisser ce groupe de néo-cons PCC, PLC, NPD poursuivre leur démolition du Québec et le vol de nos ressources.

Votons en bloc pour le Bloc ! Stoppons les néo-cons !

Vive la Nation Québécoise !

Voici ce qu’on pouvait lire dans le Toronto Star du 29 avril 2007 qui rapportait le choix de Justin Trudeau pour représenter le Parti libéral du Canada dans le comté de Papineau.
Après avoir fait l’éloge de Papa Trudeau à cause de la Charte des droits “qui a changé le Canada pour toujours", Justin Trudeau a dit qu’il voulait enlever le comté au Bloc québécois “that seeks to divide and destroy Canada”. Comme pour Steven Harper, pour Justin Trudeau le Bloc québécois cherche “à diviser et à détruire le Canada”.
J’ai pensé qu’un indépendantiste devait avoir cette information avant de contribuer, par son abstention, à élire Justin Trudeau.

Sur Wikipedia.
Vivian Barbot, B.A., M.Sc. (née le 7 juillet 1941 à Saint-Marc en Haïti) est une syndicaliste, féministe et femme politique québécoise.
Lors de l'Élection fédérale canadienne de 2006, elle est élu députée à la Chambre des communes du Canada dans la circonscription montréalaise de Papineau sous la bannière du Bloc québécois. Elle est élue avec une majorité de 990 voix sur l'ex-ministre libéral Pierre Pettigrew. Vivian Barbot est la première femme haïtienne à être élue députée à la Chambre des communes du Canada.
Avant d'être élue, Vivian Barbot a longtemps milité au sein d'organisations féministes et syndicales au Québec. Elle succéda à Françoise David à la présidence de la Fédération des femmes du Québec de 2001 à 2003. Elle est également une membre fondatrice et membre du conseil d'administration du club politique de gauche formé au sein du Parti québécois, le SPQ-Libre.
Elle a également été professeure de français au Cégep de Victoriaville, de 1983 à 2001. Durant cette période elle a milité au sein de son syndicat d'enseignants, et présidé la Fédération des enseignants et enseignantes de Cégeps (FEC/CEQ) en 1991 et 1992.

Vivian Barbot en 2006 nous a fait le plaisir de battre le libéral Pierre Pettigrew qui a traité les indépendantistes de “losers” et qui a obtenu 10,000 $ d’Option Canada pour une série d’articles publiés dans La Presse en faveur du NON au référendum de 1995.

M. Schneider, j’espère que vous voterez pour Vivian Barbot et que vous contribuerez ainsi à la défaite de Justin Trudeau. Je m’adresse à vous même si vous m’avez traité de “bienheureux colonisé” en commentaire à mon article qui donne de bonnes raisons de voter pour le Bloc québécois parce que je commence en disant: “faire savoir au Canada anglais que” que je pourrais facilement transformer en: Que les Québécois affirment clairement qu’ils ne sont pas dupes du caractère cosmétique du fonctionnaire à l’Unesco et de la nation”. La réponse de Gébé Tremblay est toutefois plus pertinente et plus fine.

Robert Barberis-Gervais, Vieux-Longueuil, 7 septembre 2008

Si nous étions un million d'électeurs ou plus à ne pas le faire, le 14 octobre prochain, le message serait bien plus clair que d'envoyer des députés qui ne font que chialer et débiter des voeux pieux, comme vous le dites si bien.

Je reste donc à la maison, en attendant les résultats...

PIERRE B.

JE viens de ré-entendre Gilles Duceppe. Il est à Trois-Rivières. Il dit que la souveraineté n'est pas au cœur des enjeux électoraux actuels. Alors, qui est-il cet homme qui cache son option? Le Bloc la cache depuis 1997. Et 11 ans plus tard, il la cache encore. Sous le tapis. Le Bloc ne devrait pas craindre de se donner le vrai pouvoir en disant aux électeurs du Québec que LA solution est dans l'indépendance du Québec. J'en ai assez de leur maudite stratégie.

Permettez-moi de vous redire que je ne crois plus à ces gens qui empochent en prétextant défendre les intérêts du Québec. D'autres peuvent le faire à leur place et aussi bien qu'eux. J'en suis persuadé.

Le Québec ne veut pas faire mieux. Il faut faire différent. Et différent, ça veut dire DEVENIR indépendant. Si la stratégie du Bloc était LA bonne, on aurait eu d'autres résultats que cela au PQ en mars 2007.

PIERRE B.

“Pendant combien de temps, dans nos médias, voudra-t-on persister à confondre référendum et indépendance, faisant de l’utilisation de celui-là la condition nécessaire de l’obtention de celle-ci ? Encore une fois, relayant quelques autres chroniqueurs, Michel David, dans le Devoir du samedi 30 août 2008, écrit ce qui suit : « Maintenant que le PQ a officiellement renvoyé la souveraineté aux calendes grecques […] »

Or je soutiens, et je ne suis pas le seul à le faire, qu’il n’en est rien, l’indépendance étant toujours au programme du Parti québécois. Qu’on me prouve le contraire ! Car on peut très bien travailler à la conquête de l’indépendance sans lier celle-ci à l’exercice d’un référendum ; cet instrument de consultation ne devrait servir en effet qu’à l’adoption d’une nouvelle constitution et non pas à une déclaration d’indépendance, ce dont une Assemblée nationale majoritaire peut très bien s’acquitter. (....)”

Je contresigne et j’ajoute une précision. Lors de son dernier conseil national, le Parti québécois a enlevé l’obligation de faire un référendum le plus tôt possible. On a pourtant vu et entendu Pauline Marois au micro réaffirmer dans un cri du coeur que son objectif est toujours de faire du Québec un pays. Elle a ainsi réaffirmé qu'il n'y pas un lien absolu entre référendum et indépendance. Elle pourrait donc être d'accord avec la position de Gaston Laurion. Nous aimerions savoir ce qu'elle pense de cette position.

Après avoir pris des distances avec le référendum, il faut faire un pas de plus et proclamer que, de toutes façons, comme l’écrit si bien Gaston Laurion “on peut très bien travailler à la conquête de l’indépendance sans lier celle-ci à l’exercice d’un référendum ; cet instrument de consultation ne devrait servir en effet qu’à l’adoption d’une nouvelle constitution et non pas à une déclaration d’indépendance, ce dont une Assemblée nationale majoritaire peut très bien s’acquitter.” C’est aussi ce que dit Lionel Lemay et c’est aussi ce que j’ai écrit ici même dans des articles sur le référendum et l’étapisme en rappelant qu’avant l’élection de 1973, René Lévesque, Jacques Parizeau et Jacques-Yvan Morin, dans une brochure intitulée “Comment se fera l’indépendance” affirmaient que c’est l’Assemblée nationale majoritaire qui enclencherait le processus d’accession à l’indépendance sans référendum. Telle était la position officielle du Parti québécois de 1968 à 1973. Il faut y revenir.

Il faut que le Parti québécois revienne à cette position qui s’appuie sur les pouvoirs de l’Assemblée nationale du Québec comme expression de la volonté populaire. Une première étape a été franchie: le report “aux calendes grecques” d’un 3è référendum par le Conseil national du PQ. On nous dira: vous avez fait deux référendums donc c’est le référendum qui est “la” méthode d’accession à la souveraineté. Je réponds: non. Le référendum, c’est “une” méthode, ce n’est pas la seule et même comme il a été démontré depuis la Loi sur la clarté par des penseurs indépendantistes qui ont écrit sur Vigile.net, le référendum n’est plus opportun. Il faut que le Parti québécois se prononce officiellement sur ce sujet qui est d’une importance capitale.

Le Parti québécois doit adopter officiellement que “ on peut très bien travailler à la conquête de l’indépendance sans lier celle-ci à l’exercice d’un référendum ; cet instrument de consultation ne devrait servir en effet qu’à l’adoption d’une nouvelle constitution et non pas à une déclaration d’indépendance, ce dont une Assemblée nationale majoritaire peut très bien s’acquitter.”

Le Parti québécois doit affirmer qu’il fondera son action de gouvernement en marche vers l’indépendance sur les pouvoirs de l’Assemblée nationale qui posera les gestes nécessaires par vote majoritaire et que ces votes majoritaires exprimeront légitimement la volonté du peuple québécois.

Tous ceux et celles qui partagent ce point de vue, de l'intérieur comme de l'extérieur du Parti québécois, doivent travailler et peser de tout leur poids pour que le Parti québécois prenne cette position avant les prochaines élections.
Il faut cessez de s'opposer au Parti québécois. Il faut plutôt participer à un processus démocratique au sein du mouvement indépendantiste auquel il n’y a aucune raison de s'exclure. Le Parti québécois a besoin du dynamisme de tout le monde sur la question d’une importance capitale soulevée dans les articles récents de Gaston Laurion et Lionel Lemay.

Robert Barberis-Gervais, Vieux-Longueuil, 7 septembre 2008