Comment le Président Donald J. Trump incarne le sens commun du patriotisme libérateur
4 octobre 2025
Complément d’information à propos de la responsabilité historique du Président Donald J. Trump, Commandant en chef des Armées des États-Unis d’Amérique, selon la Constitution américaine de 1789 en vigueur, stipulant la responsabilité de DJT, le patriote-humaniste, de celle véhiculée par la propagande des mercenaires de la désinformation anti-USA-Trump :
États-Unis
La Constitution des États-Unis, Article II Section 2[8], donne ce titre au président des États-Unis d'Amérique, qui « sera commandant en chef de l'armée et de la marine des États-Unis, et de la milice des divers États quand celle-ci sera appelée au service actif des États-Unis. »
Autorité du commandant en chef sur le champ de bataille
En tant que commandant en chef, le président des États-Unis, a la prééminence sur tout officier de l'armée et donc le droit inhérent d'assumer le commandement sur le champ de bataille. Cependant, parce que les présidents sont rarement présents sur les zones de guerre et ont souvent moins d'expérience que les commandants militaires, seuls deux présidents firent usage de cette prérogative, George Washington et James Madison.
Washington mena en personne une troupe de 70 000 hommes lors de la Whiskey Rebellion, lors de son second mandat, il ne fut cependant pas présent lors des diverses escarmouches de ce conflit relativement peu sanglant.
Lors de la guerre de 1812, le président Madison se retrouva sous le feu de l'ennemi le 24 août 1814, lorsque les forces américaines furent mises en déroute par les troupes britanniques à Bladensburg (Maryland). Madison, exaspéré par l'incompétence du général américain, prit le commandement des seules forces américaines restantes, une batterie navale commandée par le commodore Joshua Barney (en). Il fit cela pour stopper l'invasion britannique de la capitale américaine, mais ses efforts furent vains et les Britanniques incendièrent Washington pendant deux jours.
Pendant la guerre de Sécession, le président Abraham Lincoln considéra la possibilité d'assumer lui-même le commandement de l'Armée de l'Union sur le champ de bataille et se mit à étudier des textes militaires lorsque l'apathie et l'incompétence de ses généraux l'exaspéraient. Il se retrouva sous le feu ennemi en 1864 lors d'une attaque confédérée sur Fort Stevens (en) dans le district de Columbia, mais il n'exerça à aucun moment son autorité de commandant en chef sur le champ de bataille.
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Commandant en chef https://fr.wikipedia.org/wiki/Commandant_en_chef
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JLPM

