Faut-il nier les statistiques criminelles lorsqu'il s'agit de Noirs ou d'autochtones?
19 avril 2024
Les criminels multiethniques savent obtenir des peines bidons en invoquant tout simplement qu'ils sont racisés. Et ça marche à tout coup.
En France, le premier ministre M. Gabriel Attal a décidé de prendre le taureau par les cornes pour que la justice soit plus sévère:
Il dénonce la « culture de l’excuse » actuelle. Il entend ouvrir « le débat sur des “atténuations à l’excuse de minorité” dans les condamnations pénales » dans le but de sanctionner les mineurs comme les majeurs.
Cette culture de l'excuse consiste à toujours chercher à amoindrir le crime des minorités multiethniques en évoquant des conditions extérieures. Ce n'est jamais leur faute, mais celle de leur situation discriminée.
Source: Combattre la culture de l'excuse
Considérons cela comme un pas dans la bonne direction.
Au Québec, tous les crimes dus aux mineurs multiethniques devraient être sanctionnés à la pleine sentence des adultes, suivie de l'expulsion au pays d'origine des parents. La sécurité publique passe avant les surdroits de minorités dangereuses qui s'arrangent toujours pour s'en sortir trop facilement.