500 000 immigrants de trop à renvoyer pour régler la crise du logement
22 janvier 2024
M. le premier ministre Legault ne mâche pas ses mots en ce qui concerne l'afflux de pseudos demandeurs d'asile qui arrivent à l'aéroport de Dorval par avions complets. Ils en ont du poignon ces pauvres miséreux mexicains et hindous. Ils ont flairé la bonne affaire. 99% d'entre eux sont sans doute des filous fraudeurs qui arnaquent le système. Si tout le monde qui s'est fait regarder de travers ou donner une taloche devenait admissible à être sauvé par le Canada, 7 milliards de candidats afflueraient à nos portes demain matin, euh, ce matin même.
Tous les pays du tiers-monde sont violents et injustes, c'est à eux de régler leurs problèmes. On n'est pas responsables du mauvais fonctionnement de toutes ces sociétés arriérées qui refusent de se moderniser en adoptant nos façons de faire.
Je cite:
François Legault demande au premier ministre Justin Trudeau de freiner l’arrivée de demandeurs d’asile au pays. La capacité d'accueil et d'intégration du Québec est arrivée «tout près du point de rupture», plaide-t-il.
«Malheureusement, nous sommes tout près du point de rupture en raison du nombre excessif de demandeurs d’asile qui arrivent au Québec mois après mois. La situation est devenue insoutenable.»
Selon les chiffres du gouvernement Legault, le Québec a accueilli plus de demandeurs d’asile que tout le reste du Canada réuni, en 2022. L’an dernier, la moitié des demandeurs d’asile arrivés au Canada se sont installés au Québec.
En 2023, cela signifie 59 735 nouveaux arrivants pour les 11 premiers mois de l’année. Les projections du gouvernement estiment que ce nombre sera de 65 000 pour l’année en cours.
En raison de leur nombre, les demandeurs d’asile peinent à trouver un toit, «ce qui contribue à accentuer la crise du logement», écrit François Legault.
Québec a également dû ouvrir 1150 classes d’accueil pour franciser et intégrer les enfants de ces nouveaux arrivants, soit «l’équivalent d’une cinquantaine d’écoles primaires», écrit le premier ministre caquiste.
De plus, les demandeurs d’asile constituent désormais 16% des prestataires d’aide de dernier recours, souligne-t-il.
Le gouvernement Legault estime d’ailleurs que le palier fédéral doit toujours une compensation de 470 millions de dollars pour les frais encourus en 2021 et 2022.
Le premier ministre ajoute à ce tableau que «de manière générale, les relâchements sur les politiques de visas présentent des risques d’ouvrir des brèches utilisées par des groupes criminalisés, qui posent de sérieux enjeux de sécurité pour le Québec et le Canada».
En conséquence, François Legault demande à Justin Trudeau de «freiner et diminuer l’afflux de demandeurs d’asile qui entrent au Canada en resserrant la politique canadienne d’octroi de visas».
Ottawa devrait aussi répartir «équitablement» les demandeurs d’asile sur le territoire canadien «en fonction des capacités d’accueil», écrit M. Legault.
Du même souffle, il exige de «fermer toute brèche qui permettrait à des groupes criminalisés de s’infiltrer au Canada».
Finalement, Québec réclame le remboursement des sommes dépensées pour l’accueil des demandeurs d’asile.
«Il s’agit d’une affaire urgente et de la plus haute importance, qui doit être résolue dans son ensemble», conclut le premier ministre québécois.
Source: Lettre à Justin Trudeau: François Legault exige moins de demandeurs d’asile