Aménageons des terrains de camping pour itinérants sur les terrains vagues de Montréal
18 juillet 2023
Au problème des itinérants malades mentaux s'ajoutent celui des itinérants autochtones, qui s'agglutinent au pied du Mont-Royal à Milton Parc (ou Ghetto McGill), comme si c'était pour y établir un campement, y planter leur tipi et en se mettre à chasser et à pêcher comme si de rien n'était.
Il faut changer les lois pour que les autochtones sans domicile fixe soient assignés à leur réserve et cessent d'en sortir pour déranger l'ordre public.
Leur niveau de désorganisation mentale et communautaire ne cesse d'empirer:
Rappellons que 12 % des personnes itinérantes à Montréal sont autochtones, alors qu’ils ne représentent que 0,6 % de la population.
Le quart des sans-abri autochtones sont inuits, alors qu’ils ne constituent que 5 % de la population autochtone.
Dans une ligne ouverte, un Montréalais déplorait de voir des épaves dopées au fentanyl avançant comme des zombies dans les rues du secteur.
Il n'y pas du tout de crise humanitaire. Que des autochtones et inuits qui ne sont pas à la bonne place, c'est-à-dire dans leur réserve avec les leurs, où ils pourront ingérer tout ce qui bon leur semble.
Photo ci-dessus: image classique d'autochtones avec leurs bouteilles de bagosse
Aucune prévention n'est possible. Aucune intégration à la société n'est possible faute de capacité inhérente à le faire. C'est là une inaptitude généralisée à vivre selon les règles de civilisation modernes dont nous ne devons pas faire les frais. Cessons l'attitude des lunettes roses. La seule solution: le confinement volontaire ou non à leur réserve.
Peut-on envisager qu'ils s'incrustent là jusqu'à la fin des temps et accepter tout bonnement la chose en baissant les bras? Que le gouvernement se réveille et agisse au nom des citoyens qui en ont ras-le-bol.