Les immigrés criminels doivent être expulsés
13 décembre 2019
L'effroyable crime d'origine ethnique de la semaine: un algérien musulman du nom de Nabil Yssaad tue sa femme et ses deux enfants en bas âge à Pointe-aux-Trembles.
L'individu s'adonnait à la violence conjugale comme le lui permet sa religion pour s'assurer de son emprise sur sa femme. Aux yeux des musulmans islamiques, il semble tout à fait normal de perpétuer ici les comportements admis et courants dans leur pays d'origine. Cela fait partie de leurs droits religieux acquis auxquels nous n'avons pas droit de toucher.
Et comme cela se produit hélas trop souvent, les médias cherchent à excuser et minimiser ces actes d'horreur en prétextant que l'algérien Nabil Yssaad souffrait de troubles mentaux.
Pour éviter de tels actes criminels, tous les candidats à l'immigration devraient être soumis à une évaluation psychiâtrique complète au préalable, ce qui permettrait de filtrer les candidats potentiellement dangereux pour le Québec. Et il y en a plus qu'on pense lorsqu'ils proviennent de pays sous-développés au taux de violence élevé. L'algérien Nabil Yssaad n'est qu'un exemple de plus de ce type de personnalité explosive et impulsive.
L’auteur de la tuerie Nabil Yssaad avait été arrêté en août 2018 pour des voies de fait sur sa conjointe, mais il avait cependant été acquitté des accusations portées contre lui, probablement par crainte de représailles contre la société par les mouvements islamistes qui tiennent à leurs "droits".
Nabil Yssaad faisait toujours l’objet de procédures judiciaires pour non-respect d’un engagement. Il lui était notamment interdit d’approcher son ex-conjointe, sauf pour voir ses enfants.
Il lui était également interdit d’être en possession d’une arme à feu.
Plusieurs voisins ont également mentionné des épisodes de violence conjugale impliquant la famille. «Il y avait des disputes conjugales. On a vu la police ici deux ou trois fois [...] C'est quelqu'un avec qui on ne peut parler, quelqu'un qui refuse la communication», a affirmé l'un d'eux.
Référence: «J’ai bien vu qu’il avait le contrôle sur elle»
Sa femme était convaincue qu’il avait développé des problèmes de santé mentale.
Il ne voulait pas qu’elle ait le dernier mot Pour cela, Nabil Yssaad a décidé qu'elle ne méritait plus de vivre.