La politique étrangère ridicule de Trudeau

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« Malheureusement, Trudeau ne comprend pas la nature des relations internationales. »


Il n’est pas normal que le Canada ait été battu par la Norvège et par l’Irlande. Justin Trudeau pourra essayer de trouver toutes les excuses qu’il voudra, le résultat est là.






Le Canada est une puissance moyenne, peut-être la plus forte des puissances moyennes. La Norvège et l’Irlande sont de petites puissances.


Que deux petits pays battent le Canada démontre que sa politique étrangère n’est pas à la hauteur des attentes.


C’est parce que Trudeau demeure au niveau superficiel des relations internationales. Le reste le dépasse. Voilà la raison profonde pour laquelle le Canada a perdu le vote au Conseil de sécurité.


Une politique ridicule


Pour tout dire, la politique internationale de Trudeau est ridicule.


Ridicule dans sa prétention d’épouser l’idéologie féministe.


Ridicule dans son approche multiculturaliste.


Ridicule dès que Trudeau ouvre la bouche sur les questions internationales.


Justin Trudeau n’a pas l’envergure intellectuelle requise pour saisir les relations internationales en profondeur.


Ses interlocuteurs internationaux le savent bien.


Revoir la politique étrangère


Le Canada doit revoir sa politique étrangère en entier. 


Mais il ne peut pas le faire parce que son premier ministre s’est donné des objectifs mièvres qui correspondent aux modes du jour plutôt qu’à une véritable réflexion sur les intérêts du Canada.


Pire encore, le gouvernement s’est laissé entraîner dans une politique étrangère qui épouse les querelles de certains groupes d’immigrants. Sa politique antirusse, ses positions sans nuances sur Israël ou ses flirts pro-sikhs constituent des exemples criants de mauvaise politique étrangère.


Trudeau moralise


Malheureusement, Trudeau ne comprend pas la nature des relations internationales. Il promène sur le monde le regard idéaliste des curés d’antan. 


Il cherche à convertir au féminisme et au multiculturalisme. Comme autrefois les curés prêchaient le christianisme. Le monde ne se construit pas avec des sermons moralisateurs.


Derrière la morale, il y a le commerce, la finance, les forces armées, les intérêts cruciaux des peuples, bref, le vrai pouvoir. C’est là-dessus qu’il faut agir.




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