VIGILE S'EN PREND À « LA PRESSE » ET AU PREMIER MINISTRE JEAN CHAREST
Plus bête que ça, tu meurs !
Bernard Frappier, coordonnateur du site Vigile.net
BEAUHARNOIS, QC, le 21 oct. /CNW Telbec/ - Réagissant à l'article de « La Presse » paru le 19 octobre, à l'intervention en chambre du premier ministre Jean Charest dans le cadre su débat sur la loi 103-115 le même jour, et aux divers commentaires parus dans la presse écrite ou diffusés en ondes depuis lors, le coordonnateur et animateur du site Vigile.net, Bernard Frappier, a tenu à faire la mise au point suivante :
«
Jamais depuis qu'il existe le site Vigile.net n'a cautionné le recours à la violence par qui que ce soit, et amalgamer Vigile au FLQ ou à quelque groupe qui préconise le recours à la violence comme moyen de régler les différends politiques au Québec constitue une tentative éhontée de salissage des idées défendues par Vigile, ses artisans, et ses collaborateurs.
Tout ce qui a été mis en ligne par Vigile depuis qu'il existe se situe à l'intérieur des limites de la liberté d'expression telle que définie par les chartes des droits fédérale et provinciale, et par la jurisprudence applicable.
Prétendre le contraire constitue une diffamation et expose ceux qui le font aux sanctions prévues par la loi. Vigile se réserve d'ailleurs le droit d'intenter contre les auteurs de ces propos diffamatoires tous les recours prévus en de telles circonstances, en notant que le premier ministre, Jean Charest, s'est réfugié, en homme « courageux » qu'il est, derrière son immunité parlementaire pour nous salir.
Je suis certain que les Québécois sauront apprécier à sa juste valeur cette nouvelle démonstration de son intégrité et de sa force de caractère.
Délibérément ou non, « La Presse » et le premier ministre se sont trouvés à confirmer l'efficacité de Vigile.net dans la dénonciation des abus de toute sorte et dans la promotion de la cause indépendantiste. Vigile.net se serait cependant passé d'endossements aussi peu recommandables, mais admet que cette publicité a aidé à sa campagne de financement, lui permettant de réaliser plus de 25 % de son objectif annuel en moins de trois jours. C'est pourquoi Vigile fera preuve de magnanimité et déduira cette somme de tout montant qu'il pourrait éventuellement réclamer contre les auteurs de propos diffamatoires tenus à son endroit dans le cadre des événements des derniers jours.
Par ailleurs, Vigile apprécie énormément l'occasion qui lui est donnée de souligner publiquement la bêtise et la malice de « La Presse » et du premier ministre Jean Charest. Les occasions de ce genre sont rares, et nous ne sommes pas du genre à mégoter notre plaisir. »