G8 de Deauville
L'entrevue
«La notion de laïcité ouverte est une insulte», dit le philosophe Henri Peña-Ruiz
Condamné à rester en prison à New York, le directeur général du FMI pourrait faire face en France à une autre plainte pour harcèlement sexuel
L'arrestation du favori de la présidentielle, Dominique Strauss-Kahn, ce week-end à New York pour tentative de viol, bouleverse la carte politique
Quand les amuseurs publics remplacent les journalistes ou que ces derniers se prennent pour les premiers, il ne faut pas se surprendre de la volatilité des électeurs.
Qu'on se le dise, le Canada a été fondé en 1867 par une bande de fieffés réactionnaires qui méprisaient ouvertement les conquêtes démocratiques de «la populace».
Désavoué par les électeurs. Contredit par son premier ministre. Rabroué par ses députés. Où s'arrêtera la chute de Nicolas Sarkozy ?
On s'étonne que le débat sur le bilinguisme au Québec, qui se gargarise pourtant de mondialisation, ne tienne pas compte de ces grandes tendances internationales pourtant connues.
L’unanimité inquiétante qui entoure la récente décision de consacrer cinq mois de la dernière année du primaire à l’étude exclusive de l’anglais illustre comment le bilinguisme est devenu depuis quelques années une véritable obsession au Québec.
Aux diplomates habitués à décoder les évolutions politiques, Nicolas Sarkozy préfère les réseaux d'intérêts privés et les visiteurs d'un soir.
Face à la Tunisie et à l'Égypte