Le nouveau tabou: interdiction formelle de critiquer les indiens
9 novembre 2024
Bonjour M. Labrie,
La jalousie est une de nos pires lacunes humaines: bassement animale.
François Champoux,Trois-Rivières
La prière de François Legault
Si l'Oratoire Saint-Joseph brûlait...
Sauveur du monde?
Qui peut y prétendre?
Où commencent-elles? Où se terminent-elles?
Au Québec, il faut réinventer la roue
Et s'il vous plaît, pas de "Top Gun"
"L'Homme est la mesure de toute chose" (Protagoras)
Respect de tout un chacun
L'évolution n'est jamais à sens unique
Exigence de vigilance
Les croyances sont trop vivantes
Un sociétaire se bat
Menace de mort contre Paul Saint-Pierre Plamondon
Portrait d'un colonisé rebelle
"L'exclusion est une violence"
Le journalisme douteux: la désinformation
Même les joueurs de hockey trop payés s'épuisent...
Un constat économique provincial
Interviewé à une émission de variété de la radio de Radio-Canada
9 novembre 2024
Bonjour M. Labrie,
La jalousie est une de nos pires lacunes humaines: bassement animale.
François Champoux,Trois-Rivières
9 novembre 2024
Bonjour M. Marineau,
Vous êtes remarquable!
Les sociétés sont malades depuis des millénaires; rien de nouveau sous le soleil de la planète Terre. C’est mon médecin qui me donna ce diagnostic dans son cabinet professionnel il y a environ 45 ans. J’étais à la veille de mon éclosion sociale humaine et de mes difficultés; mais je l’ignorais.
La bonne nouvelle c’est qu’on n’entend plus le ministre Dubé nous parler de la bonne nouvelle; enfin, il se conscientise sur le besoin d’être vraiment créatif pour changer ce monde malade, s’il le peut… Le pouvons-nous vraiment? Rien n’est moins certain, tellement nous sommes enlisés dans ce marasme sociologique de toutes lacunes. Sauf, bien évidemment, si l’on change les paradigmes qui nous ont finalement mal servis.
J’ai déjà pensé que toute société devrait obliger le «service à la société» au même titre que certaines sociétés obligent le «service militaire» de sa jeunesse avant même de commencer à s’enrichir dans leur métier respectif; encore là, rien d’exceptionnel sauf que je ne connais pas encore de société qui l’a mis en oeuvre. Il faudrait l’essayer; ainsi, toute personne serait confrontée, mise en face de la réalité humaine, environnementale, sociologique, etc. dès son jeune âge aux affres de la pauvreté, de la pollution, de la paresse crasse, et de tous nos relâchements naturels et humains avant de commencer à récolter les richesses de leur métier respectif et de cette planète très riche, mais si fragile. Ça pourrait aider à comprendre d’où viennent les richesses, et pourquoi autant de disparités dans la distribution de celles-ci dans les sociétés. En palpant dès notre entrée en service l’injustice de ce monde imparfait, il y a des chances que ce monde change… un peu.
«L’on n’est jamais mieux servi que par soi-même» nous dit le proverbe, encore faut-il savoir prendre soin de soi d’abord. Modestement, je pense que la bêtise des hommes ne vient pas de ce qu’ils sont, mais de ce qu’ils pensent être.
François Champoux, Trois-Rivières
6 novembre 2024
Bonjour M. Marineau,
Croyez-le ou non, j’avais prédit la victoire de Trump tout simplement à cause de ses menaces.
Cet homme est craint par tous les chefs de ce monde; alors même les citoyens se rangent contre la menace d’un dictateur, d’un puissant! On l'a vu antérieurement. Car la peur est un très mauvais maître, mais elle est très efficace vis-à-vis les serviles de toutes sociétés. Je l’ai vécu plusieurs fois dans ma vie. Il n’y a rien comme faire peur pour faire taire et soumettre.
Trump est un grand faible et un grand maître des faibles.
N’allez pas croire que je me vante d’avoir prédit cette victoire de Trump; ce n’était qu’une gageure insignifiante entre mon épouse et moi.
Dans tout ça, c’est l’humanité qui sera perdante, car les pays s'inspirent trop des politiques américaines: elles ne sont pas toutes correctes.
Espérons que ça ne durera pas trop longtemps…
François Champoux, Trois-Rivières
5 novembre 2024
Bonjour M. Marineau,
Comme on dit : nul ne peut être contre la vertu, n’est-ce pas? Je partage effectivement votre vertu.
Tout est dans l’équilibre des forces, nous dirait la psychologie moderne; si le féminisme a vu le jour, c’est tout simplement parce que le machisme avait atteint des hauteurs d’une grande stupidité.
Quant aux écoles privées, elles sont la preuve que nous ne payons pas le coût réel d’une éducation exemptée de croyances quelconques; elles sont nombreuses les croyances quelconques à s’afficher comme une nécessité pour bien orienter la jeunesse vers un avenir qui se voudrait souriant et heureux. Mais tristement, il y en a beaucoup qui passent à côté de l’essentiel : aimer son prochain comme soi-même. Il n’y a rien de religieux dans cette maxime, surtout pas catholique : tout simplement humaniste, pour une humanité qui sait vivre ensemble.
Pas facile la vertu : elle demande effort constamment. C’est la vertu ou le vice; il faut choisir et payer le prix. Ce n'est certes pas la loi 21 qui remédie à cette carence; tout le contraire.
François Champoux, Trois-Rivières
5 novembre 2024
Bonjour M. Gilles Verrier
Quel emportement, M. Verrier! Je ne vous connaissais pas une telle fureur, une telle frustration.
Dois-je en conclure le même désaveu pour le parti Québécois? Ne devons-nous pas considérer que le parti Québécois n’est pas l’incarnation de la souveraineté du Québec? Personnellement, j’en suis rendu là: la souveraineté du Québec n’appartient pas au parti Québécois ni à aucun parti. Qu’en pensiez-vous?
Je vous sais d’une grande perspicacité pour vous avoir lu et j’aimerais savoir de vous si la souveraineté du Québec doit toujours être promue au Canada, au Québec (par un parti politique ou autrement) même auprès des incompétents citoyens, ceux-là que vous considérez sans culture politique.
Remarquez que votre vérité est certainement celle de certains autres connaisseurs bien informés, mais les Québécois doivent gagner leur croûte autrement qu’à étudier la politique à l’université ou dans les livres. «Que voulez-vous?» dirait l’autre, il faut bien vivre sans trop se prostituer, n’est-ce pas?
Merci de votre vérité et de vos vérités; personnellement, je la cherche la vérité; disons maintenant que je la cherchais la vérité... Mais je ne la savais si fausse, la vérité!
J’ai pourtant basculé, il y a bien des décennies, toutes ces religions qui la possédaient… Je ne vis pas dans l’espérance, mais j’essaie de vivre dans l’agir, dans le maintenant; et ce «maintenant», me semble demander de plus en plus de paix que de guerres saintes ou des vérités absolues. Qu’en pensez-vous, M. Verrier? Je pense qu’il n’y a pas de hasard en démocratie; que du bizarre. Mais ça s’explique à la fin: il y a des intérêts souterrains, n’est-ce pas? Expliquez-moi M. Verrier.
François Champoux, Trois-Rivières
1 novembre 2024
1er novembre 2024,
Bonjour M. Lafrenaie,
À votre question je répondrais ceci et de façon très sincère et simple: avant toutes les étiquettes politiques qu’on veut bien donner et dresser comme un épouvantail contre tout un chacun, je préfère celle d’humaniste, simple humaniste, sans aucune prétention de supériorité. Donc ni fédéraliste, ni souverainiste, ni séparatiste: humaniste.
J’ai subi beaucoup de mépris de la part de mes concitoyens et «amis»; j’en subis encore et en subirai toujours; qu’y puis-je? En tant qu’humaniste, je souhaite la paix, le respect, ce respect qui doit s’attribuer au-delà des apparences et des étiquettes. Les humains doivent évoluer vers plus d’humanisme s’il désire la paix, celle que nous croyons dédiée aux hommes et aux femmes de bonne volonté.
La paix, c’est ben d’l’ouvrage; beaucoup plus qu’on le pense…
François Champoux, Trois-Rivières
26 octobre 2024
Rebonjour M. Pierre Gouin,
Merci de votre réponse.
Je rappelle qu’au Mouvement Desjardins, le président Cormier s’octroie un salaire hebdomadaire de 86 500,00 $ et qu’il justifie cette rémunération (minable comparativement aux autres présidents du système bancaire) au fait qu’il est responsable de 55 000 employés!
Gérald Larose considère que la Caisse d’économie solidaire Desjardins dont il a été le président durant plusieurs années est une entreprise progressiste du fait qu’elle n’octroie aucune ristourne aux membres ordinaires et qu’elle attribue toutes les ristournes annuelles à seulement quelques entreprises socialement responsables, tel le journal «Le Devoir» (qui se vante d’être 100 % indépendant)! On y exploite 23 000 sociétaires pour gaver seulement quelques entreprises («socialement responsable», nous dit M. Larose) choisies à la seule discrétion de la haute direction de la Caisse! Parlez-moi d’une coopérative financière progressive! Dorimène et Alphonse Desjardins n’arrêtent plus de se retourner dans leur tombe! Et ça fait plus de 50 ans que ça dure!
Cette critique envers la Caisse d’économie solidaire Desjardins lors de ma tentative de participation à l’assemblée générale annuelle du 18 avril 2024 m’a valu ma 7e exclusion d’une Caisse Desjardins grâce à leurs règlements de régie interne 4.6 (saine conduite d’un membre) et 4.7 (réprimande, suspension, EXCLUSION) mis en application en 2010 par Monique F. Leroux dans toutes les Caisses Desjardins. L’AMF n’y a rien trouvé à redire.
François Champoux, Trois-Rivières
25 octobre 2024
Vendredi 25 octobre 2024
Rebonjour M. André Lafrenaie,
Donc vous ne savez pas s’il y avait aussi des gens du parti Québécois pour fonder le Bloc. J’ai pourtant souvenance qu’il y a eu des gens du parti Québécois qui ont soutenu cette fondation; je n’arrive plus à me souvenir du nom d’un député que j’ai en tête, mais je pense (je peux me tromper) qu’il était du parti Québécois.
Que des fédéralistes! Cela me semble audacieux de sonder le coeur et l’esprit de ces gens et de les traiter tous d’hypocrites tout en étant des députés fédéraux du Québec. Et comme je le mentionnais au début du texte de M. Nantel, la démocratie n’est pas parfaite, loin de là. Sommes-nous tous des hypocrites pour autant ou des inutiles? Malgré l’imperfection du système, je me garde de nous qualifier ainsi, car j’aurais ainsi la prétention de faire mieux : ce qui n’est pas le cas. Je vous confesse que j’ai essayé, mais personne n’a acquiescé à mes propositions. Même Trudeau fils et Legault ont reculé à changer le mode de votation et la représentation des députés. Alors, je compose avec ce qui est. Le Bloc et le système politique du Canada sont certes imparfaits, mais nullement inutiles.
François Champoux, Trois-Rivières
25 octobre 2024
Bonjour M. Pierre Gouin,
Votre texte est admirable, mais je ne comprends pas votre acharnement contre Québec Solidaire à savoir si ce parti politique est un pétard mouillé.
La démocratie n’est pas parfaite comme le voulait les régimes communistes et comme le veut aujourd’hui les syndicats et les coopératives, eux aussi dans l’erreur d’un perfectionnisme irréaliste. En démocratie, nous devons toujours viser l’équilibre des forces et non le blâme sur certains.
Je pense que QS ne fait que tenter lui aussi de balancer les iniquités qui nous accablent; c’est à chacun de nous qu’il incombe de chercher et trouver. Il faut maintenir le dialogue sans accuser, sinon c’est la frustration qui augmente.
François Champoux, Trois-Rivières
23 octobre 2024
Bonjour M. Marineau,
Avec l’avènement de la gratuité des soins de santé, on a cru que la vie nous était dorénavant garantie, peu importe nos moyens financiers. De plus, on a tellement sacralisé la vie et la médecine, qu’on a oublié la réalité : la vie et la mort sont étroitement liées dans cette sacralité.
Il faut marcher en forêt pour réaliser tout à coup ce mariage : la vie et la mort se croisent en harmonie permanente dans ce mystère éternel et cosmique. Il faut s’abandonner à cette réalité.
Quant à la souffrance, elle est une sorte de plaie qui nous fait accepter notre disparition. Jusqu’où devons-nous souffrir pour accepter notre retour au néant et à l’humus nourricier?
Personnellement, je n’en sais pas encore jusqu’où, mais par chance, l’humain sait maintenant que les lois du Québec ne le rendront pas coupable, ni ne le condamneront pas à l’enfer éternel si par lui-même (et non par le système de santé) on l’endort pour qu’il ne souffre pas, sinon le moins possible pour trépasser et en finir avec la souffrance et les plaisirs de ce mystère.
François Champoux, Trois-Rivières
23 octobre 2024
Bonjour M. Labrie,
J’ai énormément dénoncé la loi 21 qui considérait comme du prosélytisme le seul fait de porter un signe religieux ostentatoire auprès des petits enfants : avec sa loi 21, François Legault ne répondait là qu’à un désir d’une multitude mal informée sur notre charte des droits et libertés des personnes et de la jeunesse du Québec (pas celle de Trudeau en 1981, celle du Québec en 1975), et qui souhaitait ainsi assurer sa réélection!
Aujourd’hui, par son laxisme et son incompétence, il se retrouve avec une patate chaude qui risque de devenir de la vraie dynamite! Si les Québécois n’évoluent pas sociologiquement et humainement, nous risquons l’absurdité qui se vit actuellement en Ukraine et ailleurs, où le mot «guerre juste» a été inventé, et s’éternise avec ses affres.
Mais je demeure confiant avec le débat que font les journalistes actuels qui osent enfin parler ouvertement du mot «prosélytisme» non pas comme un simple signe ostentatoire religieux, mais par des actions et des paroles qui endoctrinent et qui viole l’innocence et la conscience des plus vulnérables.
J’oserais même reconnaître que je suis content que même les syndicats se retrouvent au banc des accusés dans cette terrible affaire de l’école Bedford; «terrible» pour les enfants pris en otage par des adultes…
Le danger actuel c’est de penser que seules les religions (ou la religion musulmane mise en cause ici) sont coupables d’abus d’autorité : ce ne sont pas les signes religieux qui sont dangereux, mais bel et bien les discours qui font croire à toutes sortes de chimères et qui appellent à tous les anathèmes. Il faut qu’il y ait crime pour condamner, et là il semble que la loi 21 n’a pas empêché le crime de se commettre : le prosélytisme.
François Legault croyait avoir visé la bonne cible avec sa loi faussement appelée loi de la laïcité du Québec : il ne visa que les apparences et rata l’essentiel : les discours haineux et discriminatoires, les sermons sur la Vérité qui étaient une dictature sur l’esprit contre chacune et chacun, que nous avons tant connu au Québec du temps des religions catholique et protestante.
François Legault doit reconnaître son erreur et refaire ses devoirs : c’est la charte qui doit être promue comme ciment de la société et non pas une loi qui condamne une personne que sur ses apparences. Les événements de l’école Bedford sont des faits accablants et une preuve sans précédent que les discours règnent encore dans certaines écoles, dans certains lieux : et que ceux-ci vont jusqu’à la menace de l’enfer si l’on n’obéit pas à ces faux jetons, à ces ignobles autorités, à ces «supérieurs», peu importe d’où ils viennent, peu importe leur sexe et peu importe qui ils sont.
François Champoux, Trois-Rivières
18 octobre 2024
Bonjour M. Réjean Labrie,
Les voix de la démocratie ne sont ni infaillibles ni divines; elles aussi peuvent errer.
Quand le premier ministre François Legault proclame qu’il défend la volonté de la population, il n’a pas la prétention de dire que c’est la volonté de toute la population du Québec, ni même pas la majorité ce celle-ci!
François Legault fait une erreur dans sa proclamation: elle est une déclaration électoraliste, bassement électoraliste. En cela, le premier ministre et chef du Gouvernement du Québec manque lamentablement tel un enfant immature à son devoir d’élu et de premier ministre du Québec. Il ne cherche qu’à s’approprier la condescendance des gens qui détestent les personnes jugées différentes par leur simple apparence d’un «nous», Québécois dont on rêve encore comme il y a un temps immémorial.
Il faut vivre au présent et non dans le passé; il faut vivre au présent et le construire meilleur; il faut cesser de rêver au passé et nous réveiller au présent. «Penser c’est dire non», nous enseigna Alain. Alors pensons avant d’agir et de proclamer des vérités qui n’en sont pas.
François Champoux, Trois-Rivières