À Grand-Papa:

Svp. on est entre ami, utilisons notre vrai nom, c'est plus sympa et cela démontre qu'on se tient debout, vous et moi n'avons rien à cacher et je ne suis pas méchant.

Vous avez raison, on est 8 millions.

Sur ces huit millions il y en a la moitié qui n'ont même pas commencé à se poser de questions sur qui ils sont, alors, la mauvaise gestion du gouvernement Charest et ses conséquences....

Ces 4 milliards sont prêt à croire M. Charest lorsqu'il prétend que les 40 milliards de perte de la caisse de dépôt sont dus à la crise économique, si c'était vrai, la commission d'enquête on l'aurait eu depuis longtemps, M. Sabia c'est un hasard peut-être, croyez-vous qu'il n'y a pas un seul Québécois compétent pour gérer notre compte de banque... Confieriez-vous votre carnet de chèque à votre voisin, pas moi.

Tout cela c'est la suite du référendum de 1995 qui continue.

Les magouilles, les pots de vins, et tous le reste, c'est aussi la crise économique vous croyez!

Sur les 8 millions, il y en a 4 qui dorment au gaz et qui attendent le messi.

L'avenir de vos enfants et des miens me tiennent à coeur, donnons leur un avenir digne des efforts de nos pères.

Apprenons de nos erreurs, le Labrador, ça vous dit quelque chose peut-être...

Jean-Pierre Plourde.
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Bonjour Marie Hélène

Votre commentaire est très pertinent et très vrai.

Je veux vous faire comprendre que les négociations de l'Approche commune ce n'est pas entre amis à nous qu'elles se font mais entre copains d'un pays qu'on croyait le nôtre.

Ces négociations ont pour but de briser le lien entre Amérindiens et nous, elles se font entre fédéraux assis des deux côtés d'une table de négociation ayant choisi quelques Amérindiens pour nous dépouiller de nos actifs, voir ici sur vigile, Conflits d'intérêts et Vivre libre ou disparaître.

Ce pays utilise des stratégies de guerre et le contrôle de l'information en fait parti.

Seuls les Québécois ne sont pas au courant qu'on leur fait la guerre, Jean Chrétien nous l'a pourtant dit, et Charles Guité aussi. Il vous faut réaliser que c'est vrai.

Nos élus nous dépouillent joyeusement et on est pas foutu de s'en rendre compte.

Je ne sais vraiment pas comment mieux vous expliquer que notre amitié avec les Amérindiens n'est pas en cause et qu'on a pas à se défendre de vouloir prendre notre place comme peuple dans le concert des nations LIBRES.

Ce que je peux vous dire cependant, c'est que lorsque nous aurons perdu nos actifs et notre droit à l'égalité dans la citoyenneté, comme celui de constituer une province, parlant français, au mains de quelques Amérindiens choisis, ces derniers étant sous la tutelle de notre voisin et dont nous allons hériter le statut de tutelle sans en avoir la reconnaissance, alors là, constaterez-vous ce que vous et moi avons perdu.

Il faut lire entre les lignes et s'assumer.

Merci de votre commentaire, c'est très utile, croyez-moi.

Jean-Pierre Plourde.
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M. Bousquet:

Lorsque la démocratie n'existe plus, il faut la réinventer.

Les médias, nos institutions, nos territoires, sont sous l'emprise d'un pays qui se dit notre ami alors qu'il nous fait nous chamailler entre nous et nous réduire par des accommodements dit raisonnables que nous sommes les seules à croire raisonnables.

Lorsqu'on aura compris cela, ce n'est pas quelques résistants qui vont se lever, mais tout un peuple, la vrai démocratie, elle est là, comme en Ukraine et en Russie.

Ce pays n'a rien compris à la démocratie et on doit tous ensemble le lui montrer.

La conquête, c'était il y a 400 ans, une fois c'est assez.

Le référendum de 1995, c'était la démocratie vous croyez? Celle-là je n'en veux plus.

Jean-Pierre Plourde.
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M. Gignac:

Vous avez raison sur M. Charest et son intervention à Copenhague.

Si un gouvernement souverainiste avait été au pouvoir au Québec, notre premier ministre n'y aurait jamais été accepté.

Quelle belle façon de créer de toutes pièces un scénario afin de construire du capital de sympathie politique pour un ami et destiné à des électeurs non initiés.

Arrêtons d'attendre le Messi et débarrassons nous du diable.

Jean-Pierre Plourde.
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Votre commentaire me touche beaucoup.

La facilité de m'exprimer provient de réflexions sur plusieurs dizaines d'années, je n'en ai pas de mérite, savoir comment fonctionne les organisations est une passion chez moi depuis plus de 40 ans. Rappelez-vous.... et les mots pour le dire viennent facilement.

Votre cerveau et le mien fonctionne selon les mêmes principes que dans les énoncés de mes graphiques avec quelques variantes.

La psychologie de l'humain est une organisation malléable, capable d'être artificiellement structurer pour l'amener subtilement à accepter une situation qu'on veut lui imposer sans que cet humain n'en soit conscient. Le peuple devient conscient d'accepter une absurdité par désabusement sans connaitre d'où il vient ni comprendre les conséquences, c'est de la résignation.
Il va laisser un gouvernement qui lui est étranger et qu'il a élu, décider pour lui de l'avenir de ses enfants. C'est la recette assurée d'un génocide culturel.

Les Britanniques sont spécialistes dans ce jeux, ce n'est pas pour rien qu'on parle de l'empire britannique.

Le propre de l'intelligence, c'est de le comprendre et de réagir lorsqu'on en est informé. Tous les Québécois sont capable de le faire. C'est la seule façon de contrer le lavage des cerveaux.

Vous le comprenez très bien, tout comme les gens de Vigile.

J'en profite pour remercier Vigile.net de m'accueillir parmi eux.

Nous sommes un peuple désabusé de ne pas se voir reconnaitre par ses élus. Ils ont oubliés d'où ils viennent dès qu'ils sont au pouvoir.

Est-ce que seule la piastre devient importante? Les promesses tombent, la caisse du peuple n'a pas de fond.

Et pourtant, elle va bientôt le toucher, ce fond, cela va se produire avec la disparition des redevances de l'Hydro des coffres du QUébec au profit d'Ottawa, et le transfert des milliards restant de notre caisse de retraite Caisse de Dépôt, dans les coffres de multi-nationales par des placements frauduleux et bien camouflés.

Plus grave encore, c'est l'arrêt et l'interdiction des rêves imposés à nos nouvelles générations, on nous dit de s'écraser, que notre culture doit disparaître, qu'on doit laisser la place, s'effacer, réf. Commission TB et le contrôle des livres d'histoire et d'éthiques religieuses dans nos écoles, suivit bientôt de l'apprentissage obligé de l'anglais dès la première année, et bien d'autres encore à venir.

M. Gagnon, un peuple qui ne rêve pas, n'a pas d'avenir.

Rèver, c'est avoir de l'ambition. Souvenez-vous du temps ou le peuple se sentait membre d'une Famille, vous vous rappelez: ""On est 12,012, il faut se parler"".

On est 7 millions, parlons-nous, ça presse.

Le PQ n'en a plus, il ne rame plus, il se laisse dériver dans les courants en direction inverses de la liberté nous conduisant au dépouillement et la mise en tutelle par héritage, à l'esclavage de nos citoyens.

Le rêve, c'est le pain et le beurre de la liberté.

L'État fédéral à infiltrés nos élites, les médias sont sous contrôle, le peuple ne vote plus... il est épuisé de se battre, et pourtant, il est si près du but.

Je vous invite également M. Gagnon à jeter un coup d'oeil aux commentaires reçus sur Ameriquebec sur ce même texte.

Jean-Pierre Plourde,

Je confirme la véracité du double nationalisme des Québécois.

Il y a ambivalence programmée, et elle se fait au dépend des intérêts de nos citoyens.

Mon texte, Vivre libre ou disparaître, nous présente très bien cet aspect dans la figure 2.

Entre constater une situation et se résigner à l'accepter sans dénoncer les conséquences mortelles du laisser aller, je préfère foncer et tenter d'expliquer au gens ou se trouve vraiment leurs intérêts.

Je mise sur l'intelligence des gens, on est pas plus imbéciles que les Suédois, si on réussi à faire comprendre aux gens les enjeux du laissé allé actuel, je crois qu'on pourrait être surpris des résultats.

Les Québécois sont capable de grande choses. L'Hydro-Québec est de celle-là, il faut dire aux gens et leur expliquer que l'Hydro va nous glisser des mains et profité à d'autres si on laisse faire, idem pour la caisse de Dépôt.

Je mise sur un déclic, M. Charest va nous y aider malgré lui. Imaginez qu'on organise une équipe pour étudier toutes les nominations partisanes, la distribution des contrats sans soumission, les investissement délibérément suicidaires, les pots-de-vin, les allocations de départ anti-nature, etc.
Faisons connaitre tout cela! Il y a là-dedans, de quoi réveiller beaucoup de monde.

Il faudra bien, à quelque part, que les journalistes se réveillent aussi et réalisent qu'ils sont manipulés.

Entre ne rien faire et expliquer les enjeux, j'aime mieux le deuxième choix.

Jean-Pierre Plourde.

J'aime toujours lorsque la personne qui m'envoie un texte ou document se présente.

Ici, je ne sais pas qui m'envoie cette information, c'est pourquoi j'utilise l'appellation, Madame, Monsieur.

SVP. présentez-vous, il s'agit d'un sujet très sérieux, on a pas a avoir honte d'être fier de qui nous sommes.

Alors, je reprends:

Madame, Monsieur:

Ces documents vont dans le sens de mes interventions.

On ne négocie pas de territoires sans s'assurer de la souverainetés des 7 millions d'individus qui occupent et développent ces territoires. Agir autrement, c'est mettre la charrue devant les boeufs.

Lorsque qu'un état se substitut aux intérêts des citoyens, on cours vers la catastrophe, ex. Commission des faux accommodements dits raisonnables!!!, magouilles et manoeuvres de dépouillement de l'Hydro-Québec, de la Caisse de dépôt en plus de nos territoires.

Les Québécois doivent se réveiller et s'assumer.

Jean-Pierre Plourde.

Vous saisissez très bien l'ampleur des intentions cachés dans toutes les entreprises de ce pays.

Vous saisissez également très bien l'importance d'informer les citoyens des constatations qu'ils doivent faire et des réalités qu'ils doivent comprendre rapidement et des réactions qui doivent en résulter.

On est encore loin de la coupe au lèvre.

Il en va d'une situation qui, si l'on ne réagit pas, va s'amplifier au dépend de nos descendants et des services inférieurs qui nous seront réservés suit à la disparition de nos bras de levier économiques.

On assiste, impassible, au dépouillement de nos acquis.

Nous nous dirigeons vers une situation d'apartheid digne de celle d'Afrique du Sud avec tout le racisme sous-entendu.

Nous avons le moyen de remettre les pendules à l'heure, à condition, de tous se réveiller et de dire tous ensemble pour la première fois ce que l'on veut, au lieu de dire après coup ce que l'on ne veut pas et qui nous aura été imposé de force.

L'heure des politiciens dois céder la place à la parole du citoyen.

Très bon commentaire M. Tremblay.

Jean-Pierre Plourde.

Il nous faut travailler tous ensemble pour diffuser le message et motiver les gens.

Merci à tous de vos commentaires.

Jean-Pierre Plourde.

On a, vous, moi et tous ceux qui savent, un sérieux problème, c'est de faire passer le message ailleurs que chez nos initiés.

Tous les jours je reçois des gens à mon bureau et je parle de politique à presque tout le monde.

Tous sont unanimes à dire que j'ai raison et je me heurte quand même à de l'indifférence.

On est un peuple qui monte volontairement sur l'échelle qui conduit à la potence, on fait cela parce qu'on est humilié et qu'on se sent menacé.

C'est du BDSM, comme expliqué dans un de mes textes, Étude du comportement des Québécois, face à leur avenir.

J'ai un texte que je crois très important, Vivre libre ou disparaître, il explique le fonctionnement d'une organisation ou d'un pays de façon graphique et facile à comprendre. Cela pourra peut-être en aider quelques uns. Je vous l'envoie sur Vigile.net après ce message.

Notre problème c'est de faire lire nos études, documents et recherches ailleurs que sur nos sites, ou la population en général pourra en prendre connaissances.

Le contrôle de l'information nous ferme la plupart des portes des médias réguliers.

Je suggère un brassage de cerveaux, une recherche stratégique de moyens à mettre en place pour faire passer le message, quitte à faire moi même du porte à porte s'il le faut, malgré un emploi du temps chargé. Mieux vaut cela que plus d'emplois du tout par la perte de client et le manque de nouveaux.

Votre travail, celui des membre de Pays-du-Québec, des métis, celui du MEF, et de bien d'autres encore, en plus du mien bien sur, comportent maintenant suffisamment d'adeptes pour vendre des cartes de membres à un, deux ou cinq dollars et collecter quelques fonds, créons un secrétariat, je suis certain que vous y avez pensé, faisons le, c'est urgent, demeurons apolitique pour rester indépendant des pressions extérieures.

Les médias acceptent de recevoir et de publier les gens qui représentent un groupe de citoyens. Les Métis le réussissent dans notre région à la télé et dans les journaux locaux alors que moi j'ai dû acheté des pages pour me faire lire.

On doit s'organiser et prendre les moyens de convaincre.

On doit gagner de la crédibilité auprès de la population.

Vous le voyez bien, encore une fois, je suis facile à faire parler, on a pas besoin de me torturer, j'avoue tout. Excusez mes longs commentaires.

Jean-Pierre Plourde.

Comment peut-on faire comprendre aux citoyens que, non seulement il se font piller, mais que notre situation économique sera minable d'ici 10 ans.

Les pauvres seront dans la misère, incapable de payer les hausses de loyers, de taxes, de tarifs et d'épicerie, l'emploie étant de plus en plus sélectifs et rare alors qu'avec de l'imagination et une bonne gestion, on pourrait manquer de courant pour satisfaire nos propres besoins.

Qu'on ne s'y trompe pas, les surplus d'électricité sont artificiels, c'est une mesure d'étouffement de l'Hydro, les Américains sont acheteur de tous nos surplus, j'en suis persuadé.

La classe moyenne deviendra pauvre.

Se mettre à deux pour satisfaire ses besoins essentiels ne sera plus suffisant et le Québec virtuel sera appauvrit par faute de payeurs de taxes, les bons emplois se faisant de plus en plus rares. Les Anglos refuseront bientôt de payer des taxes québécoises, un conflit majeur est en préparation.

Tous les analystes sont unanimes, on se dirige vers un mur à grande vitesse.
On doit cela à notre indifférence.

Lorsque les Québécois en seront rendu là, il voudront se révolter, c'est alors que l'armé va s'en mêlé, alors qu'on pourrait régler cela maintenant.

C'est maintenant qu'il faut agir, pas dans 4 ans.

Aidez-nous à réveiller nos frères et soeurs.

Ceux qui croient que j'exagère feraient mieux d'y regarder de plus près.

Jean-Pierre Plourde.

J'ai payé la conception de ce message pour qu'il soit diffusé, si tout le monde joint l'adresse du lien dans chacun de ses articles ça devrait faire son effet. Ne vous gènez surtout pas pour la diffuser, je vous autorise sans réserve.

Vous pouvez également utiliser tous mes textes et études, on a une cause à défendre et un peuple à convaincre.

J'ai une abondante documentation qui prouvent le contrôle de l'information par ce pays, d'autres aussi qui prouvent l'implication d'agent fédéraux dans nos universités.

Le Québec est déjà sous la tutelle d'Ottawa, qui utilise la première action d'un pays en guerre, Le contrôle de l'information.

Les déclarations de Jean Chrétien, c'est la guerre, et de Charles Guité, On était en guerre, sont à prendre au sérieux, c'est exactement ce que nous fait ce pays.

Jusqu'à maintenant, on était très peu à prendre cela au sérieux, maintenant vous le savez, c'est sérieux.

À partir du moment qu'on sait, on n'a pas de raison de ne pas agir.

Je suis avec vous, comptez sur moi pour la motivation.

Je vais diriger sur Vigile.net toute une série de textes fort intéressant, inédit pour les membres de Vigile.net et surtout, instructifs.

A bientôt,

Jean-Pierre Plourde,
saglac@gmail.com.

Il est temps de se rappeler cette phrase de Churchill :

« Ils ont eu le choix entre le déshonneur et la guerre; ils ont choisi le déshonneur, et ils auront la guerre ».

C'est exactement ce que l'on nous fait.

Qu'attendons nous pour être tous optimistes.

Tous mes textes cherchent à convaincre du bien fondé de relever la tête.

Jean-Pierre Plourde.

Vous avez parfaitement raison en ce qui concerne la révolution, un front commun majoritaire de la population pourrait maintenant inverser la situation.

Pour moi, penser déclarer l'indépendance par un acte du gouvernement sans un référendum ou l'appui évident de la majorité du peuple est impossible.
Une élection référendaire avec un appui majoritaire du peuple derrière le gagnant pourrait faire l'affaire, il faut se dépêcher cependant et informer, tout passe par là, informer pour convaincre.

Il faudrait inonder les facebook et autres pour rejoindre les jeunes, ils passent plus de temps la dessus maintenant que devant la télé.

Si un référendum est organisé ou une élection référendaire, la fédération va utiliser tous les médias dont elle a le contrôle et mettre tous les moyens financiers à sa disposition, y compris nos impôts, pour faire peur et intimider et peut-être même faire parader l'armée. Cette armée, c'est la seule chose qu'elle n'a pas utilisée au référendum de 1995. Si on ne réagit pas et qu'on informe pas, nous redeviendrons de la chair à canon dans les conflits, le génocide culturel se réalisera et les meilleurs postes de la société ne seront pas pour nous.

Dans le sport d'élite fédéraux, ex. Olympiques, équipe diverses nationales, etc, les Québécois aux talents incontestablements supérieurs sont retenus. Si l'équipe à le choix entre un Québécois et un anglophone de même calibre pour un poste de défenseur ou autres, c'est l'anglophone qui a le poste.

Nos descendants auront les postes inférieurs dans le dédain et le racisme de l'autre communauté.

Concernant le référendum de 1995 j'évalue personnellement les dépenses du non et des autres sources aux environ du milliards sur quelques années et spécifiquement dépensés dans cet optique. Mon affirmation est basée sur un livre écrit par un commissaire de la Commission Gomery qui s'est vidé le coeur après son mandat alors qu'il n'était pas autorisé à dévoiler ces données pendant son mandat. Un de mes textes donne son nom et ses références, je ne me souvient plus sur lequel de mes textes.

Parlant de la commission Gomery, je vais vous présenter dans quelques jours un autre de mes textes qui parle du contrôle de l'état sur les résultats qu'il veut optenir d'une commission d'enquête, entre autre celle de Gomery. Ce texte s'appelle, Juges et partis. Je l'avais publié à mes frais dans l'hebdo local en 2007 ou 2008.

N'oubliez pas que depuis 1995, des centaines de millions sont dépensés annuellement pour contrôler ce qu'on nous autorise à savoir. Le Canada manoeuvre dans l'ombre pour nous retirer nos bras de levier et augmenter notre dettes et charge sociale afin de nous obliger à nous départir de nos autres actifs dont on n'aura plus, de toute façon, le contrôle, parce que situés sur des territoires ne nous appartenant plus, comme décrit dans l'approche commune, toute une arnaque.

Il nous faut informer la masse par d'autres moyens que les médias courants, le principal c'est celui que j'utilise présentement, l'internet dont la fédération ne peut contrôler le contenu, quoique, il y a quelques informations de références que je ne retrouve plus sur internet, pourquoi sont-elles disparus. Par exemple, blogues ou sites fermés volontairement ou achetés, je n'en sais rien.

L'Assemblé Nationale avec une majorité de 60% peut retourner la situation, la reconnaissance internationale serait rapide dans ce cas. Il nous faut absolument contrer Charest dans Montréal et relever la tête. Il nous faut forcer sa démission par un mouvement populaire, un gros défi, l'information que je détiens et celle de votre groupe est suffisamment étoffée pour convaincre la plupart des sceptiques, la perte de nos actifs comme l'Hydro est un argument important, on se fait carrément piller. On assiste passivement à la saignée.

Votre description suivante vise en plein dans le mille.

''Nous sommes vraiment dans un cul-de-sac et je commence à penser que la seule solution qu'il nous reste est de faire la révolution avant que le tapis n’ait complètement glissé de sous nos pieds...

La "steam" commence à sortir de mes oreilles, je deviens se plus en plus malin !!! Très bon article !''

Merci, de votre compliment.
Sur amériquebec j'ai obtenu au de la de 630 lecteurs et la cote de 5 (à lire absolument), six fois pour cet article."

On doit éviter la violence, cependant.

Lâchez pas...

Jean-Pierre Plourde

Je sais, c'est révoltant.

Il y a une maxime qui dit:
Tant que ce n'est pas fini, ce n'est pas fini.

He bien, M. Jean-François, retroussons nos manches et faisons marché notre huile de coude.

Travaillons fort pour informer les citoyens, ce sont eux le "Boss". On doit contourner le contrôle de l'information qu'on nous fait subir.

Jean-Pierre Plourde.