Autre point de vue sur l'avortement
10 juin 2010
Titre : Autre point de vue sur l’avortement
Bonjour M. Roy,
Vous me dite:
"Je suis d’accord avec votre description de notre situation de dominé, mais je vous trouve un peu pessimiste. Si on suis votre logique, 8 000 000 de Québécois n’auraient pas dû voir le jour."
La culture est l'essence même de la naissance et de la survie d'un peuple, à partir du moment ou notre culture à survécu, nos ancêtres ont pu perpétuer notre nation.
Le Canada nous considère comme son pire ennemi on a prouvé notre capacité à survivre, de progresser et à former un état viable.
Le choc du référendum de 1980 à forcé la fédération à rapatrier la constitution unilatéralement en 1982. Sa modification unilatérale fut faite sans nous demander notre avis.
On nous fait une guerre culturelle qui implique l'immigration contre nature et l'expropriation des citoyens de leur territoires et le transfert de leurs actifs. Ce sont des choses qu'on va découvrir bientôt après le départ de Charest.
En réalité, on assiste à un génocide culturel, ce qui implique tous les secteurs d'activités.
En ne réagissant pas, nous vivons un suicide collectif au niveau culturel, social et un étouffement économique et politique.
Le résultat nous sera catastrophique.
Ce sera suivi par de vrais suicides qui vont passer comme faisant parti de la crise ou pour d'autres raisons.
L'assimilation ne règlera pas nos problèmes à court terme.
"Sachez que le suicide est aussi pire que l’avortement, il contrevient au 6e commandement. Le suicide n’est pas une solution au mal de vivre. Battons-nous !"
Le seul remède au suicide c'est la prise de confiance en soi et l'affrontement de sa réalité.
Les Québécois fuit leur réalité comme la peste. On est donc tous ensemble en procédure suicidaire à tous les points de vues, économique, politique et social.
On va exister, sans vivre libre de nos choix.
De graves crises sociales sont donc en préparation.
Le fait qu'il y ait si peu d'intervenant à mon article est un signe, soit de réflexion, soit d'un autre rejet ou d'un refus d'analyse.
Merci d'être là.
Jean-Pierre Plourde,
saglac@gmail.com