Le monorail à Découverte ce dimanche, 18h30
7 avril 2013
Partie deux :
Revenons au monorail.
Je ne dis pas que le monorail va sortir comme un lapin dans un chapeau. On aura besoin de recherches, d'un banc d'essais et de mises au point. L'organe de recherche majeur, le moteur roue existe déjà, si bien qu’il a été copié partout dans le monde pour être appliqué au seul endroit ou il ne le devrait pas si l'on habite le Québec, l'automobile.
Je suis d'accord avec M. Pierre Couture sur le principe du moteur roue appliqué au monorail comme on vous le présente. L’appliquer à l'automobile est tout à fait contre nature et en voici les raisons.
On est au Québec ou la gadoue est constituée de boue, de neige fondue, de calcium, de sel et de gravier, un mélange très conducteur et corrosif qu'on doit tenir loin de tout moteur électrique, tous les appareils électriques que vous achetez sont unanimes. On nous met en garde deux fois plutôt qu'une dans leurs instructions de ne pas utiliser d'appareils électriques près d’une piscine, sous la pluie ou la neige, etc.
Le printemps et l'automne au Québec, les roues de nos voitures baignent dans cette gadoue, est-ce logique?
Pourquoi le principe n’est t-il plus valable?
En hiver à moins 30 degrés, les batteries ne possèderons plus que 40% environ de leur puissance d'été, on va demander en plus à ces batteries de chauffer l'habitacle et de motoriser le véhicule!
L’État a atteint le point où les citoyens doivent s’en méfier tant il est financé, par le détournement de nos impôts, pour défendre les intérêts des banques et de l’industrie.
On doit comprendre que le bon jugement a toujours sa place. Hors les potins, arrêtons de croire tout ce qu’on nous dit à la télé et la radio.
Le monorail se veut une réponse intelligente à la poursuite de l’asservissement des masses. Ce projet est intelligent et réalisable. C’est à nous tous de définir ce qui est bon pour nous.
Je vous invite à lire les informations contenues sur notre site,
www.trensquebec.qc.ca,
Le monorail suspendu répond à tous les arguments se sécurité, de fiabilité et il se compare avantageusement à tout autre projets actuels.
Je crois sincèrement que le monorail a tout ce qu'il faut pour devenir le premier projet d'intégration réfléchi et planifié de transport en commun dans le monde.
Un premier banc d'essais de 5 kilomètres révèlera les difficultés et les corrections à y apporter.
Une grande proportion d’ingénieur du Québec nous appuis et certains mêmes s’impliquent avec nous. Les avantages annoncés du monorail sont très positifs, ils valent amplement la dépense. Il y a là un projet très créatif, innovateur et beaucoup d’emplois à la clé. À la condition bien sur de ne pas confier ce projet à Bombardier qui crée beaucoup plus d'emplois ailleurs qu'au Québec.
On se devra d’agir en patron et non en larbin.
Tous les autres détails dont vous parlez font l'objet d'analyses.
Toutes les conditions seront vérifiés en souffleries et en réel afin d’assurer la sécurité et le confort des passagers.
Vous me donnez l'exemple du transport de matériel de 38 tonnes. Ce n'est pas le but de ce projet. Le matériel lourd et massif ne requiert pas la haute vitesse, les bateaux et le train régulier sont là pour cela.
Par contre, je pense que le transport de minerais du nord ou de blé de l’ouest vers l’est, on parle ici de « vrac », au moyen d’une succession de navettes adaptées de 10 tonnes aux 15 minutes devrait avoir le même effet qu'un pipeline transportant du pétrole en continu, c'est le principe du tapis roulant.
À destination, des volets sous le conteneur pourraient s’ouvrir pour la vidange du véhicule, la capacité de 10 tonnes prévue est respectée.
Pour le moment, on en est pas là.
Commençons par le commencement, on verra après pour les cas particuliers.
*** Le banditisme de l'État.
La violence policière d'aujourd'hui n'a plus aucune mesure avec la véritable menace des contestataires, qu'ils soient étudiants, femmes, enfants, syndicalistes ou autres citoyens.
Au printemps arabe seuls les policiers avaient vraiment l'intention de blesser ou même de tuer pour empêcher la contestation et on a passé très près.
À Victoriaville les ambulanciers se voyaient interdire l'accès aux citoyens blessés par les policiers.
Les témoignages sont incontestables, voir ici,
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=9iZdAdczrGk#!
Les citoyens sont devenus prisonniers de leur état et privés de la liberté d'exprimer leurs opinions et de manifester.
Aujourd’hui, les forces de l’ordre profitent de la déclaration obligatoire du trajet choisi pour étouffer la manifestation avant même qu’elle ne commence. La loi a été remplacée par un règlement municipal qui en a fait une machine à percevoir des amendes abusives auprès des plus démunis.
Lorsqu'un pays veut en détruire un autre, il fait élire son élite chez cet autre peuple. Il remplace l’élite de ce peuple par la sienne, voir graphiquement comment, ici :
http://saglacweb.com/indexFrameCenterVivreLibre.html
Cette nouvelle élite aura la charge de démembrer l'économie de ce peuple et de l’endetter au maximum.
À l’arrivé de Charest en 2003, la dette du Québec était de 138 milliards, la dette d’aujourd’hui hérité de son règne est déjà de 254 milliards de dollars. Elle sera très difficile à ralentir et à inversée, voir ici,
http://saglacweb.blogspot.ca/2011/03/la-dette-du-quebec-en-direct.html
En 2003, Jean Charest s’est fait élire sous de fausses promesses de réductions d’impôts d’un milliard de dollars par année pendant cinq ans, voir,
http://www.drole-video.com/communication-politique-charest.shtml
Après l’élection, les promesses avaient disparues et les Sabia, Desmarais et compagnies sont entrés en place à la Caisse de dépôt et ailleurs dans nos postes de direction ou ils décident encore aujourd’hui de l’avenir du Québec et du Canada en coulisse alors que le peuple Québécois croit toujours en leur compétence.
Nos institutions s’anglicisent à vitesse grand « V », c’est devenu un détournement de démocratie et un acte délibéré d’humiliation collective.
Beaucoup de nos médias ne font plus la différence entre la propagande et l’information.
Jean-Pierre Plourde,
http://saglacweb.blogspot.com