Exportation de nos bureaux chefs et centres de décisions.
3 novembre 2010
Bonjour M. Gilles:
J'ai utilisé l'expression tiré de l'article du journaliste.
Le terme "bureau chef" se trouve dans le commentaire de M. Jacques Lamarre.
Vous avez parfaitement raison de signaler cet écart. Le bon terme est bien, "siège social".
C'est le seul de mes articles ou j'ai utilise délibérément le terme de "bureau Chef".
Je vous invite à lire entre autre, mon texte: http://www.ameriquebec.net/actualites/2008/09/24-montreal-le-traite-de-lapproche-commune-va-te-faire-mal-2.qc , vous en saurez plus sur notre situation.
Dans aucun autre de mes articles traitant d'économie vous ne retrouverez cette expression de bureau chef.
La plupart des firmes d'ingénierie utilisent fréquemment l'anglais.
La plupart de ces personnes sont davantage familières avec l'expression "bureau chef" que de celui de siège social.
Je suis d'accord avec vous qu'on doit faire un effort pour utiliser la bonne terminologie.
Remplacer le terme par siège social aurait été pour moi plus approprié.
Je crois qu'il faut y voir l'importance de réagir contre notre asservissement.
Notre langue et notre culture sont attaquées de toutes parts, accommodement dit raisonnable, immigration dans Montréal, subventions d'écoles étrangères, etc.
Croyez-vous vraiment que c'est avec l'attitude de Mme Marois qu'on va retrouver nos droits. NON.
Affirmons-nous, utilisons la clause nonobstant, payons pour nos écoles seulement. Nos règles doivent être la norme pour tous les immigrants sans options.
Arrêtons de gaspiller nos ressources, faisons le ménage dans nos vie, dans notre état, c'est la seule façon de retrouver notre estime de soi et de donner des raisons valables et motivantes à nos enfants de continuer d'aller à l'école.
Notre société doit être laïque, il ne devrait rester qu'un semblant de catholicisme culturel non pratiquant faisant parti de notre héritage sans obligation pour personne d'être converti à quoi que ce soit.
Osons faire du Québec un état ou la religion est une question personnelle et qui doit le rester.
Merci d'être là.
Jean-Pierre Plourde,
http://saglacweb.blogspot.com