La Presse en a ajouté une couche avec les propos de Jacob Tierney, un obscur réalisateur anglophone déversant son fiel sur la soi-disant fermeture des Québécois face aux immigrants et aux anglophones.
Notre fête nationale, nous la voulons inclusive. Nous désirons intégrer toutes les cultures à notre langue et à notre identité communes.
Tant que nous accepterons de vivre chez nous comme des citoyens de seconde classe, les autres nous traiteront comme tel.
Colonisé. C’est le seul mot qui me vient à l’esprit.
La situation israélienne est devenu tellement risible qu’on se demande si le rire ne constitue pas la dernière façon de conserver un semblant de stabilité mentale.
Car à force d’accommoder et de vouloir plaire à tout le monde, ce n’est plus seulement notre nationalisme et notre fierté qui disparaissent, mais nous-mêmes…
Que ceux qui sont encore fiers d’être des Québécois se lèvent et boycottent ce festival.
Le décès de Michel Chartrand ne constitue pas seulement la fin d’une époque; c’est tout un monde qui s’écroule avec lui.