ADQ - quel avenir?

Les adéquistes sont inquiets



Denis Lessard - (Québec) L'Action démocratique du Québec (ADQ) vit actuellement une traversée du désert. Une autre. Mais dans la mouvance adéquiste, bien des sympathisants craignent que ce soit la dernière. Les chiffres sont têtus. Hier, le rapport annuel du Directeur général des élections sur les finances des partis politiques est tombé comme une autre mauvaise nouvelle pour le parti de G...

Le casse-tête du bilinguisme

Il n'est ni le premier ni le dernier à faire des suggestions de cette nature, suggestions dont le réalisme laisse parfois à désirer.


(Québec) Le chef de l'ADQ, Gérard Deltell, a mis son grain de sel dans le débat linguistique, en fin de semaine, proposant que tous les petits Québécois prennent la moitié de leurs cours dans l'autre langue à compter de la sixième année. Il n'est ni le premier ni le dernier à faire des suggestions de cette nature, suggestions dont le réalisme laisse parfois à désirer. Imaginez un peu le chambardement dans les e...

Un peuple, une langue



En réponse aux tensions linguistiques qui déchirent le Québec, certains privilégient un renforcement de l'enseignement de l'anglais à l'école. Dans un même souffle, on a beaucoup cou...

Deltell suggère une sixième année bilingue pour tous

«Là où on est intraitable, c'est sur l'objectif. Notre objectif à nous, c'est qu'on ait une génération bilingue»


Jocelyne Richer - L'Action démocratique (ADQ) souhaite que tous les enfants inscrits en sixième année du primaire reçoivent la moitié de leur enseignement en français, l'autre moitié en anglais. Cette proposition audacieuse émane du chef de l'ADQ, Gérard Deltell, qui se dit très inquiet du faible taux de bilinguisme des jeunes Québécois. Dans une entrevue à La Presse Canadienne, M. Deltell ...

Gérard Deltell, l’ADQ et notre disparition

Colonisé. C’est le seul mot qui me vient à l’esprit.


Colonisé. C’est le seul mot qui me vient à l’esprit. Alors que le français recule au Québec, qu’il devient de plus en plus difficile de travailler ou de fonctionner dans la langue commune à Montréal et dans ses banlieues, que de plus en plus de commerces et d’institutions se bilinguisent et violent la Loi 101, que propose le chef de l’ADQ, Gérard Deltell?