L'identité culturelle, c'est quoi?
10 février 2013
M. A. Maronani (A pour Ahmed avant le changement de prénom sans doute) se plaît à jouer le rôle de l'arabe de service sur le site depuis un certain temps,comme certains l'auront remarqué.
D'autres que moi l'on qualifié de souverain pontificateur, ne pouvant résister à la moindre occasion de faire étalage de son pseudo-savoir et de sa supériorité méprisante. Éclairez-nous et montrez donc aux Québécois comment vivre, nous vous en supplions à genoux.
Il est manifestement du côté des dénigreurs du Québec (Québec bashing), en général anglos-canadiens, que dénonce M. Mario Beaulieu, président de la Société Saint-Jean-Baptiste de
Montréal, dont il se moque ouvertement.
À noter qu'il n'a jamais écrit une seule ligne à la défense du bon peuple canadien-français dont la sauvegarde l'indiffère totalement, lui qui préconise une société québécoise entièrement cosmopolitisée pour ne par dire tiersmondisée dont on aura évacué toute trace de son peuple fondateur. Ce n'est pas pour rien qu'il a envoyé sa fille étudier à McGill...
Dans le cadre de cet article, M. Maronani doit avoir un score de participation à l'identité culturelle lamentable, malgré ses 35 ans ici, et la constatation de cette non-intégration flagrante semble l'irriter au plus haut point. Il a du chemin à rattraper; en a-t-il seulement la volonté?
Les lecteurs auront remarqué l'impolitesse et la grossièreté de ses propros, qui n'ont d'égaux que sa hargne et sa véhémence.
Ils auront aussi remarqué que fidèle aux pratiques de ses origines, ils a entrepris sur Vigile une fatwa personnelle dirigée contre un certain nombre d'auteurs établis. On comprend qu'à ses yeux, la liberté d'opinion signifie la sienne exclusivement. Je me félicite d'être du côté de Salman Rushdie par association.
Continuons de défendre sans relâche la sauvegarde de notre nation.
Réjean Labrie