L’indépendance serait de plus en plus nécessaire pour sauver notre langue
Permettez-moi de revenir encore une fois, sans langue de bois, sur un problème pour moi essentiel. En 1995, la volonté de plus de 60% des francophones qui ont voté OUI a été balayée par le NON à 95% des autres, allophones et anglophones.Compte tenu du faible taux de natalité chez les francophones de souche et d'une politique d'immigration décidée à Ottawa, il faudra, si la tendance se maintient, que plus d...