Une pratique plus courante qu'on ne le croit

L'auto-censure des journalistes

L'expression de la vérité en souffre

Tribune libre



Il existe chez les journalistes une forme d'auto-censure, une loi non-écrite d'abstention volontaire d'aborder certains sujets, qui a pour résultat que nombre de dossiers épineux restent cachés au lieu de sortir au grand jour. Ils craignent des représailles ou des poursuites s'ils osent couvrir des sujets dangereux comme le crime organisé, les gangs de rues, les sectes du genre scientologie, les syndicats intimidateurs, les bandes de motards, l'islam intégriste radical, la nocivité du multiculturalisme.
C'est là une pratique généralisée et reconnue par la majorité des journalistes, qui sont coincés entre le désir de bien faire leur travail de défenseurs de la société versus les risques encourus ce faisant.

La solution: que les journalistes qui ont des faits graves à révéler puissent le faire sous le couvert de l'anonymat. Ces articles seront publiés exceptionnellement sans signature et leur auteur se verra ainsi protégé. Grâce à ce stratagème, la vérité pourra enfin sortir au grand jour pour que justice soit faite.
Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.

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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    28 avril 2010

    Y'a la peur du journaliste, ce qui est une triste réalité. Puis il y a les ordres du boss qui ne veut pas avoir de problèmes.

    A la Presse, par exemple, les caricaturistes ont ordre de ne jamais caricaturer Mohamed.
    Le pape oui. Le prophète non.
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    Foglia avait une histoire savoureuse en fin de semaine sur la liberté d'expression.
    http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/pierre-foglia/201004/23/01-4273805-la-bulgarie-encore.php