Selon la « Civil Society Development Foundation » (CSDF), un think-tank indépendant russe, deux-tiers des russes veulent reconduire leur président pour 2018. C’est phénoménal !
Et si je peux oser dire que la Russie est des nôtres, non de cet occident sous coupe des néocons de Washington, je dirai que Vladimir Poutine et cette popularité auprès de son peuple sont tels, qu’il est le chef d’État le plus puissant de notre monde. Evoquer les nôtres devient tellement dérisoire, que tout commentaire est inutile. Tout aussi inutile est de regarder leurs pauvres figures et écouter leurs discours sans substances.
Il fallait voir la parade du 9 mai à Moscou ! Impressionnant. Rien à voir avec notre 14 juillet ! Un peuple totalement homogène. Les jeunes soldats qui défilaient, le faisaient avec le sourire, têtes hautes, fiers, regardant leur chef à la tribune. Les filles n’étaient pas en reste, elles formaient un corps ! Majoritairement arborant de beaux visages, vêtues d’uniformes blancs.
L’on pouvait observer le dernier cri technologique de l’armement lourd et autres avions. Mais avant ce défilé de force, les organisateurs ont eu le chic, de faire défiler de vieux chars restaurés et pimpants qui combattirent les nazis. Et dois-je souligner que sans les Russes, jamais les nazis n’auraient pu être vaincus, contrairement à ce que la propagande américaine martèle depuis la fin de la guerre. Un tout petit rappel qui fera comprendre à un bébé qui vient de naître la vérité en chiffre. L’armée nazie était occupée à 80 % de ses forces à combattre Staline. Le reste du monde est seulement venu à bout des 20 % restant…
Alors, lorsque j’observe « Killary » Clinton lancer que Poutine est Hitler, complaisamment relayée par les médias dominant qui espèrent la voir gagner les élections, afin de mettre au pas les Russes, je me dis que tout est à craindre venant de cette servante des néocons.
La parade du 9 mai à Moscou est un avertissement à Washington et à nous, les vassaux. Jamais une armée européenne n’ira se frotter sur le terrain contre les soldats russes, ni d’ailleurs l’armée américaine. Reste la seule option, comme le craignent des gens pour lesquels je n’ai pourtant pas beaucoup d’estime, Noam Chomsky et Henry Kissinger : l’arme nucléaire. Et les néocons sont capables de tout pour garder leur hégémonie sur le monde.
Par ce petit rappel, quoi que l’on puisse penser de Donald Trump, il faut espérer qu’il sera porté par son peuple à la Maison Blanche. Nous aurons un monde plus équilibré avec deux chefs d’État à la plus haute popularité. Ce qui devrait également changer les cartes en Europe. Comment, je l’ignore, mais une chose est certaine, le politiquement correct risque de s’évanouir dans les limbes noires de l’oubli.
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